Les usines de Félix Amiot à Colombes étaient, avant la guerre, celles de la SECM (Société d'emboutissage et de constructions mécaniques), à l'origine notamment de la conception des bombardiers Amiot-370, -350 et -340.
Pendant la guerre, les nazis contraignent l'industriel à faire cause commune avec le constructeur allemand Junkers. C'est ainsi que l'usine de Colombes produit des centaines d'avions de transport Junkers Ju-52.
A la libération, étant donné l'efficacité de l'avion, la production continue avec son personnel fémini, remplaçant les hommes partis au combat, tués ou blessés.