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Corvée de ravitaillement en vivres de marins d'un des navires ancrés dans le port de Namsos.

Photographe(s) : Jean Manzon


Des marins, membres d'équipage d'un des navires ancrés dans le port de Namsos, effectuent une corvée de ravitaillement en vivres.

Informations techniques

Procédé original Négatif
Format d'origine 6x6
Support d'origine Acétate
Couleur Noir et blanc
Orientation portrait

Propriétés

Référence MARINE 240-3333
Date de début 20/04/1940
Date de fin 25/04/1940
Photographe(s) Jean Manzon -
Lieu(x) Namsos - Norvège -
Origine Service cinématographique de la Marine
Mention obligatoire © Jean Manzon/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

La campagne de Norvège : les marins français dans Namsos en ruine.

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Description du reportage

L'embarquement des unités franco-polonaises pour la Norvège débute le 12 avril 1940 depuis le port de Brest. La 1re DLCh et les éléments organiques du CEFS sont répartis en cinq convois principaux dont le départ du port breton s'échelonne entre le 12 et le 23 avril 1940. Ceux-ci font escale en Ecosse (Greenock ou Scapa Flow) avant de gagner la Norvège.
Le premier convoi emmenant les troupes franco-polonaises appareille le 12 avril de Brest et lève l'ancre le 16 avril 1940 de Greenock (Ecosse) à destination de Namsos (Norvège). Il se compose des quatre croiseurs auxiliaires/transports de troupes de la 1re division du contre-amiral Cadart, El Djezaïr , El Mansour , El Kantara et le Ville d'Oran . Il transporte notamment l'état-major du CEFS, une partie de l'état-major de la 1re DLCh et la 5e Demi-brigade de chasseurs alpins. Le paquebot transport de troupes le Ville d'Alger rejoint le convoi plus tard.
Le CEFS (Corps expéditionnaire français en Scandinavie) commence à débarquer à Namsos le 19 avril 1940. Les premiers éléments sont l'état-major du corps expéditionnaire ainsi que les unités de la 5e DBCA (demi-brigade de chasseurs alpins).Dès le lendemain, les habitants fuient la ville, cible de bombardements aériens allemands. Les troupes françaises sont disséminées dans les bois des montagnes du secteur afin d'échapper à ces bombardements alors que des marins patrouillent et montent la garde sur la base navale installée dans le port.
Note : certaines photos de ce reportage ont été publiées par plusieurs magazines de l'époque (Match, Le Miroir...) ainsi que par la presse régionale.

Photos du reportage(20)