reportage

L'armée d'Afrique : à Constantine, un escadron à cheval de la 7e légion de la Garde d'Alger.

Photographe(s) : Maurice Crespi


Le décret du maréchal Pétain du 17 novembre 1940 sépare la GRM (Garde républicaine mobile) de la gendarmerie et l'incorpore au sein de l'armée d'armistice. A compter de cette date, elle devient la Garde, arme nouvelle à part entière ayant pour mission officielle le maintien de l'ordre.
L'effectif de la Garde en métropole se monte à environ 6 000 hommes, officiers, gradés et gardes, répartis en deux brigades de six légions en métropole (1ère à Lyon, la 2e à Marseille, la 3e à Montpellier, la 4e à Riom, la 5e à Limoges et la 6e à Toulouse). Se rajoutent les 3 000 hommes affectés en Afrique du Nord au sein de trois légions (la 7e à Alger, la 8e à Tunis et la 9e à Rabat). Une légion est forte d'environ 1 000 hommes, répartis en deux groupes de quatre escadrons chacun : un escadron à cheval, un escadron motocycliste et deux escadrons portés.

Scènes de la vie quotidienne à Constantine, au cantonnement de l'escadron à cheval de la 7e légion de la Garde stationnée à Alger.

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