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Cérémonie dans le cimetière de Touggourt.
Des tirailleurs de la 7e compagnie du 2e bataillon du 3e RTA (régiment de tirailleurs algériens) présentent les armes devant le monument aux morts dédié aux combattants de 1871 dans le cimetière de Touggourt.
Catégories
Informations techniques
Procédé original | Négatif |
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Format d'origine | 6x6 |
Support d'origine | Nitrate |
Couleur | Noir et blanc |
Orientation | portrait |
Propriétés
Référence | VICHY 254-4567 |
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Date de début | 01/05/1942 |
Date de fin | 31/05/1942 |
Photographe(s) | Maurice Crespi - |
Lieu(x) | Algérie - Touggourt - |
Origine | SCA |
Mention obligatoire | © Crespi/ECPAD/Défense |
La photographie est issue du reportage suivant :
L'armée d'Afrique : la 7e compagnie du 2e bataillon du 3e RTA, stationnée à Touggourt (Algérie).
Voir la notice du reportageDescription du reportage
Après l'attaque de Mers-El-Kébir et le ralliement de l'AEF (Afrique équatoriale française) à la France Libre, le centre de gravité des forces françaises est transféré en Afrique du Nord où le maréchal Pétain veut préserver les troupes.
La commission italienne d'armistice veut imposer un effectif de 30 000 hommes en Afrique du Nord, effectif jugé insuffisant par les autorités françaises pour maintenir la souveraineté nationale sur le territoire. Le gouvernement français estime en effet que 120 000 hommes sont nécessaires au seul maintien de l'ordre. En avril 1941, l'effectif réalisé est stabilisé à environ 113 000 hommes.
Cette armée d'Afrique de l'armistice, dite aussi de transition, se trouve sous les ordres du général Weygand, délégué du gouvernement en Afrique française du Nord, puis du général de corps d'armée Alphonse Juin, commandant en chef des forces en Afrique du Nord. Ces forces, auxquelles il convient de rajouter les troupes rapatriées du Levant en juillet 1941 (environ 10 000 hommes), sont organisées en divisions de marche en Algérie, au Maroc et en Tunisie.
Les infrastructures de la 7e compagnie du 2e bataillon du 3e RTA (régiment de tirailleurs algériens) stationnée à Touggourt, rattachée à la 5e brigade d'infanterie de la division de Constantine, ainsi que les activités quotidiennes des tirailleurs sont présentées dans ce reportage.
La précision "7e compagnie du 2e bataillon" est donnée sous réserves.
La commission italienne d'armistice veut imposer un effectif de 30 000 hommes en Afrique du Nord, effectif jugé insuffisant par les autorités françaises pour maintenir la souveraineté nationale sur le territoire. Le gouvernement français estime en effet que 120 000 hommes sont nécessaires au seul maintien de l'ordre. En avril 1941, l'effectif réalisé est stabilisé à environ 113 000 hommes.
Cette armée d'Afrique de l'armistice, dite aussi de transition, se trouve sous les ordres du général Weygand, délégué du gouvernement en Afrique française du Nord, puis du général de corps d'armée Alphonse Juin, commandant en chef des forces en Afrique du Nord. Ces forces, auxquelles il convient de rajouter les troupes rapatriées du Levant en juillet 1941 (environ 10 000 hommes), sont organisées en divisions de marche en Algérie, au Maroc et en Tunisie.
Les infrastructures de la 7e compagnie du 2e bataillon du 3e RTA (régiment de tirailleurs algériens) stationnée à Touggourt, rattachée à la 5e brigade d'infanterie de la division de Constantine, ainsi que les activités quotidiennes des tirailleurs sont présentées dans ce reportage.
La précision "7e compagnie du 2e bataillon" est donnée sous réserves.
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