
VIDÉO
La femme française pendant la guerre.
Août 1914 : épouse et mère, la femme accomplit son « premier sacrifice » et pleure le départ de l’aimé pour le front (séquence de fiction). 1918 : quatre années de guerre l’ont vue se mobiliser dans tous les secteurs. A la ville, elle est manutentionnaire dans les gares, conductrice dans les transports, serveuse ou « ramoneur » sur les toits. A l’usine, affectée à différents postes, elle ne s’interrompt que pour aller allaiter son nourrisson à la crèche. A la campagne, elle conduit la charrue au temps des labours ; ailleurs, elle cueille les olives. Mais femme avant tout elle apporte au soldat « fraternité et tendresse », colis, messages d’amour anonyme glissé par une ouvrière dans un casque qu’elle vient de fabriquer, soins aux blessés et aux enfants. Les morts, dont elle fleurit les tombes (TC :27:00 à 00:27:24), restent présents dans son coeur et son image apaisante rassérène le sommeil du poilu. La France reconnaît son héroïsme et récompense d’une médaille la veuve, l’infirmière ou l’ouvrière blessée par les bombes.
Note :
Document sous droits particuliers jusqu'en 2042. Contacter l'ECPAD pour toute demande d'exploitation.
Remerciements à Noëlle Guibert et Francine Guibert, petites-filles du réalisateur Alexandre Devarennes
1+30 cartons en français.
Film teinté.
Date : 1917 d'après la base de données IMDB ou 1918.
Film n° 649 dans la numérotation d'origine et dans le catalogue " Les films militaires français de la première guerre mondiale ", Françoise Lemaire, 1997.
Film anciennement classé sous les références 14.18 A 988, 989 et B 367.
La 2e partie du film se trouve aussi sous la référence 14.18 A 976-26.
Les rushes de la séquence sur la filature se trouvent sous la référence 14.18 A 1087
Dans une interview, en 1968, Devarennes mentionne que le caméraman était Alphonse Gibory. Les comptes rendus de tournage n° 1133 à 1135, datés de novembre 1917 à février 1918, mentionnent également Camille Sauvageot et Charles Blanc.
La petite fille que l'on voit au début du film est Rose Durand, fille d'Alexandre Devarennes.
Note :
Document sous droits particuliers jusqu'en 2042. Contacter l'ECPAD pour toute demande d'exploitation.
Remerciements à Noëlle Guibert et Francine Guibert, petites-filles du réalisateur Alexandre Devarennes
1+30 cartons en français.
Film teinté.
Date : 1917 d'après la base de données IMDB ou 1918.
Film n° 649 dans la numérotation d'origine et dans le catalogue " Les films militaires français de la première guerre mondiale ", Françoise Lemaire, 1997.
Film anciennement classé sous les références 14.18 A 988, 989 et B 367.
La 2e partie du film se trouve aussi sous la référence 14.18 A 976-26.
Les rushes de la séquence sur la filature se trouvent sous la référence 14.18 A 1087
Dans une interview, en 1968, Devarennes mentionne que le caméraman était Alphonse Gibory. Les comptes rendus de tournage n° 1133 à 1135, datés de novembre 1917 à février 1918, mentionnent également Camille Sauvageot et Charles Blanc.
La petite fille que l'on voit au début du film est Rose Durand, fille d'Alexandre Devarennes.
Catégories
| Première guerre mondiale |
| SPCA [section photographique et cinématographique de l'armée] (1917-1918) |
| L'arrière |
| Femme |
Propriétés
| Réalisateur | Alexandre Devarennes - |
|---|---|
| Lieu(x) | France - Paris - Versailles - |
Informations
| Référence | 14.18 A 975 |
|---|---|
| Durée | 00:37:07 |
| Format d'origine | 35 mm |
| Couleur | Teinté |
| Typologie | Produit monté |
| Origine | SCA/SPCA Section cinématographique de l'armée |