Assemblage de cellules et pièces de bombardiers Lioré et Olivier LeO 451 (LeO 45) dans l'ancien bâtiment de l'usine Forclum, sur le terrain d'aviation d'Ambérieu-en-Bugey.

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Assemblage de cellules et pièces de bombardiers Lioré et Olivier LeO 451 (LeO 45) dans l'ancien bâtiment de l'usine Forclum, sur le terrain d'aviation d'Ambérieu-en-Bugey.

Photographe(s) : Inconnu

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Catégories

Armée de l’air

État français (Vichy) : armée d'armistice en France

Service cinématographique de l'armée de l'Air (1937)

Bombardier armée de l'air français 2e guerre mondiale

Industrie aéronautique

Mots clés

Armée de l'Air Avion bombardier France 39-45 LeO-451 Usine

Informations techniques

Procédé original	Négatif
Format d'origine	6x6
Support d'origine	Nitrate
Couleur	Noir et blanc
Orientation	paysage

Propriétés

Référence	AIR 42-17 R104
Date de début	01/05/1942
Date de fin	31/05/1942
Photographe(s)	Inconnu -
Lieu(x)	Ain - Ambérieu-en-Bugey - Rhône-Alpes -
Origine	Service cinématographique de l'Air
Mention obligatoire	© Auteur inconnu/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

Chaîne d'assemblage de bombardiers moyens Lioré et Olivier LeO 451 à Ambérieu-en-Bugey.

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Description du reportage

Sur le terrain d'aviation d'Ambérieu-en-Bugey, une chaîne d'assemblage de bombardiers Lioré et Olivier LeO 451 (LeO 45) fonctionne dans l'ancienne usine Forclum.

Le bombardier Lioré et Olivier LeO 451 (LeO 45) est produit par la Société nationale de construction d’avions du Sud-Est (SNCA -SE) à Ambérieu. Le site possède de nombreux avantages, qu’il s’agisse de sa vocation aéronautique ancrée depuis plus de vingt ans dans la région, de l'implantation d’infrastructures nécessaires à la production d’avions en temps de guerre, de la décentralisation stratégique en cas de conflit avec l’Allemagne. Quelque 1 100 ouvriers sont embauchés à la hâte pour les lignes de production ; les premiers appareils sortent de l’usine d’Ambérieu en 1939.
En 1941, la production aéronautique reprend sous l’impulsion des autorités allemandes, désireuses de mettre ce qui reste alors de l’industrie française au service de l’effort de guerre du Reich. Un programme de fabrication de 220 appareils en deux années est adopté à la fin de l’année 1941, à raison d’un avion destiné à la France pour cinq à l’Allemagne. La chaîne d’assemblage d’Ambérieu-en-Bugey est alors la seule à être réactivée dans toute la France.

Note : les négatifs AIR 42-17 R16, R78, R79, R132, R147, R148, R156, R175 et R176 sont manquants.