(Bois des Hauts-Bâtis). (Marne). Ravin (des Marolines). Abris des brancardiers divisionnaires. [légende d'origine]

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(Bois des Hauts-Bâtis). (Marne). Ravin (des Marolines). Abris des brancardiers divisionnaires. [légende d'origine]

Photographe(s) : Jules-Louis Tétart

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Sud de Rond Champ. Bivouac.

Catégories

Front occidental

SPA [section photographique de l'armée] (1915-1917)

Campement français 1re guerre mondiale

Mots clés

Abri Arbre Bivouac Brancardier Chemin Forêt

Informations techniques

Procédé original	Négatif, Stéréoscopique
Format d'origine	6x13
Support d'origine	Plaque de verre
Couleur	Noir et blanc
Orientation	paysage

Propriétés

Référence	SPA 42 T 1751
Date de début	29/04/1916
Date de fin	29/04/1916
Photographe(s)	Jules-Louis Tétart -
Lieu(x)	Champagne-Ardenne - Bois des Hauts Bâtis - Marne -
Origine	SPA/SPCA
Mention obligatoire	© Jules-Louis Tétart/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

Le secteur du bois des Hauts Bâtis dans la forêt d'Argonne, avril 1916.

Voir la notice du reportage

Description du reportage

La cérémonie de remise de décoration au capitaine Duport à Sainte-Menehould.
Le poste de secours divisionnaire et les abris des brancardiers installés dans les bois des Hauts Bâtis en forêt d'Argonne au lieu-dit du Ravin des Marolines. Le portrait du médecin-chef du poste de secours. La chapelle Notre-Dame installée dans les bois de Hauts Bâtis à l'heure de l'office religieux. La confection artisanale de cannes et de béquilles d'ombrelles en bois d'Argonne.
Les positions d'artillerie de 75 mm et de 75 mm contre-avions (DCA) installées dans le bois du Hauts Bâtis. Les servants vivent dans les souterrains.
A Moiremont, le portrait du maréchal des logis Flachaire qui a abattu un avion de chasse allemand Aviatik au dessus de Vienne-le-Château. Ce dernier pose aux côtés de l'épave et du général Hennocques, commandant de la 20e division d'infanterie (20e DI), qui lui adresse ses félicitations. L'appareil Nieuport du maréchal des logis et le pilote allemand prisonnier sont également photographiés.
En gare de Sainte-Menehould, une commission de la presse française visite l'intérieur des wagons sanitaires chargés d'évacuer les blessés. Les journalistes découvrent la cantine.