[Nageurs de combat : discrétion absolue].

Véritables armes sous-marines, formés à l’école de plongée de Saint-Mandrier (Var), les nageurs de combat de la Marine nationale ont notamment pour mission la reconnaissance des côtes et la préparation des débarquements. Grâce à un entraînement intensif et à l’emploi de l’oxigers, appareil respiratoire qui ne dégage pas de bulles, le commando effectue ses opérations en toute efficacité et discrétion. Le kayak de mer leur permet une approche silencieuse de leur objectif. La force de ces groupes de combat réside aussi dans le lien très fort qui unit les deux équipiers d'un binôme. La pénétration dans un dispositif de défense, la pose d'un engin explosif sous la coque d'un bateau et la récupération du commando par une vedette constituent un exercice d'application de leur formation.

[Médecin à la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris].

Ce portrait d’un jeune médecin-capitaine montre sa disponibilité constante et la diversité de ses interventions. Sa mission peut se résumer par cette devise : « sauver ou périr ». Appelé à intervenir, de jour comme de nuit, de permanence ou à son domicile, il doit être capable de faire face à de nombreuses situations telles que tentatives de suicide, overdose, accidents domestiques, sans laisser l'émotion prendre le pas sur son travail de sauveteur.

[Mécanicien de piste : une vocation].

L’adjudant-chef Henri Ominetti est mécanicien de piste à la base aérienne de Colmar (Haut-Rhin). Ce reportage s’attache à décrire le rôle-clé du mécanicien de piste, symbole de la disponibilité opérationnelle des escadrilles dans l’armée de l’Air. Sur la base aérienne de Colmar, comme partout ailleurs, le pilote et le mécanicien forment un binôme indissociable. Le "pistard" interviewé évoque avec émotion son attachement à sa mission et le rôle essentiel de celle-ci dans la sécurité du pilote.

[Reporters de guerre : "Les soldats de la mémoire"].

Cameramen ou photographes, ils ont suivi pas à pas les soldats, partageant leurs angoisses, leurs blessures, et souvent leur héroïsme dans tous les conflits où la France était engagée. Les reporters témoignent depuis 1914 de l'engagement armé des forces françaises ; leurs images sont aujourd'hui conservées à l'Etablissement cinématographique et photographique des armées.

[Actualités de la Défense]

Le bicentenaire de la Marseillaise est fêté dans la cour d'honneur de l'Hôtel national des Invalides ; cette commémoration a réuni les 700 musiciens des fanfares militaires de toute la France, qui accompagnaient quelques 300 choristes, sur la partition de Berlioz. La cérémonie s'est terminée par un gigantesque feu d'artifice.
Les sujets "médecin à la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris" et "Mécanicien de piste : une vocation" sont extraits du Top Défense n°2.