Etelfay près Montdidier (Somme). Le train des soldats affectés à une batterie de 320. [légende d'origine]

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Etelfay près Montdidier (Somme). Le train des soldats affectés à une batterie de 320. [légende d'origine]

Photographe(s) : Inconnu

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1916 La Somme

SPA [section photographique de l'armée] (1915-1917)

Train militaire (transport de personnels) français 1re guerre mondiale

Mots clés

Train Transport ferroviaire

Informations techniques

Procédé original	Négatif
Format d'origine	9x12
Support d'origine	Plaque de verre
Couleur	Noir et blanc
Orientation	paysage

Propriétés

Référence	SPA 21 R 1022
Date de début	10/07/1916
Date de fin	27/07/1916
Photographe(s)	Ribar -
Lieu(x)	Etelfay - Somme -
Origine	SPA/SPCA
Mention obligatoire	© Ribar/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

Théatre d'opération et état des lieux au début de la bataille de la Somme.

Voir la notice du reportage

Description du reportage

Ce reportage débute 10 jours après l'engagement de l'offensive de la Somme par les Alliés. La puissance d'artillerie franco-britanique sur la Somme n'a aucun précédent depuis le début de la guerre : Des trains de munitions de 220 mm, des canons de 75 mm placés sous abri, des canons de 155 mm long, des canons de 320 mm et de 305 mm, des saucisses et des mitrailleuses contre-avions sont photographiés sur le front.
Un panorama pris sur les lignes allemandes suggèrent la puissance des défenses allemandes.
Les batailles et les bombardements réduisent à l'état de ruines de nombreux villages : L'église et la mairie de Maucourt, le châteaux de Beauvort, et les églises de Méharicourt, Moreuil et Pienne, sont détruites.
Les premières lignes de Popincourt et de Coivrel sont défendue par des tirailleurs sénégalais et des chasseurs d'Afrique.
Le 27 juillet 1916, une prise d'armes est organisée pour la remise de décorations à des troupes coloniales par le général Marchand. Le général remet la Légion d'honneur au général Guérin.
Le château de Boulogne-la-Grasse sert de cantonnement à des soldats.
De nouveaux prisonniers ont été faits après les batailles dans la région : ils sont amenés au camp de Coivrel.

Voir film 14.18 A 474 (notamment le Decauville et la locomotive sur voie normale).