Le soir à la harka 101, gradés français et kabyles jouent à la bataille, jeu de cartes très prisé des kabyles.

A Aït-Sekkeur l'envoi des couleurs au poste de la harka 102.

A Aït-Sekkeur l'envoi des couleurs au poste de la harka 102.

Liaison entre le poste de Aît-Sekkeur et le village d'auto-défense de Tizi Endjebar. Sur la piste les hommes de la harka 102 progressent.

Au village d'auto-défense de Tizi Endjebar, le sous-lieutenant commandant la harka 102, contrôle l'armement de l'auto-défense avec un sergent de Quimper.

Une sentinelle veille.

Le chef de l'auto-défense du village d'Arbala et sa femme.

Le village d'Arbala.

Au cours d'une inspection le général Paul Gandoët s'entretient avec un sergent-chef d'Orléans.

La harka 101 commandé par un adjudant-chef d'Orléans.

Le fanion de la harka 102 et sa garde d'honneur.

Des camions GMC 6X6 du service ravitaillant les postes du 29ème bataillon de chasseurs à pied (BCP) ayant réussit la traversée de l'oued Amassine en crue.

Le fanion de la harka 102, le sous-lieutenant de Paris qui commande cette harka et son adjoint de Quimper.

A Feraoun un hélicoptère de transport Sikorsky S-55 ddécolle sous les yeux des villageois.

Le fanion du Maghzen de la section administrative spécialisée (SAS) de Feraoun.

Le lieutenant Boisvin, officier de la section administrative spécialisée (SAS) de Feraoun.

Le lieutenant Boisvin et son Maghzen.

Les villageois accueille le général Paul Gandoët.

Les villageois accueille le général Paul Gandoët.

La section administrative spécialisée (SAS) de Feraoun.