Une photographie de groupe avant de commencer un exercice antipollution POLMAR (pollution maritime) dans des eaux proches de la Guadeloupe (26 novembre) (1 à 4). Le lendemain matin, le photographe et deux officiers ont rendez-vous sur les quais pour rejoindre des membres de la SNSM (société nationale de sauvetage en mer). Ils montent à bord d'un navire de la société, la vedette "Notre Dame de la Garoupe" (SNS 129). En quittant Pointe-à-Pitre, ils croisent un navire amarré des douanes françaises, la vedette garde-côtes DF31 "Pitera" (5 à 10).
La vedette de la SNSM rejoint le "FS Salome", cargo qui servira de navire endommagé pour l'exercice et qui déversera du fioul en mer. Le remorqueur des FAA "Maïto" (A 636) et un autre navire de la SNSM le "St Barthélémy" (SNS 269) sont aussi présent. Pendant la traversée, on remarque qu'une femme probablement de la SNSM effectue plusieurs clichés (11 à 33). Un caméraman filme une enseigne de première classe expliquant l'exercice. En même temps, un avion DHC-8 des Caribbean Coast Guard survol la zone (34 à 46).
Sur le "Maïto", l'équipage un jet d'eau probablement pour contenir les plaques de fiouls en train de se disperser. Un autre navire arrive, le "Statia Reponder" (navire de provision, pavillon Vanuatu). Avec le "Maïto", les deux navires se déploient au tour de la brèche du "FS Salome" (47 à 69). Deux hélicoptères Fennec arrive pour secourir l'équipage et déposer des équipes anti-feu via un hélitreuillage (70 à 106). L'équipage du "Statia Reponder" déploie in filet jusqu'au "Maïto" pour empêcher le fioul de se propager (107 et 207). Quelques vues du littoral avoisinant (208 à 223).

Un petit déjeuner avec des membres de la mission, on note la présence du photographe Serge Charmoillaux et des vues aériennes de l'exercice en mer (204 à 210).

Dans une salle du Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage des membres des FAA supervisent l'exercice POLMAR (211 à 253).
Versement de la cellule communication des forces armées aux Antilles de 2013.

Le reportage se décompose en trois parties, la première du premier maître Charmoillaux (1 à 223), d'un photographe inconnu (224 à 230) et de l'enseigne de vaisseau Flambard (231 à 253).