Commando Georges. Le piper a signalé un rebelle à un kilomètre de la position du commando. Au pas de course les commandos sont arrivés sur les lieux mais le rebelle avait déjà égorgé un berger.

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Commando Georges. Le piper a signalé un rebelle à un kilomètre de la position du commando. Au pas de course les commandos sont arrivés sur les lieux mais le rebelle avait déjà égorgé un berger.

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Retrait de la mention de protection par décision n°21289/ARM/ECPAD/DIR du 15 juin 2021.
Albums consultables à la médiathèque, travée C étagère 16.

Catégories

Plan Challe

Section Algérie (1956-1963)

Représentation de la mort

Population civile et vie civile

Supplétifs

Maintien de l'ordre

Forces spéciales/commandos

Mots clés

Cadavre Commando de chasse Commando Georges Harki Homme Mort Opération Population civile Berger

Informations techniques

Procédé original	Négatif
Format d'origine	6x6
Support d'origine	Acétate
Couleur	Noir et blanc
Orientation	portrait

Propriétés

Référence	ALG 60-172 R69
Date de début	30/04/1960
Date de fin	30/04/1960
Photographe(s)	Gérard Beauvais -
Lieu(x)	Algérie - L' Ouarsenis -
Origine	SCA/Algérie (service cinématographique des armées en Algérie)
Mention obligatoire	© Gérard Beauvais/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

Le commando Georges, créé par le lieutenant Georges Grillot, sous l'égide du colonel Bigeard.

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Description du reportage

Ce commando se compose de 75% de ralliés, d'anciens combattants et de jeunes engagés. Ces hommes connaissant parfaitement le terrain, les populations et les habitudes des fellaghas, permettent de détecter immanquablement l'ennemi. En se rapprochant au plus près de la formation réglementaire, ils ont appris à parler en français à la radio, à guider le Piper, à lire la carte et donner leurs coordonées, et enfin à faire "straffer" la chasse. Leur devise : "chasser la misère". C'est une misère apportée par la rebellion et qu'ils ont connue en étant dans le maquis. Cette devise est leur cause et leur foi.

Note : l'effectif de ce commando de chasse atteignit jusqu'à 240 hommes. Son organisation était calquée sur les katibas, unités militaires de l'Armée de Libération Nationale (ALN). Son insigne représentait un croissant de lune et un couteau.