VIDÉO
Interview du commandant en second des ateliers militaires de la flotte (AMF), de Bernard Gérard, haut-commissaire de la République en Polynésie française, et du médecin vétérinaire biologiste, chef de mission à bord du Marara.
Dans la première partie de la cassette, le capitaine de corvette fait une présentation des ateliers militaires de la flotte (AMF), dont il est le commandant en second.
L'AMF a pour mission l'entretien des bâtiments de la Marine et de la batellerie affectée au site.
L'AMF réalise également des travaux pour le compte de la base interarmées.
D'un point de vue matériel, il y 8 ateliers : la chaudronnerie, le charpentage, la mécanique, la maintenance des moteurs, l'électricité (qui refait des bobinages de moteurs électriques), l'électronique, le froid et la voilerie.
En ce qui concerne les personnels, 63 hommes travaillent aux AMF : trois officiers, un capitaine de corvette commandant l'Energie, un officier lieutenant de réserve pour la branche Mécanique énergie et le commandant, officier spécialisé et détecteur.
L'équipage est constitué de personnels du corps des équipages de la flotte (avec six quartiers-maîtres et matelots engagés et trois transmetteurs), et de personnels marins de port (trente officiers mariniers).
La deuxième partie de la cassette est consacrée à l'interview de Bernard Gérard, haut-commissaire de la Polynésie française, directeur de la surveillance du territoire. Elle porte sur l'impact économique de la présence du centre d'expérimentation du Pacifique (CEP) sur le territoire de Polynésie.
Le CEP a permis de créer les grands équipements de structure de la Polynésie française comme le port de Papeete et l'aéroport de Faa'a.
Le CEP représente la plus grosse entreprise polynésienne, comptant près de 3500 personnes actives (dont 2000 personnels civils polynésiens) dans des domaines militaires et scientifiques élaborés.
Des techniciens ou ouvriers spécialisés polynésiens sont présents au sein de cette entreprise.
Elle représente une mane budgétaire à hauteur du tiers du budget de la France pour la Polynésie.
Le CEP fut le point de départ d'une recherche civile pour les polynésiens : étude de l'environnement et écoute géologique du sol.
En ce qui concerne l'impact des forces françaises, les effectifs supplémentaires sont de l'ordre de 2000 personnes et aportent des éléments budgétaires nouveaux (500 millions de francs) et un impact civil. La disponibilité et la volonté d'actions rapides des services de l'armée sont appréciées de toute la population concernant l'organisation des secours, et la sécurité civile. La présence militaire est aussi une source d'animation (musique, fête) dans toutes les communes de la Polynésie française.
Se dessinent enfin des projets de formation et de mise à l'emploi des jeunes Polynésiens en utilisant le service militaire avec notamment le projet de service militaire adapté (SMA).
Il y a aussi une relation bien établie entre ceux qui encadrent les militaires pendant leur temps de service, les services de l'état qui s'occupent de formations et les entreprises.
Un test de formation mixte entre une association de formation et le personnel de l'encadrement de l'armée pendant le service va être mis sur pied.
Dans son interview, le médecin vétérinaire biologiste, chef de mission à bord du Marara, bâtiment scientifique de contrôle biologique (SMCB), expose les différentes étapes de la récolte de plancton : le trait de plancton à l'aide d'un filet d'1,6 m de diamètre,10 mètres de longueur, qui va permettre de filtrer pendant 1 heure environ 10 000 m3 d'eau de mer dans lesquels seront récupérés tous les micro-organismes afin de les analyser pour voir s'il y a la moindre trace de radioélément à l'intérieur.
Le filet est ici à 100 mètres de profondeur pour attraper des organismes animaux (travail sur le zooplancton / 30 à 40g).
L'interview est illustrée par des séquences qui suivent toutes les étapes de la récolte.
00:00 : Portrait du capitaine de corvette, commandant en second des ateliers militaires de la flotte (AMF).
00:03 : Interview du capitaine de corvette.
03:00 : Plan fixe sur une ancre et sur l'enseigne de l'atelier militaire de la flotte (AMF).
03:20 : Plans "volés" sur un chantier de la Légion étrabgère : foreuse.
05:14 : Chantier de forage : gros plan puis plan d'ensemble de la foreuse en action.
05:49 : Vue du chantier et de légionnaires en activité.
06:08 : Reprise de l'interview du capitaine de corvette.
08:23 : Interview de Bernard Gérard, haut-commissaire de la Polynésie française, directeur de la Surveillance du territoire.
09:47 : Reprise de l'interview de Bernard Gérard.
14:02 : A bord du Marara, bâtiment scientifique de contrôle biologique (SMCB) : mise à l'eau de filets grâce auxquels s'effectue la récolte de plancton.
15:30 : Plans sur les poulies.
16:11 : Interview du médecin vétérinaire biologiste, chef de mission à bord du Marara.
17:57 : Gros plan du logo du Marara sur le t-shirt du médecin vétérinaire, de sa casquette et d'une boussole fixée sur sa montre.
18:28 : Remontée du filet (poulies).
19:25 : Plan fixe sur l'océan et la remontée progressive du filet.
21:28 : Gros plan sur la récolte de plancton.
21:40 : Plan sur l'équipe de l'ECPA avec le caméraman, le réalisateur, et le photographe, en train de filmer et photographier la récolte de plancton.
L'AMF a pour mission l'entretien des bâtiments de la Marine et de la batellerie affectée au site.
L'AMF réalise également des travaux pour le compte de la base interarmées.
D'un point de vue matériel, il y 8 ateliers : la chaudronnerie, le charpentage, la mécanique, la maintenance des moteurs, l'électricité (qui refait des bobinages de moteurs électriques), l'électronique, le froid et la voilerie.
En ce qui concerne les personnels, 63 hommes travaillent aux AMF : trois officiers, un capitaine de corvette commandant l'Energie, un officier lieutenant de réserve pour la branche Mécanique énergie et le commandant, officier spécialisé et détecteur.
L'équipage est constitué de personnels du corps des équipages de la flotte (avec six quartiers-maîtres et matelots engagés et trois transmetteurs), et de personnels marins de port (trente officiers mariniers).
La deuxième partie de la cassette est consacrée à l'interview de Bernard Gérard, haut-commissaire de la Polynésie française, directeur de la surveillance du territoire. Elle porte sur l'impact économique de la présence du centre d'expérimentation du Pacifique (CEP) sur le territoire de Polynésie.
Le CEP a permis de créer les grands équipements de structure de la Polynésie française comme le port de Papeete et l'aéroport de Faa'a.
Le CEP représente la plus grosse entreprise polynésienne, comptant près de 3500 personnes actives (dont 2000 personnels civils polynésiens) dans des domaines militaires et scientifiques élaborés.
Des techniciens ou ouvriers spécialisés polynésiens sont présents au sein de cette entreprise.
Elle représente une mane budgétaire à hauteur du tiers du budget de la France pour la Polynésie.
Le CEP fut le point de départ d'une recherche civile pour les polynésiens : étude de l'environnement et écoute géologique du sol.
En ce qui concerne l'impact des forces françaises, les effectifs supplémentaires sont de l'ordre de 2000 personnes et aportent des éléments budgétaires nouveaux (500 millions de francs) et un impact civil. La disponibilité et la volonté d'actions rapides des services de l'armée sont appréciées de toute la population concernant l'organisation des secours, et la sécurité civile. La présence militaire est aussi une source d'animation (musique, fête) dans toutes les communes de la Polynésie française.
Se dessinent enfin des projets de formation et de mise à l'emploi des jeunes Polynésiens en utilisant le service militaire avec notamment le projet de service militaire adapté (SMA).
Il y a aussi une relation bien établie entre ceux qui encadrent les militaires pendant leur temps de service, les services de l'état qui s'occupent de formations et les entreprises.
Un test de formation mixte entre une association de formation et le personnel de l'encadrement de l'armée pendant le service va être mis sur pied.
Dans son interview, le médecin vétérinaire biologiste, chef de mission à bord du Marara, bâtiment scientifique de contrôle biologique (SMCB), expose les différentes étapes de la récolte de plancton : le trait de plancton à l'aide d'un filet d'1,6 m de diamètre,10 mètres de longueur, qui va permettre de filtrer pendant 1 heure environ 10 000 m3 d'eau de mer dans lesquels seront récupérés tous les micro-organismes afin de les analyser pour voir s'il y a la moindre trace de radioélément à l'intérieur.
Le filet est ici à 100 mètres de profondeur pour attraper des organismes animaux (travail sur le zooplancton / 30 à 40g).
L'interview est illustrée par des séquences qui suivent toutes les étapes de la récolte.
00:00 : Portrait du capitaine de corvette, commandant en second des ateliers militaires de la flotte (AMF).
00:03 : Interview du capitaine de corvette.
03:00 : Plan fixe sur une ancre et sur l'enseigne de l'atelier militaire de la flotte (AMF).
03:20 : Plans "volés" sur un chantier de la Légion étrabgère : foreuse.
05:14 : Chantier de forage : gros plan puis plan d'ensemble de la foreuse en action.
05:49 : Vue du chantier et de légionnaires en activité.
06:08 : Reprise de l'interview du capitaine de corvette.
08:23 : Interview de Bernard Gérard, haut-commissaire de la Polynésie française, directeur de la Surveillance du territoire.
09:47 : Reprise de l'interview de Bernard Gérard.
14:02 : A bord du Marara, bâtiment scientifique de contrôle biologique (SMCB) : mise à l'eau de filets grâce auxquels s'effectue la récolte de plancton.
15:30 : Plans sur les poulies.
16:11 : Interview du médecin vétérinaire biologiste, chef de mission à bord du Marara.
17:57 : Gros plan du logo du Marara sur le t-shirt du médecin vétérinaire, de sa casquette et d'une boussole fixée sur sa montre.
18:28 : Remontée du filet (poulies).
19:25 : Plan fixe sur l'océan et la remontée progressive du filet.
21:28 : Gros plan sur la récolte de plancton.
21:40 : Plan sur l'équipe de l'ECPA avec le caméraman, le réalisateur, et le photographe, en train de filmer et photographier la récolte de plancton.
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Propriétés
Réalisateur | Jehan Mueller - |
---|---|
Genre | Film d'actualité |
Lieu(x) | Moruroa (Mururoa) - Pacifique - Polynésie française - |
Informations
Référence | 86.9.003-01-039 |
---|---|
Durée | 00:21:46 |
Date de réalisation | 05/11/1985 |
Date de début | 05/11/1985 |
Date de fin | 05/11/1985 |
Support d'origine | Magnétique |
Format d'origine | Betacam SP |
Couleur | Couleur |
Typologie | Rushes |
Origine | ECPA |