
VIDÉO
Autour de Brazzaville.
Reportage montrant les diverses activités des Africains du Congo.
Paysages. Exploitation du caoutchouc ; exploitation des forêts ; culture du coton ; culture du café ; récolte des noix de palme ; exploitation d'une mine d'or. Groupe mobile médical ; école. Entraînement de tirailleurs sénégalais.
L'INA détient une copie de ce film avec l'OFIC comme producteur :
Les 26/27/28 août 1940 l'Afrique Equatoriale Française et le Cameroun se rallient à la France libre. Pendant deux années les Français vont transformer ce territoire et en faire une région riche, puissante et fertile, prête à collaborer à l'effort de guerre. Ce documentaire raconte cette épopée à travers des images filmées en AEF et au Cameroun pendant les années de guerre, et un commentaire épique signé Pierre Bernard et Pierre Javet. L'importance stratégique de l'AEF nécessita le développement des routes et la construction de centaines d'ouvrages d'art. Le port de Pointe Noire fût créé. Les marchandises acheminées jusque là étaient ensuite transportées sur une ligne de chemin de fer jusqu'au port fluvial de Brazzaville. En novembre 1940, deux lignes aériennes étaient fondées.La France libre avait besoin de tout, l'AEF lui donna beaucoup: caoutchouc ; bois ; coton ; café ; huile de palme ; or... et une main d'oeuvre illimitée.Afin de maintenir cette main d'oeuvre en bonne santé, des groupes mobiles allaient de village en village procéder au dépistage de maladies, comme la maladie du sommeil. Les médecins blancs n'étant pas assez nombreux, des auxilliaires de santé indigènes étaient formés. Dans les villes, hôpitaux, maternités et orphelinats voyaient le jour. Des écoles étaient ouvertes par centaines aux enfants africains, formés indistinctement par des instituteurs et des missionnaires. Durant cette période, 4000 familles avaient rejoint la communauté chrétienne et de nombreux prêtres indigènes furent ordonnés "pour propager la foi chez leurs frères de race". Tandis que les jeunes filles apprenaient les règles de la bienséance et la cuisine, les jeunes hommes étaient formés dans des écoles professionnelles à différents métiers : menuiserie, couture, soudure, mécanique.Cette population indigène collabora aussi à l'effort de guerre en tant que soldats, rejoignant les bataillons des Leclerc, Koenig et autres glorieux généraux.
Notes :
Source résumé site INA.fr
Attention : pour toute utilisation de ce document, veuillez contacter un responsable de la médiathèque ou un chargé de clientèle.
Réalisé avec la collaboration de Germaine Krull (photographe).
Assistante monteuse : Marthe Gottié.
Une copie restaurée existe au CNC.
Une copie existe également à l'INA avec comme producteur l'OFIC (cf. générique : "L'OFIC présente").
Paysages. Exploitation du caoutchouc ; exploitation des forêts ; culture du coton ; culture du café ; récolte des noix de palme ; exploitation d'une mine d'or. Groupe mobile médical ; école. Entraînement de tirailleurs sénégalais.
L'INA détient une copie de ce film avec l'OFIC comme producteur :
Les 26/27/28 août 1940 l'Afrique Equatoriale Française et le Cameroun se rallient à la France libre. Pendant deux années les Français vont transformer ce territoire et en faire une région riche, puissante et fertile, prête à collaborer à l'effort de guerre. Ce documentaire raconte cette épopée à travers des images filmées en AEF et au Cameroun pendant les années de guerre, et un commentaire épique signé Pierre Bernard et Pierre Javet. L'importance stratégique de l'AEF nécessita le développement des routes et la construction de centaines d'ouvrages d'art. Le port de Pointe Noire fût créé. Les marchandises acheminées jusque là étaient ensuite transportées sur une ligne de chemin de fer jusqu'au port fluvial de Brazzaville. En novembre 1940, deux lignes aériennes étaient fondées.La France libre avait besoin de tout, l'AEF lui donna beaucoup: caoutchouc ; bois ; coton ; café ; huile de palme ; or... et une main d'oeuvre illimitée.Afin de maintenir cette main d'oeuvre en bonne santé, des groupes mobiles allaient de village en village procéder au dépistage de maladies, comme la maladie du sommeil. Les médecins blancs n'étant pas assez nombreux, des auxilliaires de santé indigènes étaient formés. Dans les villes, hôpitaux, maternités et orphelinats voyaient le jour. Des écoles étaient ouvertes par centaines aux enfants africains, formés indistinctement par des instituteurs et des missionnaires. Durant cette période, 4000 familles avaient rejoint la communauté chrétienne et de nombreux prêtres indigènes furent ordonnés "pour propager la foi chez leurs frères de race". Tandis que les jeunes filles apprenaient les règles de la bienséance et la cuisine, les jeunes hommes étaient formés dans des écoles professionnelles à différents métiers : menuiserie, couture, soudure, mécanique.Cette population indigène collabora aussi à l'effort de guerre en tant que soldats, rejoignant les bataillons des Leclerc, Koenig et autres glorieux généraux.
Notes :
Source résumé site INA.fr
Attention : pour toute utilisation de ce document, veuillez contacter un responsable de la médiathèque ou un chargé de clientèle.
Réalisé avec la collaboration de Germaine Krull (photographe).
Assistante monteuse : Marthe Gottié.
Une copie restaurée existe au CNC.
Une copie existe également à l'INA avec comme producteur l'OFIC (cf. générique : "L'OFIC présente").
Catégories
| Entrées extraordinaires |
| Deuxième guerre mondiale |
Propriétés
| Réalisateur | François Villiers - |
|---|---|
| Lieu(x) | Afrique - Congo-Brazzaville - |
Informations
| Référence | FT 34 |
|---|---|
| Durée | 00:24:44 |
| Format d'origine | 35 mm |
| Couleur | Noir et blanc |
| Origine | SFIT (service français d'information en Tchécoslovaquie) |