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Danses et chants traditionnels centrafricains exécutés par des jeunes gens sous le regard du général de brigade Éric Bellot des Minières, commandant la force Sangaris, lors de la cérémonie pour la réouverture du marché de la ville.

Photographe(s) : Hugues Gillot



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Celui-ci est accompagné de messieurs Nicaise Karnou-Samedi, ministre de la sécurité de la République centrafricaine, Abel Matchipata, maire de la ville de Bambari et Romain Vuillaume, chargé d'affairess à l'ambassade de France. Un cordon de sécurité est mis en place afin d'assurer la protection des autorités et de la foule. Celui-ci est composé des tirailleurs du 1er Rt du GTIA (groupement tactique interarmes) Turco, ainsi que par des éléments de la force armée de la MINUSCA (mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en Centrafrique).

Informations techniques

Support d'origine Numérique
Couleur Couleur
Orientation largeur

Propriétés

Référence 2015_TREN_073_000_033
Date de début 16/03/2015
Date de fin 16/03/2015
Photographe(s) Hugues Gillot -
Lieu(x) Afrique - Bambari - République centrafricaine -
Personnes représentées Bellot des Minières, Eric - Espitalier, marc
Origine SIRPA Terre Rennes Cesson-Sévigné
Mention obligatoire © Hugues Gillot/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

Cérémonie de réouverture du marché de Bambari.

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Description du reportage

Ce reportage se place pendant la phase de stabilisation du pays et du désengagement de la France en faveur des forces africaines de la MINUSCA (mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en Centrafrique), phase engagée depuis avril 2014 après une sécurisation du pays. Bambari est un lieu d'instabilité à cause des affrontements inter-communautaires entre la Seleka et les Anti-balaka. Le reportage expose notamment la cérémonie de réouverture du marché de Bambari, fermé suite au conflit. Cet évènement est important pour la vie locale et demeure une preuve de la maîtrise de la situation par l'Etat centrafricain. Il convie en outre d'importantes autorités civiles centrafricaines et militaires françaises dont le général de brigade Éric Bellot des Minières, commandant la force Sangaris et le colonel Marc Espitalier, chef de corps du 1er RT et commandant le GTIA (groupement tactique interarmes) Turco.

Le 5 décembre 2013, le président de la République française, monsieur François Hollande annonce sa décision de renforcer le dispositif militaire français en Centrafrique (Force Boali) afin d'éviter une catastrophe humanitaire dans le pays, c'est l'opération Sangaris qui débute. Cette décision est précédée de l'adoption par le Conseil de sécurité des Nations unies de la Résolution 2127 qui prévoit en particulier : le soutien des Nations unies à la Force africaine, la MISCA dont l'effectif devrait atteindre les 4000 hommes avec le soutien par les forces françaises de cette force africaine, avec autorisation d'usage de la force au besoin. Le 10 avril 2014 est créée par une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies l'opération MINUSCA (Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation en Centrafrique) qui a pour but la stabilisation de la situation dans les principales agglomérations et la contribution au rétablissement de l’autorité de l’État dans toute la Centrafrique. (La MINUSCA prit le relais de la MISCA le 14 septembre 2014).

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