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L'apéritif au puits artésien d'El Golea. [légende d'origine]
Catégories
Entrées extraordinaires |
Algérie |
Milieu naturel, faune et flore |
Armée d'Afrique |
Vie quotidienne militaire |
Informations techniques
Procédé original | Inconnu |
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Format d'origine | Inconnu |
Support d'origine | Inconnu |
Couleur | Noir et blanc |
Orientation | largeur |
Propriétés
Référence | D21-1-8 |
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Date de début | 01/01/1906 |
Date de fin | 31/12/1912 |
Photographe(s) | Aristide Coulombier - |
Lieu(x) | El Golea (El Menia) - |
Origine | Coulombier, Aristide |
Mention obligatoire | © ECPAD/fonds Aristide Coulombier/Aristide Coulombier |
La photographie est issue du reportage suivant :
Images de la pénétration française au Maroc oriental (1906 - 1912).
Voir la notice du reportageDescription du reportage
Les spahis sont alors engagés avec des chasseurs d'Afrique, des tirailleurs, des zouaves, des artilleurs, des gendarmes et diverses autres unités dans les expéditions qui jalonnent la conquête du Maroc oriental. Après quelques déploiements préliminaires avant 1906, la véritable intervention française dans la région débute en 1907, sous le commandement du général Lyautey. L'armée française occupe Oujda en mars 1907, pacifie les confins algéro-marocains (Bou-Denib et Bou-Anan en 1908, Taourirt en 1910) et impose au sultan Moulay Hafid la signature du traité de Protectorat du 30 mars 1912.
Le terme "spahis" est d'origine turque et persane. Il désigne l'homme de guerre, libre et propriétaire de son cheval. Les premiers spahis sont recrutés par Yusuf, un allié de la France, pendant la conquête de l'Algérie, au début des années 1830. Par une ordonnance du 7 décembre 1841, tous les spahis sont unifiés sous l’autorité de Yusuf en un corps de vingt escadrons. L’ordonnance du 21 juillet 1845 organise le corps des spahis en trois régiments dénommés 1er régiment de spahis d’Alger, 2e régiment de spahis d’Oran et 3e régiment de spahis de Constantine.
C’est à partir de 1921 que les régiments de spahis sont désignés avec le qualificatif de leur pays de recrutement, principalement l'Algérie, le Maroc et la Tunisie. Ceux-ci ont participé à tous les conflits du XIXe et du XXe siècle. Depuis la fin de la guerre d'Algérie, les régiments ont tous été dissous, à l'exception du 1er régiment de spahis, héritier du 1er régiment de Spahis marocains mais qui conserve les traditions de tous les spahis.
Photos du reportage(56)
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Avenue Cassaigne à Laghouat.
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Spahis Boisnard et Grisard.
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Byres ordonnance.
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Arrivée d'un convoi de blessés à Colomb Béchar le 24 mai 1908.
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Une vue du camp de Berkanne. 1907.
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Un zouave.
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Quillé, caporal au 2e tirailleurs. El Golea, 1907.
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A Lagouat.
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Aux environs de Colomb Bechar.
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Dans les dunes de Zviara.
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Télégraphistes à Colomb Bechar.
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Attention, cette image peut heurter la sensibilité du public. Cliquez ici pour afficher l'image.
Cadavre marocain dans l'oasis de Tuzzouguerte.
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Haut : Camp des spahis à Berkane, 1909. Bas : le marché de Berkane.
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Camp de l'artillerie de montagne à Berkane, 1907.
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La lutte, 14 juillet 1907. El Golea.
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Caserne des tirailleurs. El Golea. 1907.
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Le gardien de batterie Gevry.
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Bel Krof, brigadier au 1er spahi à Colomb Bechar. 1908.
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Au camp de Berkanne. 1907.
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Tirailleurs. Camp de Berkane. 1907.