PHOTO
Joséphine Baker et le commandant Alla Dumesnil-Gillet.
Joséphine Baker remet au commandant Dumesnil-Gillet, cheffe de la section des transmissions de l'Air du corps auxiliaire féminin de l'armée de l'Air, un chèque destiné à soutenir la Résistance en métropole.
Catégories
Dépôts |
Afrique et bassin méditerranéen |
Armée de l’air |
Féminisation des armées |
Personnalités civiles |
Informations techniques
Procédé original | Négatif |
---|---|
Format d'origine | 6x6 |
Support d'origine | Acétate |
Couleur | Noir et blanc |
Orientation | portrait |
Propriétés
Référence | FFL 100722 |
---|---|
Date de début | 01/01/1944 |
Date de fin | 31/12/1944 |
Photographe(s) | Inconnu - |
Lieu(x) | Afrique du Nord - Alger - Algérie - |
Personnes représentées | Gaulle, Charles de - Baker, Joséphine |
Origine | Inconnu |
Mention obligatoire | © Auteur inconnu/ECPAD/Défense |
La photographie est issue du reportage suivant :
Les auxiliaires féminines de l'Air.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
Pour les engagées volontaires "militaires", le général de Gaulle signe un acte officiel de création le 7 novembre 1940 du "corps féminin des volontaires françaises" qui prend le 16 décembre 1941 le nom de "Corps des volontaires françaises". Cette création est une innovation de la France Libre qui répond au souhait de Françaises de s'engager.
Les candidates doivent avoir entre 18 et 45 ans, avoir la nationalité française, de naissance ou par mariage. Destinées à dégager les combattants des tâches civiles, elles sont secrétaires, infirmières, radios, conductrices, plantons, photographes... Certaines sont affectées au chiffre, d'autres au service du guet sur les toits de Londres les soirs d'alerte. D'autres, plus rares, deviennent parachutistes afin d'effectuer des missions en France. Elles signent comme les hommes un engagement pour la durée de la guerre plus trois mois.
En janvier 1944, le corps des AFAT (Auxiliaires féminines de l'armée de Terre) est créé, intégrant les 430 Françaises libres,pionnières dans un domaine jusque-là réservé aux hommes.
A Alger, sont créés en parallèle un corps des auxiliaires féminines de la Marine et un autre des auxiliaires féminines de l'Air, distinctes des AFAT. Le lieutenant-colonel Pigeaud, chef d'état-major de l'Air à Londres, crée ce corps des auxiliaires féminines de l'Air. Les candidates sont formées pour devenir radios, interprètes, ambulancières ou infirmières... certaines y font même du renseignement comme le lieutenant Joséphine Baker présente dans le reportage.
Voir reportage LONDRES FFL 14 sur le même sujet.
Les candidates doivent avoir entre 18 et 45 ans, avoir la nationalité française, de naissance ou par mariage. Destinées à dégager les combattants des tâches civiles, elles sont secrétaires, infirmières, radios, conductrices, plantons, photographes... Certaines sont affectées au chiffre, d'autres au service du guet sur les toits de Londres les soirs d'alerte. D'autres, plus rares, deviennent parachutistes afin d'effectuer des missions en France. Elles signent comme les hommes un engagement pour la durée de la guerre plus trois mois.
En janvier 1944, le corps des AFAT (Auxiliaires féminines de l'armée de Terre) est créé, intégrant les 430 Françaises libres,pionnières dans un domaine jusque-là réservé aux hommes.
A Alger, sont créés en parallèle un corps des auxiliaires féminines de la Marine et un autre des auxiliaires féminines de l'Air, distinctes des AFAT. Le lieutenant-colonel Pigeaud, chef d'état-major de l'Air à Londres, crée ce corps des auxiliaires féminines de l'Air. Les candidates sont formées pour devenir radios, interprètes, ambulancières ou infirmières... certaines y font même du renseignement comme le lieutenant Joséphine Baker présente dans le reportage.
Voir reportage LONDRES FFL 14 sur le même sujet.