Florina. Type de comitadjis. [légende d'origine]

PHOTO

Florina. Type de comitadjis. [légende d'origine]

Deux comitadjis se font photographier devant une maison.

Note : les comitadjis sont des miliciens villageois instrumentalisés tantôt par les Serbes, tantôt par les Bulgares.

Catégories

Front d'Orient

SPA [section photographique de l'armée] (1915-1917)

Population civile et vie civile

Mouvements et forces d'opposition

Mots clés

Enfant Homme Portrait

Informations techniques

Procédé original	Négatif
Format d'origine	9x12
Support d'origine	Plaque de verre
Couleur	Noir et blanc
Orientation	paysage

Propriétés

Référence	SPA 46 V 1297
Date de début	08/10/1916
Date de fin	15/10/1916
Photographe(s)	Henri Bilowski -
Lieu(x)	Grèce - Florina -
Origine	SPA/SPCA
Mention obligatoire	© Henri Bilowski/ECPAD/Défense
Domaine public	Oui

La photographie est issue du reportage suivant :

Troupes alliées et population civile autour de Florina, sur le front balkanique, octobre 1916.

Voir la notice du reportage

Description du reportage

Dans le camp russe de Sopotznni, un vétérinaire français soigne les chevaux blessés par les combats près d'une cuisine roulante. La population civile du village enlève les fils barbelés posés par les soldats bulgares afin d'aider les troupes alliées.
Dans les villages alentours tels que Petorak et Boresnica, les bombardements ont incendié des maisons obligeant les habitants à construire des abris de fortune.
Une femme du pays est dessinée par le peintre Habel Riche et des Macédoniens attendent l'intervention des troupes françaises pour réintégrer leur village occupé par les Bulgares.
Deux Comitadjis sont photographiés (V 1298 et V 1303), ainsi qu'un Macédonien désirant s'engager dans les Comitadjis (V 1301).
A Vrbeni, 800 prisonniers bulgares faits par l'armée serbe attendent dans un camp avant d'être redirigés vers Florina. Dans ce village en ruines, des Macédoniens s'enrôlent dans le groupe nationaliste des Comitadjis.
Enfin à 4 km de Kalenitz (au nord-est de Florina), village récupéré par les troupes françaises, un canon de 155 mm court effectue des tirs sur les lignes adverses.