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Entretien des lignes électriques au 19e BG d'Alger.
Des sapeurs du 19e BG (batailon du génie) entretiennent une ligne électrique.
Catégories
| Deuxième guerre mondiale |
| SCA [Service cinématographique de l'Armée] (1939-1946) |
| Logistique et maintenance |
| Armée d'Afrique |
Mots clés
Informations techniques
| Procédé original | Négatif |
|---|---|
| Format d'origine | 6x6 |
| Support d'origine | Nitrate |
| Couleur | Noir et blanc |
| Orientation | portrait |
Propriétés
| Référence | VICHY 263-4635 |
|---|---|
| Date de début | 01/09/1942 |
| Date de fin | 30/09/1942 |
| Photographe(s) | Maurice Crespi - |
| Lieu(x) | Alger - Algérie - |
| Origine | SCA |
| Mention obligatoire | © Crespi/ECPAD/Défense |
La photographie est issue du reportage suivant :
L'armée d'Afrique : le 19e BG stationné à Alger.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
Après l'attaque de Mers-El-Kébir et le ralliement de l'AEF (Afrique équatoriale française) à la France Libre, le centre de gravité des forces françaises est transféré en Afrique du Nord où le maréchal Pétain veut préserver les troupes.
La commission italienne d'armistice veut imposer un effectif de 30 000 hommes en Afrique du Nord, effectif jugé insuffisant par les autorités françaises pour maintenir la souveraineté nationale sur le territoire. Le gouvernement français estime en effet que 120 000 hommes sont nécessaires au seul maintien de l'ordre. En avril 1941, l'effectif réalisé est stabilisé à environ 113 000 hommes.
Cette armée d'Afrique de l'armistice, dite aussi de transition, se trouve sous les ordres du général Weygand, délégué du gouvernement en Afrique française du Nord, puis du général de corps d'armée Alphonse Juin, commandant en chef des forces en Afrique du Nord. Ces forces, auxquelles il convient de rajouter les troupes rapatriées du Levant en juillet 1941 (environ 10 000 hommes), sont organisées en divisions de marche en Algérie, au Maroc et en Tunisie.
Le reportage présente quelques aspects du 19e BG (bataillon du génie) rattaché à la division de marche d'Alger.
Selon les sources, il s'agit du 19e bataillon ou du 19e régiment du génie.
La commission italienne d'armistice veut imposer un effectif de 30 000 hommes en Afrique du Nord, effectif jugé insuffisant par les autorités françaises pour maintenir la souveraineté nationale sur le territoire. Le gouvernement français estime en effet que 120 000 hommes sont nécessaires au seul maintien de l'ordre. En avril 1941, l'effectif réalisé est stabilisé à environ 113 000 hommes.
Cette armée d'Afrique de l'armistice, dite aussi de transition, se trouve sous les ordres du général Weygand, délégué du gouvernement en Afrique française du Nord, puis du général de corps d'armée Alphonse Juin, commandant en chef des forces en Afrique du Nord. Ces forces, auxquelles il convient de rajouter les troupes rapatriées du Levant en juillet 1941 (environ 10 000 hommes), sont organisées en divisions de marche en Algérie, au Maroc et en Tunisie.
Le reportage présente quelques aspects du 19e BG (bataillon du génie) rattaché à la division de marche d'Alger.
Selon les sources, il s'agit du 19e bataillon ou du 19e régiment du génie.