[Les gendarmes de l'extrême].

Le Groupe d'intervention de la Gendarmerie nationale (GIGN) agit dans les situations les plus délicates (forcené à maîtriser, prise d'otages, mutinerie dans une prison). Ces types d'intervention nécessitent un entraînement intensif (tir, descente en rappel, sport de combat, investissement d'une habitation) que ces militaires exécutent régulièrement à Satory (Yvelines) et sur la base de Mondésir (Essonne).

[Le langage des moteurs].

C'est à l'Etablissement technique d'Angers (ETAS) que sont testés les prototypes et les nouveaux matériels qui seront peut-être un jour en service dans les armées. Deux pilotes d'essais renommés (Henri Pescaloro et Philippe Alliot) présentent cet établissement dans lequel travaillent des personnels de la Délégation générale de l'armement (DGA), (ingénieurs, mécaniciens, pilotes d'essai du char Leclerc). Après un tour de circuit de l'ETAS qui possède des pistes spéciales, le char Leclerc est présenté en évolution dynamique.

[Parés à la manoeuvre].

L'Ecole de manoeuvre de Lanvéoc-Poulmic forme les chefs de quart et les manoeuvriers familièrement appelés bosco. Les apprentissages théorique et pratique (exercice de simulation de route pour les chefs de quart ou exercice de mouillage et d'accostage pour les boscos) permettent aux jeunes marins de se familiariser avec les méthodes de la conduite nautique.

[50e anniversaire de la Libération : l'offensive aérienne alliée].

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les différentes missions des escadrilles de l'aviation française des Forces françaises libres (FFL) intégrées au commandement allié ont contribué à la victoire. Ces diverses missions aériennes auxquelles ont participé les Français consistaient en des bombardements, lâchers de leurres ou des parachutages diurnes et nocturnes. C'est dans ce contexte que l'offensive aérienne alliée fut une réussite, permettant le Débarquement sur les sites de Normandie le 6 juin 1944.