Visite de l’exploitation agricole Arnold dans la région de Sétif. Plan d’ensemble de l’exploitation Arnold, arbres fruitiers à Ain-Roua (R1, R2, R6). Labourage des champs par des ouvriers algériens (R3, R9, R11). Vergers de l’exploitation Arnold à Ain-Roua (R7, R8, R13, R14, R15). Vue générale d’une vallée des hauts plateaux du constantinois (R10, R27).

Visite des terres appartenant à la compagnie genevoise avec présentation de certains locaux de l’exploitation. Une métairie de la compagnie genevoise (R24, R25). Bâtiments que le directeur de la compagnie genevoise, monsieur Egli, met à la disposition de son personnel (R28). Vue du domaine d’El Bese où loge le directeur de la compagnie genevoise (R29). Travaux agricoles sur les terres. Aspect des champs de blé de la compagnie genevoise (R26). Bulldozer servant aux travaux agricoles (R30). Confection d’une banquette pour la défense et restauration des sols (R31). Terrain traité en banquette (R34). Confection d’une banquette (R35). Photographies des habitants des lieux. Une famille de fermiers français à Tinar (R32). Monsieur Egli, directeur de la compagnie genevoise et sa femme parmi ses employés (R33). Vue extérieure et intérieure des moulins de l’Harrach près de Sétif (R22, R23). Bâtiments administratifs à Sétif (R21). Thermes romains à Sétif (R17, R18). Mosquée de Sétif (R19, R20).

Note : le terme « Algérien », utilisé dans ce paragraphe, désigne les populations autochtones (à différencier des Européens d’Algérie).

On retrouve les marais salants de Colbert et la compagnie genevoise dans le reportage BLED 56-40.

La Compagnie Genevoise des Colonies suisses est une société de colonisation en Algérie dans la région de Sétif qui a été créée par des hommes d'affaires suisses en 1853. Obtenu par décret de Napoléon III, l’octroi de 20 000 hectares de terres près de Sétif dans le Constantinois.

Les banquettes agricoles et sylvo-pastorales sont des ouvrages de 80 à 100 mètres de long, construits en série sur des terrains à pente faible et soumis à de faibles pluviosités. Elles permettent de ralentir le ruissellement de l’eau, d’augmenter son infiltration, de stabiliser les pentes et surtout, de protéger les terres situées en aval de l’ensablement, des inondations et du ravinement.