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Des soldats participent au travail des champs, ils labourent.
Catégories
| Agriculture et élevage d'animaux |
| Armée de terre |
| Drôle de guerre (03/09/1939-09/05/1940) |
| SCA [Service cinématographique de l'Armée] (1939-1946) |
| Population civile et vie civile |
Mots clés
Informations techniques
| Procédé original | Nitrate |
|---|---|
| Support d'origine | Acétate |
| Couleur | Noir et blanc |
| Orientation | paysage |
La photographie est issue du reportage suivant :
Les destructions occasionnées par le bombardement allemand sur la ville de Nancy.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
Photos du reportage(15)
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Plan général de la rue sainte Catherine et de la porte sainte Catherine.
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Plan général d'une salle de classe du lycée Charlemagne.
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Des hommes travaillent au déblaiement des gravats qui proviennent d'une façade d'immeuble éventrée.
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Des hommes travaillent au déblaiement des gravats qui proviennent d'une façade d'immeuble éventrée.
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Plan général d'une façade du lycée Charlemagne.
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Plan général d'une rue de Nancy, les façades de maisons ou d'immeubles portent les stigmates du bombardement : fenêtres détruites, impacts d'éclats sur les façades, murs détruits.
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Plan général d'une rue de Nancy, les façades de maisons ou d'immeubles portent les stigmates du bombardement : fenêtres détruites, impacts d'éclats sur les façades, murs détruits.
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Plan général de la façade principale du lycée Charlemagne.
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Plan général d'une rue de Nancy, les façades de maisons ou d'immeubles portent les stigmates du bombardement : fenêtres détruites, impacts d'éclats sur les façades, murs détruits.
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Plan général d'une rue de Nancy, les façades de maisons ou d'immeubles portent les stigmates du bombardement : fenêtres détruites, impacts d'éclats sur les façades, murs détruits.
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Plan général d'une rue de Nancy, les façades de maisons ou d'immeubles portent les stigmates du bombardement.
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Plan général d'une rue de Nancy, les façades de maisons ou d'immeubles portent les stigmates du bombardement.
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Une victime tuée lors du bombardement est transportée sur brancard dans une ambulance par de soldats alors que la population civile rassemblée autour du véhicule assiste à la scène.
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Un soldat range un obus de 75 mm dans un logement prévu à cet effet dans un muret en bois.