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Des obusiers camouflés (de 75/18 modèle 35) et des servants de la 20e division d'infanterie italienne Friuli sont en position au col de Teghime, en appui des troupes françaises. Il s'agit probablement d'une pièce d'artillerie appartenant à un groupe du 35e régiment d'infanterie.
Catégories
| Libération de la Corse |
| SCA [Service cinématographique de l'Armée] (1939-1946) |
| Autre obusier étranger 2e guerre mondiale |
| Armée Italie |
Informations techniques
| Procédé original | Négatif |
|---|---|
| Format d'origine | 24x36 |
| Support d'origine | Acétate |
| Couleur | Noir et blanc |
| Orientation | portrait |
Propriétés
| Référence | TERRE 101-1971 |
|---|---|
| Date de début | 02/10/1943 |
| Date de fin | 03/10/1943 |
| Photographe(s) | Inconnu - |
| Lieu(x) | France - Haute-Corse - Teghime - |
| Origine | SCA |
| Mention obligatoire | © Auteur inconnu/ECPAD/Défense |
La photographie est issue du reportage suivant :
La libération de la Corse : la bataille des cols et les combats pour la prise de Bastia.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
Deux phases de la libération de la Corse sont montrées dans ce reportage : d'une part la bataille des cols, engagée dans la nuit du 29 au 30 septembre 1943 avec la prise du col de San Stefano par la 1re compagnie du 1er régiment de tirailleurs marocains (1er RTM), du col de San Antonio, de San Leonardo... ; cette phase s'achève par la reconquête de la position du col de Teghime par les goumiers de tabors du 2e groupe de tabors marocains (2e GTM) le 2 octobre 1943 ; d'autre part les combats pour la libération de Bastia.
Les partisans corses et les troupes italiennes des divisions italiennes d'infanterie Cremona et Friuli apportent leur aide et appuient le 1er CA.
Notes : la datation du reportage est comprise entre le 29 septembre et le 5 octobre 1943 ; les dates des photographies sont comprises dans cette fourchette et sont indiquées sous réserves.
Photos du reportage(109)
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Près du cimetière du village de Murato, des partisans corses sont au côté de tirailleurs du 1er RTM (régiment de tirailleurs marocains) qu'ils vont guider jusqu'au col de San Stefano.
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Près du cimetière du village de Murato, des partisans corses sont au côté de tirailleurs du 1er RTM (régiment de tirailleurs marocains) qu'ils vont guider jusqu'au col de San Stefano.
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Des tirailleurs du 1er régiment de tirailleurs marocains (RTM) progressent vers le col de San Stefano.
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Lors de la progression de tirailleurs du 1er RTM (régiment de tirailleurs marocains) vers le col de San Stefano, l'un d'entre eux fait une halte.
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Des tirailleurs du 1er RTM (Régiment de tirailleurs marocains) progressent vers le col de San Stefano.
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Le colonel Pierre Boyer de La Tour du Moulin, commandant le 2e GTM (groupe de tabors marocains) s'entretient avec le capitaine Then (à gauche), commandant le 73e goum du 6e tabor.
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Au poste de commandement du général de brigade Charles Louchet, commandant l'infanterie divisionnaire de la 4e DMM (division marocaine de montagne), en rade de Saint Florent, celui-ci fait un point de situation avec le colonel Pierre Boyer de La Tour du Moulin, commandant le 2e GTM (groupe de tabors marocains).
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Un capitaine du DLO (détachement de liaison et d'observation) du IIIe groupe du 69e RAM (régiment d'artillerie de montagne) assure la liaison radio avec l'artillerie italienne qui appuie l'attaque française sur le col de San Stefano.
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Dans un village, un paysan corse enlève les feuilles qui entourent des épis de maïs.
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Dans un village, un paysan corse enlève les feuilles qui entourent des épis de maïs.
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L'adjoint au maire de Patrimonio fixe le drapeau national au fronton de l'hôtel de ville.<br>Le secteur de Patrimonio est libéré notamment par les goumiers du 2e GTM (groupe de tabors marocains).
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Après la prise du col de Teghime, des goumiers du 2e groupe de tabors marocains (GTM) sont rassemblés à l'intersection de routes menant à Barlaggio, Saint-Florent et Oletta.
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Après la prise du col de Teghime, des goumiers du 2e GTM (groupe de tabors marocains) marquent une pause à l'intersection de routes menant à Barlaggio, Saint-Florent et Oletta.
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Des goumiers du 2e GTM (groupe de tabors marocains) examinent un canon de 152 mm (d'origine soviétique), abandonné par les Allemands probablement de la 90. Panzergrenadier division, à l'issue des combats au col de Teghime.
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Des goumiers du 2e GTM (groupe de tabors marocains) examinent un canon de 152 mm (d'origine soviétique), abandonné par les Allemands, probablement de la 90. Panzergrenadier division, à l'issue des combats au col de Teghime.
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Des goumiers du 2e GTM (groupe de tabors marocains) examinent un canon de 152 mm (d'origine soviétique), abandonné par les Allemands probablement de la 90. Panzergrenadier division, à l'issue des combats au col de Teghime.
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Poste de commandement d'un des goums du 2e GTM (groupe de tabors marocains) ayant participé à la prise du col de Teghime.
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Poste de commandement d'un des goums du 2e GTM (groupe de tabors marocains) ayant participé à la prise du col de Teghime.
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Après la prise du col de Teghime par le 2e GTM (groupe de tabors marocains), les goumiers occupent les anciens postes d'observation et de combat allemands.
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Des goumiers du 2e groupe de tabors marocains (GTM) examinent un canon de 152 mm, abandonné par les Allemands à l'issue des combats au col de Teghime.