reportage
7e enduro du Touquet, course de motos dans les dunes et sur la plage.
Légendes d'origine du reportage en attente de travail documentaire complémentaire - Les éléments sont donnés à titre d'information sous réserve de vérification".
LC 1 à 3 : les deux automitrailleuses légères du 7e régiment de chasseurs d'Arras destinées à donner le départ du 7e enduro du Touquet avait pris place dès le samedi devant l'hôtel Westminster qui hébergeait les meilleurs concurrents et la presse civile.
4 à 5 : de nombreux contacts s'effectuèrent entre les jeunes motards et les conducteurs d'AML.
6 : les trois jeunes appelés engagés dans l'épreuve par l'école d'application du train de Tours. De gauche à droite, le soldat Morales, le soldat Hagnere, le 1ère classe Chabanette.
7 et 7 bis : les hommes participèrent très activement à l'installation des dispositifs de sécurité.
8 et 9 : un sergent d'un peloton du 8e régiment de commandement et de soutien dans le parc de ravitaillement.
10 à 14 : le dimanche matin, dans les heures précédant le départ, concurrents et mécaniciens se concentrent en vue de la course.
15 à 17 : n° 15 le soldat Morales EAT Tours.
18 et 19 : n° 16 le 1ère classe Chabanette EAT Tours.
20 à 29 : une concurrente.
21 : un officier du 7e régiment de chasseur en compagnie de Thierry Sabine.
22 et 23 : Peugeot, l'armée de terre, ainsi que le quotidien "la voix du nord" organisait le 7e enduro du Touquet.
24 et 25 : après l'ouverture du parc, les motards de la gendarmerie nationale précédaient et guidaient vers la plage les 1025 motos engagés.
26 et 27 : toujours omniprésents les militaires contrôlent la situation avant le départ de la première manche.
30 à 34 : le 1ère classe Chabanette semble extrêmement nerveux.
35 à 49 : pendant la première manche.
50 à 53 : préparation du départ de la deuxième manche.
54 à 57 : départ de la deuxième manche. Les trois cent mille chevaux DIN sont libérés une fois de plus mais pour deux heures maintenant.
58 à 73 : le rôle de l'armée ne se limitie pas seulement à l'organisation, elle tient un rôle très actif durant la course en aidant les concurrents enlisés dans le sable, en panne, ou accidentés.
65 : Morales durant la course.
66 : Hubert Auriol vainqueur de l'édition 81 du rallye Paris-Dakar.
74 : Chabanette pendant la course.
75 : Morales se hisse à la 13e place. Ce fut un excellent résultat pour l'EAT Tours.
76 à 82 : pendant que les concurrents poursuivent leur ronde sur le sable fin.
83 : .... que le n° 5 Jean-Pierre Mingels file vers la victoire ....
84 : les militaires continuent à rendre de grands services aux motards.
85 : le n° 7 steve Martin se classe second.
87 à 90 : le lundi matin les chasseurs d'Arras, toujours là, vont nettoyer la plage el la rendre aux curistes de l'établissement thalassothérapique.
91 : les concurrents arrivent des quatre coins de France.
92 : les auto-mitrailleuses qui donneront le départ, vont se placer devant l'hôtel Westminster.
93 à 96 : dès samedi matin, les premiers motards vont, guidés par un dispositif militaire , au palais des sports pour être enregistrés et recevoir leur numéro.
97 : petite moto deviendra grande ...
98 à 103 : discussion entre militaires et spectateurs et installation du QG militaire près de l'arrivée sur la plage.
104 et 105 : le dimanche matin, le givre recouvre les motos stationnées dans le parc fermé du palais de l'Europe.
L 106 à 110 : attente frénétique avant le départ du palais de l'Europe pour la traversée de la ville. Les trosi organisateurs de l'épreuve : l'armée, Thierry Sabine et Léonce Deprez, maire du Touquet.
118 : signe de Thierry Sabine pour l'ouverture des portes du parc fermé.
111 à 115 : défilé des motards à travers le Touquet précédés par les motards de la gendarmerie.
116 : le dispositif militaire de sécurité sur la plage est prêt à fonctionner.
117 : même la télévision est là !
119 à 120 : les motards arrivent sur l'emplacement du départ.
121 à 127 : le départ est donné par les auto-mitrailleuses pendant que l'hélicoptère militaire assure la sécurité aérienne en éloignant la foule de la piste de course. Les jeeps de l'armée dégagent de la piste les motos qui ne peuvent continuer.
128 à 135 : différents passages de la course, l'encadrement étant assuré par l'armée.
136 à 139 : arrêt des concurrents au parc assistance. Le numéro 16 Chabanette faisant partie de la sélection militaire.
140 à 145 : vues aériennes du circuit et des différents passages !
146 et 147 : premier à l'arrivée Jean-Paul Mingels sur Yamaha.
148 à 150 : virage de l'arrivée.
151 : certains ne manquent pas d'humour.
152 à 154 : remise des coupes à M. Deprez, maire du Touquet au 1er puis par Thierry Sabine au deuxième, l'américain Steve Martin sur Kawasaki.
155 à 156 : Thierry Sabine remet la coupe au capitaine Martin responsable des concurrents militaires.
LC 1 à 3 : les deux automitrailleuses légères du 7e régiment de chasseurs d'Arras destinées à donner le départ du 7e enduro du Touquet avait pris place dès le samedi devant l'hôtel Westminster qui hébergeait les meilleurs concurrents et la presse civile.
4 à 5 : de nombreux contacts s'effectuèrent entre les jeunes motards et les conducteurs d'AML.
6 : les trois jeunes appelés engagés dans l'épreuve par l'école d'application du train de Tours. De gauche à droite, le soldat Morales, le soldat Hagnere, le 1ère classe Chabanette.
7 et 7 bis : les hommes participèrent très activement à l'installation des dispositifs de sécurité.
8 et 9 : un sergent d'un peloton du 8e régiment de commandement et de soutien dans le parc de ravitaillement.
10 à 14 : le dimanche matin, dans les heures précédant le départ, concurrents et mécaniciens se concentrent en vue de la course.
15 à 17 : n° 15 le soldat Morales EAT Tours.
18 et 19 : n° 16 le 1ère classe Chabanette EAT Tours.
20 à 29 : une concurrente.
21 : un officier du 7e régiment de chasseur en compagnie de Thierry Sabine.
22 et 23 : Peugeot, l'armée de terre, ainsi que le quotidien "la voix du nord" organisait le 7e enduro du Touquet.
24 et 25 : après l'ouverture du parc, les motards de la gendarmerie nationale précédaient et guidaient vers la plage les 1025 motos engagés.
26 et 27 : toujours omniprésents les militaires contrôlent la situation avant le départ de la première manche.
30 à 34 : le 1ère classe Chabanette semble extrêmement nerveux.
35 à 49 : pendant la première manche.
50 à 53 : préparation du départ de la deuxième manche.
54 à 57 : départ de la deuxième manche. Les trois cent mille chevaux DIN sont libérés une fois de plus mais pour deux heures maintenant.
58 à 73 : le rôle de l'armée ne se limitie pas seulement à l'organisation, elle tient un rôle très actif durant la course en aidant les concurrents enlisés dans le sable, en panne, ou accidentés.
65 : Morales durant la course.
66 : Hubert Auriol vainqueur de l'édition 81 du rallye Paris-Dakar.
74 : Chabanette pendant la course.
75 : Morales se hisse à la 13e place. Ce fut un excellent résultat pour l'EAT Tours.
76 à 82 : pendant que les concurrents poursuivent leur ronde sur le sable fin.
83 : .... que le n° 5 Jean-Pierre Mingels file vers la victoire ....
84 : les militaires continuent à rendre de grands services aux motards.
85 : le n° 7 steve Martin se classe second.
87 à 90 : le lundi matin les chasseurs d'Arras, toujours là, vont nettoyer la plage el la rendre aux curistes de l'établissement thalassothérapique.
91 : les concurrents arrivent des quatre coins de France.
92 : les auto-mitrailleuses qui donneront le départ, vont se placer devant l'hôtel Westminster.
93 à 96 : dès samedi matin, les premiers motards vont, guidés par un dispositif militaire , au palais des sports pour être enregistrés et recevoir leur numéro.
97 : petite moto deviendra grande ...
98 à 103 : discussion entre militaires et spectateurs et installation du QG militaire près de l'arrivée sur la plage.
104 et 105 : le dimanche matin, le givre recouvre les motos stationnées dans le parc fermé du palais de l'Europe.
L 106 à 110 : attente frénétique avant le départ du palais de l'Europe pour la traversée de la ville. Les trosi organisateurs de l'épreuve : l'armée, Thierry Sabine et Léonce Deprez, maire du Touquet.
118 : signe de Thierry Sabine pour l'ouverture des portes du parc fermé.
111 à 115 : défilé des motards à travers le Touquet précédés par les motards de la gendarmerie.
116 : le dispositif militaire de sécurité sur la plage est prêt à fonctionner.
117 : même la télévision est là !
119 à 120 : les motards arrivent sur l'emplacement du départ.
121 à 127 : le départ est donné par les auto-mitrailleuses pendant que l'hélicoptère militaire assure la sécurité aérienne en éloignant la foule de la piste de course. Les jeeps de l'armée dégagent de la piste les motos qui ne peuvent continuer.
128 à 135 : différents passages de la course, l'encadrement étant assuré par l'armée.
136 à 139 : arrêt des concurrents au parc assistance. Le numéro 16 Chabanette faisant partie de la sélection militaire.
140 à 145 : vues aériennes du circuit et des différents passages !
146 et 147 : premier à l'arrivée Jean-Paul Mingels sur Yamaha.
148 à 150 : virage de l'arrivée.
151 : certains ne manquent pas d'humour.
152 à 154 : remise des coupes à M. Deprez, maire du Touquet au 1er puis par Thierry Sabine au deuxième, l'américain Steve Martin sur Kawasaki.
155 à 156 : Thierry Sabine remet la coupe au capitaine Martin responsable des concurrents militaires.
Catégories
| 1963-1989 |
| Armées |
| Vie des armées |
| ECPA [établissement cinématographique et photographique des armées] (1969-2001) |
Mots clés
Informations techniques
| Nombre de clichés | 0 |
|---|
Propriétés
| Référence | F 81-63 |
|---|---|
| Date de début | 15/02/1981 |
| Date de fin | 15/02/1981 |
| Date de prise de vue | 15/02/1981 |
| Photographe(s) | Jean-Claude Coutausse - |
| Date | 15/02/1981 |
| Lieu(x) | Touquet-Paris-Plage (Le) - |