VIDÉO

Comment on construit les avions.

Réalisateur(s) : Inconnu


« La carcasse, les toiles, les moteurs. »
Dans les usines Nieuport, ouvriers et ouvrières construisent des éléments d'ailes et de carlingue d'avion. Les ateliers de construction des éléments d'avions sont filmés en hauteur. Les ouvriers s’activent sur la chaîne de montage et mettent en place des moteurs en V, qui sont ensuite testés.

« Les avions sont prêts ».
Des avions Nieuport sont dans le hall de l'usine. Les appareils attendent de recevoir les ailes. Une fois équipés de leurs ailes, les avions sont parqués devant l'usine de montage.
Tel un catalogue à la gloire de l’industrie aéronautique, différents types d'avions de chasse, de reconnaissance et de bombardement sont ensuite présentés en extérieur et à l’arrêt. Des intertitres détaillés énoncent les caractéristiques et performances des modèles présentés en image.

« L’armée française en 1914 avait 150 aviateurs et 3 types d’appareils, le Blériot, le Farman, le Caudron. ». « Ces appareils biplaces avec moteur de 80 chevaux à peine, portaient seulement 250 kg, faisaient 110 kilomètres à l’heure et ne dépassaient pas 2500 mètres de hauteur. ». « Armements : mousquetons et revolvers ». « Le Farman ». « Le Caudron 1914 ».

« En 1917, la France a des appareils de chasse, de bombardement, de réglage ». « Les appareils de chasse ont une vitesse supérieure à 200 km à l’heure, montent à 7000 mètres (vitesse ascensionnelle 4000 mètres en 15 minutes). Ils sont armés de 2 mitrailleuses. ». « Le Morane ». « Le Nieuport ». « Le Spad ».

« Les appareils de bombardement sont dotés de plusieurs moteurs 300 chevaux. Ils portent deux ou trois passagers et 680 kg de charge. ». « Ils vont jusqu’à Essen (7 heures d’aller et de retour) jeter 150 kg d’explosifs. Avec charge complète, ils atteignent 6000 mètres de hauteur. ». « Le Caproni ». « Le Bréguet ». « Le Voisin ».

« Les appareils de réglage dirigent le tir d’artillerie, font des reconnaissances dans les lignes ou soutiennent l’attaque en survolant l’infanterie. ». « Ils portent deux ou trois passagers, ils sont munis de la TSF, d’appareils de photo ou de cinéma ; ils volent 4 heures à une vitesse de 150 kilomètres à l’heure. ». « Les bimoteurs Caudron ». « Le Spowith ». « Le Salmson ».

« La théorie ».
Des aviateurs militaires écoutent un officier lors d'un briefing avant de partir en mission. Une pancarte accrochée à la carlingue rappelle qu’« à l’acrobatie, faites ce qu’on vous dit et seulement ce qu’on vous dit ».

« L’école de tir ».
L'entraînement des pilotes au tir passe par un exercice au tir au pigeon d'argile et un exercice au tir à la mitrailleuse sur cible.

« Le sémaphore transmet les ordres pour les vols ».
La transmission des ordres aux équipages s'effectue à l'aide du sémaphore.

« Les instructions avant le vol ».
Les aviateurs, réunis en rang sur le terrain d'aviation, rejoignent leur appareil.

« La sortie des appareils ».
Les appareils sont avancés sur le terrain d’aviation.

« Les vols d’avions ».
Et Voisin et Nieuport s'envolent.

Note :
1+27 cartons bilingues (français et flamand).
Film teinté.

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Liste des extraits

Durée totale
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  • Générique du film

    Réalisateur SCA-SPCA -
    Genre Non

    Informations

    Référence 14.18 A 1092
    Durée 00:08:35
    Date de début 01/04/1915
    Date de fin 31/12/1917
    Format d'origine 35 mm
    Couleur Noir et blanc
    Typologie Produit monté
    Origine SCA/SPCA Section cinématographique de l'armée
    Domaine public Non