
VIDÉO
Colomb-Béchar.
Aucun support physique connu n'existe pour ce film. Les renseignements sont donc donnés à titre d'information.
Compte-rendu d'origine :
Réalités sahariennes
- Gisement du Gara Djebilet
Au lieu dit Gara Djebilet, à 135km à vol d'oiseau au sud est de Tindouf (Tindouf est à 800 km de Colomb-Béchar et à 500 km de l'Atlantique) au voisinage immédiat de la frontière algéro-mauritanienne a été découvert un formidable gisement de fer (Par monsieur Gevin, géologue du Service de la colonisation et de l'hydraulique de l'Algérie en janvier 1953).
Le bureau de recherches minières de l'Algérie a procédé à une reconnaissance détaillée consistant en un premier quadrillage de puits à la maille de 2 km, complété par des sondages à la maille de 500m sur 50. Des sondages prévus ont ainsi été réalisés. Aujourd'hui le bureau industriel africain poursuit les études relatives à l'exploitation du gisement et au transport de minerai.
La surface minéralisée comprend deux "Garas", l'une de 8000 ha, l'autre de 5000. Cette surface qui a une puissance pouvant aller jusqu'à 15 mètres, contient donc des réserves de fer d'environ deux milliards de tonnes, 500 000 000 ont déjà été découvertes d'une teneur de 55%. Plusieurs centaines de milliers de tonnes se trouvent d'ailleurs à fleur de terre.
L'extraction du minerai sera le plus souvent facile, la mine peut être à ciel ouvert. Par contre deux difficultés devront être surmontées : le manque d'eau potable et l'évacuation du minerai. Il n'en reste pas moins vrai que cette anomalie magnétique représente l'un des plus beaux espoirs qu'offre aujourd'hui le désert français.
Les espoirs ne peuvent être déçus. Les réserves globales de plus de deux milliards de tonnes de fer d'une teneur variant entre 38 et 58% ont été découvertes.
Les études auxquelles précèdent actuellement la Société générale d'exploitation industrielle (S.O.G.E.I.) concluent un investissement de 70 milliards de francs pour produire et évacuer 5 millions de tonnes de minerai de fer par an.
Le prix F.O.B de la tonne de minerai à Agadir (Maroc) pourrait être d'environ 3000 francs.
Le fond du problème est en fait de savoir si le minerai de fer de Tindouf trouvera des acheteurs et plus particulièrement s'il sera capable de concurrencer celui de Suède.
On peut penser que les débouchés probables du minerai de Tindouf seront les suivants :
- France : 1 000 000 tonnes
- Allemagne : 2 000 000 tonnes
- Etats-Unis : 2 000 000 tonnes
- Autres pays : 1 000 000 tonnes
A l'heure actuelle, Tindouf est une des chances du Sahara Français. Si l'on exploite le fer de Gara Djebilet, la France reste l'un des plus gros exportateur de fer dans le monde, si on y renonce d'autres gisements seront mis en valeur au Labrador, au Brésil et aux Indes, et le gisement français "mis en portefeuille" ne sera probablement jamais exploité. La France aura donc perdu un de ses plus beaux atouts de l'outre-mer, elle aura manqué à sa "mission". Il ne faut toutefois pas se dissimuler que cette entreprise, pour garder sa pleine signification, exigera beaucoup de négociations et d'habileté.
* Tindouf - Terre d'espérance
Pour quelques 5000 nomades "Reguirat" des régions de la frontière marocaine et mauritanienne Tindouf est synonyme d'espoir. Pour ces populations la sécheresse des derniers mois a été catastrophique car elle a décimé les troupeaux de chameaux qui étaient la seule ressource des nomades. Ils sont donc venus se placer sous la protection de la France à Tindouf.
Un énorme effort a été fait pour eux : des distributions périodiques de vivres sont faites, les hommes sont employés aux chantiers communaux, les enfants vont à l'école et y sont nourris, l'assistance médicale soigne les malades qui sont très nombreux, surtout les enfants à cause des famines endurées. Un ouvroir et des cours de puériculture ont été ouverts pour les femmes qui s'y rendent en grand nombre.
Tous les jours de nouvelles tentes viennent se dresser aux portes de Tindouf. Toujours plus nombreux sont les nomades qui viennent se mettre sous la protection de la France.
* Les mines de Kenadsa : historique
L'existence de ce gisement houiller est connue depuis les premières années du siècle où géologues et militaires participèrent ensemble à sa découverte.
Après les premiers coups de pic de l'infanterie coloniale, l'exploitation systématique commença à Kenadsa en 1917.
Puis, la concession fut accordée aux Chemins de fers algériens de l'état pour lesquels c'était une source commode d'approvisionnement en charbon, à l'extrémité de la voie ferrée métrique Oran-Colomb-Béchar. Dans ce stade, la production resta limitée à 100 tonnes par jour environ.
La guerre 1939-1945, réduisant l'approvisionnement habituel de l'Algérie en charbon étrangers, une production rapidement accrue fut demandée à ce bassin. Un second centre d'exploitation fut crée à Bechar-Djedid et l'écoulement de la production exigea la réalisation jusqu'à Kenadsa du premier tronçon de la voie ferrée normale du Méditerranée-Niger (Transsaharien).
En 1943, l'exploitation de l'ensemble Kennadsa-Bechar-Djedid fut groupée et confiée à la "Régie des charbonnages de Colomb-Béchar". La production atteignait 500 tonnes par jour à la fin de la guerre.
En 1947, les "houillères du sud oranais" furent instituées par décret sous une forme analogue à celle des houillères des bassins métropolitains, en application de la loi sur la nationalisation des houillères.
La production maximale atteinte depuis 1950 a été de 1100 tonnes par jour. A retenir que ces houillères ont toujours été la propriété de l'état.
L'ensemble houiller de Colomb-Béchar comprend trois bassins bien individualisés malgré leurs caractères stratigraphiques communs :
- Le bassin de Kenadsa-Bechar
- Le bassin de Sfaia-Ksi Ksou
- Le bassin de Mezarif-Nekheila (dont la prospection n'est pas encore commencée)
Entre les deux guerres l'exploitation de cet ensemble houiller a été de 35 000 tonnes. En 1950, elle s'est élevée à 230 000 tonnes pour atteindre 300 000 en 1955. 50 000 tonnes sont consommées sur place, surtout pour les besoins de la mine, 120 000 tonnes sont utilisées pour la centrale thermique d'Oran et 105 000 tonnes pour les cimenteries de Saint-Lucien (Oranie). Le marché espagnol qui consommait entre 15 et 45 tonnes a été perdu depuis 1954.
Le rendement du fond dans le gisement de Kenadsa-Bechar est d'environ 700kg. Dans le gisement de Ksi-Ksou, où les couches sont plus épaisses (70 cm au lieu de 40) il atteint 1300 kg.
- Perspectives d'avenir :
La formule simple est de consommer sur place les produits de l'exploitation. Les projets de combinat industriel dans la région de Colomb-Béchar offrent diverses perspectives : métallurgie, cimenterie, synthèse d'engrais azotés.
Pour l'instant toutefois, après 4 ans de recherches et d'études assez poussées ces perspectives tardent à se concrétiser. Par contre, un projet de centrale thermique puissante reliée au réseau général de l'Algérie semble apte à fournir une solution très satisfaisante. La centrale de Bechar pourrait atteindre une puissance de 100 000Kw et fournir environ 450 millions de Kw/h annuels à l'Algérie du nord, principalement à l'Algérois. Il y a assez de charbon et même d'eau, et le transport est techniquement possible à 800 km, distance qui évidemment provoque certaines craintes dans l'esprit d'électricité et de gaz d'Algérie.
- Questions sociales :
Les H.S.O ont 3500 agents dont 550 européens. Les salaires de ces agents font vivre directement environ 15 000 personnes et ont une plus grande part dans l'activité économique d'ensemble des agglomérations de Colomb-Béchar, Béchar-Djedid et Kenadsa qui groupent environ 40 000 personnes. La grosse majorité de cette population était autrefois nomade et exposée à toutes les vicissitudes de la vie saharienne.
Le personnel est encore relativement instable mais une bonne moitié est définitivement sédentaire. Les H.S.O mettent à la disposition de ce personnel :
- 1600 logements
- 2 hôpitaux et une pharmacie (deux médecins, un pharmaciens, deux sages femmes)
- De nombreuses écoles
- Des économats
- Des bars et des restaurants
- Trois piscines
- Deux terrains de sport
- Un cinéma
- Deux salles des fêtes
- Une colonie de vacances de 50 places à Ain-Taya près d'Alger
Métrage total : 930 mètres pour le film Colomb-Béchar
* Mines de Kenadza :
- Boîte n°1 : Plus X 60 mètres : Recensement de population à l'oasis de Ouffrane. Le colonel Laure, commandant le secteur de Timimoun parle aux musulmans rassemblés
- Boîte n°2 : Plus X 60 mètres : Diffa après le recensement avec le caïd d'Ouffrane. Dépeçage et vente d'un chameau. Extérieurs mines de Kenadza.
- Boîte n°3 : Tri XXX 30 mètres : Intérieurs ateliers de réparation des mines. Intérieur centrale électrique.
- Boîte n°4 : Plus X 60 mètres : Ext. Mines
- Boîte n°5 : Plus X 60 mètres : Ext. Mines, Ext. Centrale électrique
- Boîte n°6 : Tri XXX 60 mètres : (légèrement sous exposée). Intérieur ateliers de réparation. Intérieur centrale électrique
- Boîte n°7 : 30 mètres plus X : Vues aériennes des mines de la centrale électrique et de Colomb-Béchar.
- Boîte n°8 : Plus X 60 mètres : Ecoles et dispensaires des mines de Kenadza
- Boîte n°9 : Plus X 60 mètres : école et coopérative de Kenadza. Mines : lavage et triage du charbon
* Tindouf :
- Boîte n°10 : Tri XXX. 60 mètres : mineurs rentrant chez eux, habitations des mineurs. Ecole de Tindouf
- Boîte n°11 : Plus X 60 mètres : Ecole de Tindouf. Leçon de calcul à l'aide de lézards des sables. Cantine
- Boîte n°12 : plus X 60 mètres : nomades Reghibats sous la tente. Assistance médicale de Tindouf
- Boîte n°13 : Plus X 60 mètres : Ravitailllement de poste de Cum-El-Achar par avion. Le poste à la frontière du Maroc. Vues aériennes de Tindouf
- Boîte n°14 : Plus X 30 mètres. Comades Reghibats employés aux chantiers communaux de Tindouf
- Boîte n°15 : Plus X 60 mètres : Cours ménagers aux femmes et enfants de Tindouf
* Gara-Djebilet :
- Boîte n°16 : Plus X 60 mètres : Ferrages aux gisements de fer de Gara-Djebilet
- Boîte n°17 : Plus X 60 mètres : Ferrages de Djebilet
Compte-rendu d'origine :
Réalités sahariennes
- Gisement du Gara Djebilet
Au lieu dit Gara Djebilet, à 135km à vol d'oiseau au sud est de Tindouf (Tindouf est à 800 km de Colomb-Béchar et à 500 km de l'Atlantique) au voisinage immédiat de la frontière algéro-mauritanienne a été découvert un formidable gisement de fer (Par monsieur Gevin, géologue du Service de la colonisation et de l'hydraulique de l'Algérie en janvier 1953).
Le bureau de recherches minières de l'Algérie a procédé à une reconnaissance détaillée consistant en un premier quadrillage de puits à la maille de 2 km, complété par des sondages à la maille de 500m sur 50. Des sondages prévus ont ainsi été réalisés. Aujourd'hui le bureau industriel africain poursuit les études relatives à l'exploitation du gisement et au transport de minerai.
La surface minéralisée comprend deux "Garas", l'une de 8000 ha, l'autre de 5000. Cette surface qui a une puissance pouvant aller jusqu'à 15 mètres, contient donc des réserves de fer d'environ deux milliards de tonnes, 500 000 000 ont déjà été découvertes d'une teneur de 55%. Plusieurs centaines de milliers de tonnes se trouvent d'ailleurs à fleur de terre.
L'extraction du minerai sera le plus souvent facile, la mine peut être à ciel ouvert. Par contre deux difficultés devront être surmontées : le manque d'eau potable et l'évacuation du minerai. Il n'en reste pas moins vrai que cette anomalie magnétique représente l'un des plus beaux espoirs qu'offre aujourd'hui le désert français.
Les espoirs ne peuvent être déçus. Les réserves globales de plus de deux milliards de tonnes de fer d'une teneur variant entre 38 et 58% ont été découvertes.
Les études auxquelles précèdent actuellement la Société générale d'exploitation industrielle (S.O.G.E.I.) concluent un investissement de 70 milliards de francs pour produire et évacuer 5 millions de tonnes de minerai de fer par an.
Le prix F.O.B de la tonne de minerai à Agadir (Maroc) pourrait être d'environ 3000 francs.
Le fond du problème est en fait de savoir si le minerai de fer de Tindouf trouvera des acheteurs et plus particulièrement s'il sera capable de concurrencer celui de Suède.
On peut penser que les débouchés probables du minerai de Tindouf seront les suivants :
- France : 1 000 000 tonnes
- Allemagne : 2 000 000 tonnes
- Etats-Unis : 2 000 000 tonnes
- Autres pays : 1 000 000 tonnes
A l'heure actuelle, Tindouf est une des chances du Sahara Français. Si l'on exploite le fer de Gara Djebilet, la France reste l'un des plus gros exportateur de fer dans le monde, si on y renonce d'autres gisements seront mis en valeur au Labrador, au Brésil et aux Indes, et le gisement français "mis en portefeuille" ne sera probablement jamais exploité. La France aura donc perdu un de ses plus beaux atouts de l'outre-mer, elle aura manqué à sa "mission". Il ne faut toutefois pas se dissimuler que cette entreprise, pour garder sa pleine signification, exigera beaucoup de négociations et d'habileté.
* Tindouf - Terre d'espérance
Pour quelques 5000 nomades "Reguirat" des régions de la frontière marocaine et mauritanienne Tindouf est synonyme d'espoir. Pour ces populations la sécheresse des derniers mois a été catastrophique car elle a décimé les troupeaux de chameaux qui étaient la seule ressource des nomades. Ils sont donc venus se placer sous la protection de la France à Tindouf.
Un énorme effort a été fait pour eux : des distributions périodiques de vivres sont faites, les hommes sont employés aux chantiers communaux, les enfants vont à l'école et y sont nourris, l'assistance médicale soigne les malades qui sont très nombreux, surtout les enfants à cause des famines endurées. Un ouvroir et des cours de puériculture ont été ouverts pour les femmes qui s'y rendent en grand nombre.
Tous les jours de nouvelles tentes viennent se dresser aux portes de Tindouf. Toujours plus nombreux sont les nomades qui viennent se mettre sous la protection de la France.
* Les mines de Kenadsa : historique
L'existence de ce gisement houiller est connue depuis les premières années du siècle où géologues et militaires participèrent ensemble à sa découverte.
Après les premiers coups de pic de l'infanterie coloniale, l'exploitation systématique commença à Kenadsa en 1917.
Puis, la concession fut accordée aux Chemins de fers algériens de l'état pour lesquels c'était une source commode d'approvisionnement en charbon, à l'extrémité de la voie ferrée métrique Oran-Colomb-Béchar. Dans ce stade, la production resta limitée à 100 tonnes par jour environ.
La guerre 1939-1945, réduisant l'approvisionnement habituel de l'Algérie en charbon étrangers, une production rapidement accrue fut demandée à ce bassin. Un second centre d'exploitation fut crée à Bechar-Djedid et l'écoulement de la production exigea la réalisation jusqu'à Kenadsa du premier tronçon de la voie ferrée normale du Méditerranée-Niger (Transsaharien).
En 1943, l'exploitation de l'ensemble Kennadsa-Bechar-Djedid fut groupée et confiée à la "Régie des charbonnages de Colomb-Béchar". La production atteignait 500 tonnes par jour à la fin de la guerre.
En 1947, les "houillères du sud oranais" furent instituées par décret sous une forme analogue à celle des houillères des bassins métropolitains, en application de la loi sur la nationalisation des houillères.
La production maximale atteinte depuis 1950 a été de 1100 tonnes par jour. A retenir que ces houillères ont toujours été la propriété de l'état.
L'ensemble houiller de Colomb-Béchar comprend trois bassins bien individualisés malgré leurs caractères stratigraphiques communs :
- Le bassin de Kenadsa-Bechar
- Le bassin de Sfaia-Ksi Ksou
- Le bassin de Mezarif-Nekheila (dont la prospection n'est pas encore commencée)
Entre les deux guerres l'exploitation de cet ensemble houiller a été de 35 000 tonnes. En 1950, elle s'est élevée à 230 000 tonnes pour atteindre 300 000 en 1955. 50 000 tonnes sont consommées sur place, surtout pour les besoins de la mine, 120 000 tonnes sont utilisées pour la centrale thermique d'Oran et 105 000 tonnes pour les cimenteries de Saint-Lucien (Oranie). Le marché espagnol qui consommait entre 15 et 45 tonnes a été perdu depuis 1954.
Le rendement du fond dans le gisement de Kenadsa-Bechar est d'environ 700kg. Dans le gisement de Ksi-Ksou, où les couches sont plus épaisses (70 cm au lieu de 40) il atteint 1300 kg.
- Perspectives d'avenir :
La formule simple est de consommer sur place les produits de l'exploitation. Les projets de combinat industriel dans la région de Colomb-Béchar offrent diverses perspectives : métallurgie, cimenterie, synthèse d'engrais azotés.
Pour l'instant toutefois, après 4 ans de recherches et d'études assez poussées ces perspectives tardent à se concrétiser. Par contre, un projet de centrale thermique puissante reliée au réseau général de l'Algérie semble apte à fournir une solution très satisfaisante. La centrale de Bechar pourrait atteindre une puissance de 100 000Kw et fournir environ 450 millions de Kw/h annuels à l'Algérie du nord, principalement à l'Algérois. Il y a assez de charbon et même d'eau, et le transport est techniquement possible à 800 km, distance qui évidemment provoque certaines craintes dans l'esprit d'électricité et de gaz d'Algérie.
- Questions sociales :
Les H.S.O ont 3500 agents dont 550 européens. Les salaires de ces agents font vivre directement environ 15 000 personnes et ont une plus grande part dans l'activité économique d'ensemble des agglomérations de Colomb-Béchar, Béchar-Djedid et Kenadsa qui groupent environ 40 000 personnes. La grosse majorité de cette population était autrefois nomade et exposée à toutes les vicissitudes de la vie saharienne.
Le personnel est encore relativement instable mais une bonne moitié est définitivement sédentaire. Les H.S.O mettent à la disposition de ce personnel :
- 1600 logements
- 2 hôpitaux et une pharmacie (deux médecins, un pharmaciens, deux sages femmes)
- De nombreuses écoles
- Des économats
- Des bars et des restaurants
- Trois piscines
- Deux terrains de sport
- Un cinéma
- Deux salles des fêtes
- Une colonie de vacances de 50 places à Ain-Taya près d'Alger
Métrage total : 930 mètres pour le film Colomb-Béchar
* Mines de Kenadza :
- Boîte n°1 : Plus X 60 mètres : Recensement de population à l'oasis de Ouffrane. Le colonel Laure, commandant le secteur de Timimoun parle aux musulmans rassemblés
- Boîte n°2 : Plus X 60 mètres : Diffa après le recensement avec le caïd d'Ouffrane. Dépeçage et vente d'un chameau. Extérieurs mines de Kenadza.
- Boîte n°3 : Tri XXX 30 mètres : Intérieurs ateliers de réparation des mines. Intérieur centrale électrique.
- Boîte n°4 : Plus X 60 mètres : Ext. Mines
- Boîte n°5 : Plus X 60 mètres : Ext. Mines, Ext. Centrale électrique
- Boîte n°6 : Tri XXX 60 mètres : (légèrement sous exposée). Intérieur ateliers de réparation. Intérieur centrale électrique
- Boîte n°7 : 30 mètres plus X : Vues aériennes des mines de la centrale électrique et de Colomb-Béchar.
- Boîte n°8 : Plus X 60 mètres : Ecoles et dispensaires des mines de Kenadza
- Boîte n°9 : Plus X 60 mètres : école et coopérative de Kenadza. Mines : lavage et triage du charbon
* Tindouf :
- Boîte n°10 : Tri XXX. 60 mètres : mineurs rentrant chez eux, habitations des mineurs. Ecole de Tindouf
- Boîte n°11 : Plus X 60 mètres : Ecole de Tindouf. Leçon de calcul à l'aide de lézards des sables. Cantine
- Boîte n°12 : plus X 60 mètres : nomades Reghibats sous la tente. Assistance médicale de Tindouf
- Boîte n°13 : Plus X 60 mètres : Ravitailllement de poste de Cum-El-Achar par avion. Le poste à la frontière du Maroc. Vues aériennes de Tindouf
- Boîte n°14 : Plus X 30 mètres. Comades Reghibats employés aux chantiers communaux de Tindouf
- Boîte n°15 : Plus X 60 mètres : Cours ménagers aux femmes et enfants de Tindouf
* Gara-Djebilet :
- Boîte n°16 : Plus X 60 mètres : Ferrages aux gisements de fer de Gara-Djebilet
- Boîte n°17 : Plus X 60 mètres : Ferrages de Djebilet
Informations
Référence | ACT 5808 |
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Date de réalisation | 01/01/1958 |
Date de début | 01/01/1958 |
Date de fin | 01/01/1958 |
Origine | SCA/Algérie (service cinématographique de l'armée française en Algérie) |