Ce film collationne des rushes de films de fiction. Description :

Dans un parc, une infirmière et un soldat blessé viennent s'asseoir sur un banc. Attablée à un guéridon, une femme écrit une lettre. Une jeune femme et un sous-lieutenant traversent une passerelle en bois. Des infirmières s'occupent de soldats dans un centre de convalescence. Une fillette joue à la balle avec un convalescent (TC 00 :02 :48).
L'infirmière et le soldat du premier plan sont en conversation près d'un vitrail et sortent dans le parc.
La fillette traverse un pont de bois.
Au pied du château, une infirmière accueille une veuve. Un groupe de civils passe sous un porche ; l’un d’eux déambule dans une allée du parc.
Filmés à travers une fenêtre à meneaux, les infirmières sont en conversation avec les malades.
La scène du banc.
Aux Etats-Unis (TC 00:05:46), devant la véranda d’une maison en bois, un soldat déprimé est réconforté par son épouse ; scène filmée plusieurs fois, notamment en plan américain avec fondus au noir
Une femme promène une fillette dans un parc, probablement les Buttes Chaumont.
Portrait d’une femme âgée oppressée près d’une fenêtre, lisant une lettre.
Une infirmière au chevet d'un malade adopte plusieurs attitudes pour les besoins du tournage.
Dans un champ, des femmes en deuil fleurissent des tombes militaires fraîchement creusées.
Dans un patio fleuri, un couple s'enlace puis se sépare.
Lors d’une cérémonie, une femme en deuil reçoit une décoration à titre posthume.
Un interprète interroge un prisonnier allemand et lui demande de désigner un point sur une carte.

Notes :
Eléments d’un ou plusieurs films de fiction : "La femme française pendant la guerre" et "Trois familles" d'Alexandre Devarennes.
Document sous droits particuliers jusqu'en 2042. Contacter l'ECPAD pour toute demande d'exploitation.
Remerciements à Noëlle Guibert et Francine Guibert, petites-filles du réalisateur Alexandre Devarennes. La petite fille tenant la main de sa mère dans le parc est Rose Durand, fille du réalisateur.
Les droits d'exploitation ont été cédés à l'ECPAD. Un contrat de cession de droits d'exploitation a été conclu le 20 janvier 2015 (et modifié par avenant du 16 juillet 2015) entre l'ECPAD et Madame Noëlle GUIBERT, ayant droit du réalisateur Alexandre DEVARENNES, décédé en 1971. Aux termes de ce contrat, l'ECPAD peut exploiter librement cette œuvre sous réserve du respect des dispositions contractuelles suivantes :
- aucun marchandising ;
- mentions obligatoires suivantes à apposer dans tout projet intégrant lesdites archives : "ECPAD/France/1918/Trois familles et/ou La femme française pendant la guerre et/ou Les enfants de France/Alexandre Devarennes" et "Remerciements à Noëlle Guibert et Francine Guibert, petites-filles du réalisateur Alexandre Devarennes" ;
Dans une interview, en 1968, Devarennes mentionne que le caméraman sur le tournage de "La femme française pendant la guerre" était Alphonse Gibory.