PHOTO
[L'avers d'un fanion de l'A.D.C. 6.]
Le fanion est celui d'une unité de la 6e division de cavalerie, peut-être celui du 4e groupe à cheval du 54e régiment d’artillerie de campagne, rattaché à cette division.
Catégories
| Première guerre mondiale |
| Arme blindée et cavalerie (ABC) |
| Drapeaux |
| Première guerre mondiale |
Mots clés
Informations techniques
| Procédé original | Autochrome, Positif, Stéréoscopique |
|---|---|
| Format d'origine | 6x13 |
| Support d'origine | Plaque de verre |
| Couleur | Couleur |
| Orientation | paysage |
La photographie est issue du reportage suivant :
Archives photographiques du général Henri André Mesple (1863-1935). Autochromes représentant le général Mesple, son cheval et le drapeau de l'A.D.C. 6.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
La présente notice décrit les sept autochromes conservées dans le fonds d'archives photographiques du général Henri André Mesple.
Reçu à Saint-Cyr en 1883, André Mesple épouse la fille d'Hector Malot, Lucie, le 5 octobre 1892 à Fontenay-sous-Bois. De 1892 à 1897, il est lieutenant instructeur à Saint-Cyr, puis capitaine au 4e Cuirassiers à Cambrai de 1897 à 1899. Il entre à l'école de guerre en 1900, tout d'abord à l'état-major du général Burnez, à Melun (1901-1903), puis à celui du ministre de la guerre Messimy (1904-1906). De 1906 à 1908, il commande à Saint-Cyr le premier escadron de France, pour devenir ensuite professeur du cours de cavalerie à l'école supérieure de guerre. En 1913, il est promu colonel du 8e régiment de cuirassiers à Tours. Après la bataille d'Artois (Neuville Saint-Vast) en mai 1915, il est nommé au commandement d'une brigade de spahis. Placé à la tête de la 53e division, il la quitte en 1917 pour prendre le commandement de la 6e division de cavalerie. En mars 1919, nommé divisionnaire, il prend le commandement de la cavalerie d'Algérie qu'il quittera en 1921 pour la 8e division d'infanterie au Mans. Enfin, il est placé à la tête de la 1re division de cavalerie de Paris, l'un des commandements les plus enviés de la cavalerie française. Commandeur de la légion d'honneur, titulaire de la croix de guerre, avec trois citations à l'ordre de l'armée, et de la croix de guerre belge, il prend sa retraite en 1925, et se retire à Versailles où il décède en 1935.
Reçu à Saint-Cyr en 1883, André Mesple épouse la fille d'Hector Malot, Lucie, le 5 octobre 1892 à Fontenay-sous-Bois. De 1892 à 1897, il est lieutenant instructeur à Saint-Cyr, puis capitaine au 4e Cuirassiers à Cambrai de 1897 à 1899. Il entre à l'école de guerre en 1900, tout d'abord à l'état-major du général Burnez, à Melun (1901-1903), puis à celui du ministre de la guerre Messimy (1904-1906). De 1906 à 1908, il commande à Saint-Cyr le premier escadron de France, pour devenir ensuite professeur du cours de cavalerie à l'école supérieure de guerre. En 1913, il est promu colonel du 8e régiment de cuirassiers à Tours. Après la bataille d'Artois (Neuville Saint-Vast) en mai 1915, il est nommé au commandement d'une brigade de spahis. Placé à la tête de la 53e division, il la quitte en 1917 pour prendre le commandement de la 6e division de cavalerie. En mars 1919, nommé divisionnaire, il prend le commandement de la cavalerie d'Algérie qu'il quittera en 1921 pour la 8e division d'infanterie au Mans. Enfin, il est placé à la tête de la 1re division de cavalerie de Paris, l'un des commandements les plus enviés de la cavalerie française. Commandeur de la légion d'honneur, titulaire de la croix de guerre, avec trois citations à l'ordre de l'armée, et de la croix de guerre belge, il prend sa retraite en 1925, et se retire à Versailles où il décède en 1935.