
VIDÉO
La naissance des ailes (1890-1928).
L'histoire des débuts de l'aviation française couvre la période 1890-1928. Les plus vieux documents filmés qui la composent sont de 1905. Le film s'achève sur l'exploit de Costes et Le Brix : la traversée de l'Atlantique Sud et le tour du monde.
Au cours d'une première période qui va jusqu'en 1909, les engins, de bonds en bonds se perfectionnent. On atteint 1908, le premier kilomètre en circuit fermé. C'est l'époque des Ader, Archedeacon, Ferber, Voisin, Farman, Santos-Dumont et Blériot qui clôt celle-ci en effectuant, le 25 juillet 1909, la traversée de la Manche.
A la période des aérodromes succède celle des coupes et des circuits, de 1909 à 1921 (Coupes Michelin, circuit de l'Est) largement interrompue par la guerre.
On bat des records d'alitutde, de vitesse, d'acrobatie. L'essor de l'hydravion se manifeste au meeting de Monaco. C'est l'époque de Pégoud, Védrines, Paulhan, Morane, Nieuport, Garros alors que les constructeurs aéronauti-ques améliorent les techniques des appareils (Voisin, Farman, Blériot).Aviation militaire, apparue en 1912, se développe avec la guerre.
Dans trois domaines, l'aviation progresse considérablement : l'altitude (avec plus de 7 000 m), la vitesse (avec plus de 275 km/h), la charge (plusieurs tonnes).
Des noms apparaissent ou se confirment : Nungesser, Fonck, Madon, Pinsart, Guynemer, Garros.
En 1921, s'ouvre l'ère des meetings avec celui de Buc. L'association des "Vieilles tiges" organise celui du Bourget en 1924. Védrines et Fonval font des exploits. On assiste même à l'essor du vol à voile, aux records de vols hélice-calée (Maneyrol).
Les grandes randonnées mondiales commencent en 1924. Cette année-là, Pelletier d'Oisy et Besin relient Paris à Tokyo. En 1925, Darque et Daumier gagnent la croisière de la Méditerrannée et Dagnaux, Challe et rabatel effectuent Paris-Téhéran.
1926 voit plusieurs records : Paris-Omsk sans escale (Girier), Paris-Bassorah (les frères Arrachart), Paris-Bender-Abbas (Challe), Paris-Djask (Costes-Rignot).
Enfin en 1927 après la tentative malheureuse de Nungesser et Coli sur l'Atlantique Nord, Costes et Le Brix traversent l'Atlantique Sud puis regagnent la France en bouclant le tour du Monde (1927-1928).
Description détaillée :
Bobine 1/7 : 156 mètres ; 5 mn 43 s.
Cartons et résumé : 38 ans après deux français, Costes et Brix franchissent l'Atlantique sud et couvrent à bord d'un appareil volant 60 000 km sur Bréguet-19 et moteur Hispano Suiza de 600 CV.
Les expériences de ces hommes illustres méritent d'être connues : Ferber étudie scientifiquement la sustentation au moyen d'abord de planeurs sans moteur puis avec moteur. Voisin, peu à peu, amène le planeur à sa forme rationnelle avec moteur Antoinette, crée par Levavasseur. Voisin construit l'Henri Farman n°1. C'est sur cette appareil que Farman, le 13 janvier 1908 vole le premier en circuit fermé, puis gagne le prix Deutsch-Archeacon. Delagrange sur Voisin effectue des vols remarquables. Henri Farman emmène des passagers. Welferinger commence les essais du monoplace Gastanbide-Mangin qui deviendra plus tard l'Antoinette. Ferber, le grand précurseur, a mis au point un appareil léger le 25 juillet 1908 et fait une envolée de 800 mètres. Santos-Dumont pose avec sa Demoiselle. En multipliant les expériences, Esnault-Pelterie vole avec un appareil curieux. Mais le vrai père du monoplan, c'est Blériot.
Bobine 2/7 ; 298 mètres ; 10 mn 53 s.
Les essais de Blériot à Issy-les-Moulineaux. En 1909, avec son appareil n°9, Blériot fait sortir l'aviation de la période des aérodromes, en traversant la Manche de Calais à Douvres. Entre-temps, de nombreuses tentatives avaient été faîtes par H. Farman : ce dernier effectue le vol Châlons en Champagne-Reims le 30 octobre 1908 avec avion Voisin. Hubert Latham, tente le 1er la traversée de la Manche le 19 juillet 1909 mais tombe à la mer après 10 km de vol sur son Antoinette. Le 25 juillet1909 Blériot réalise l'exploit, atterrit à Douvres et est accueilli en héros à Paris. Blériot remet son avion au Conservatoire des Arts et Métiers en présence de notabilités anglaises. 1909 : année du meeting de Reims avec des vols fabuleux de Farman, Blériot, Latham.
Bobine 3/7 ; 133 m ; 4 mn 53 s.
Les premiers hydravions voient le jour. Louis Paulhan, sur avion Voisin, concourt pour la coupe Michelin (1909). Départ à Issy les Moulineaux avec les pilotes : Leblanc, Legagneux et Weymann. 1910 : les frères Morane tentent le voyage de Paris au Puy-de-Dôme qui est effectué le 7 mars 1911 par Eugène Renaux sur un Farman-Renault 50 CV (340 km en 5 h 10 mn).
Bobine 4/7 manquante.
Bobine 5/7 ; 213 m ; 7 mn 46 s.
Le regretté Fonval, roi de l'acrobatie, bouclait 962 fois la boucle et battait le record mondial du looping sur Morane-Hispano-Suiza 180 CV, le 25 février 1928 en 1 111 fois la boucle.
Dunlop innove avec la jante base creuse pour des atterrissages mieux maîtrisés.
1921 : meeting de Buc. Thiery sur Bréguet-Renault 450 CV bat le record de vitesse ascensionnelle : il monte à 2 000 mètres en 7 mn.
1922 : la coupe Deutsch de la Meurthe est devenue une épreuve internationale. Casale sur aéronef Blériot démontre ses talents de pilote. L'organisateur de la manifestation est présent.
1923 : Laporte s'élève à 5 595 mètres sur hydravion Schreck-Hispano-Suiza.
Sadi-Lecointre sur Nieuport porte le record de vitesse à 375 km/h et monte à 11 145 mètres (record du monde).
Une association d'anciens pilotes, brevetés avant août 1914, "les Vieilles Tiges", se charge d'organiser le meeting du Bourget. Rabatel remporte la coupe offerte par Léon Bathiat, président de l'association.
Au concours de Tourisme, dont le départ est donné à Orly, Lasne est victorieux sur Nieuport-Hispano-Suiza.
M. Laurent Eynac (SSE à l'Aréonautique), accompagné du colonel de Goys, s'entretient avec constructeurs et pilotes. Départ d'un avion de la compagnie aérienne française.
Le vol à voile prend son essor. Le 31 janvier 1923 Barbot sur Dewoitine bat le record de durée de vol avec 8 heures 36 secondes 55 s. Volant en hélice calée, Thoret augmente encore les durées en vol.
En 1907, le giroplane Bréguet-Richet s'était élevé du sol ; le 28 avril 1923, l'hélico Gemichen-Peugeot s'élève à 3 mètres du sol.
Bobine 6/7 [incomplet] 251 m ; 11 mn 11s.
Le constructeur de l'avion Louis Bréguet et Henry Roget posent devant la caméra : au XIXe siècle, les chemins de fer, au XXe siècle le réseau aérien ! De 6400 passagers embarqués en 1920, le nombre monte à 35 657 en 1927. Destiné à faire valoir les appareils français, un Grand Prix des avions de transport est organisé, rassemblant de nombreux aéronefs. A cette occasion, la gracieuse artiste, Gaby Morlay prend place à bord d'une berline. Les gagnants du Grand Prix sont présentés (M. Drouhin notamment) avec leur appareil, le Jabiru-Farman. Industriel de l'aéronautique, Louis Schreck fait une démonstration de son "hydravion amphibie" : il se rend avec son épouse à une partie de chasse d'où il repart chargé de gibier. Il semble ravi de cette escapade tout comme le pilote Daumier, présent également. L'originalité ne s'arrête pas là ! Il est désormais possible d'embarquer sous l'avion, solidement amarré, son véhicule personnel (ici une 5 CV Peugeot) ...
Bobine 8/8 ; 143 m 5 mn.
1924 : C'est le retour triomphal Tokyo-Paris franchi en sept étapes par Pelletier d'Oisy et Besin.
Dieudonné Costes et Joseph Le Brix arrivent au Bourget à bord d'un Bréguet XIX GR sous les vivas de la foule, qui ne se contient plus. Le vol aura duré 18 h 15 mn sur une distance de 3 400 km. M. Bokanowski, ministre du Commerce et de l'Aéronautique accompagne les "deux aigles" à Rambouillet. M. Doumergue, président de la République, félicite les aviateurs pour leur randonnée autour du monde. La réception à l'Hôtel de Ville de Paris est pour les deux héros l'objet d'une nouvelle manifestation d'enthousiasme et de liesse du peuple de la capitale. Les opérateurs au pied de l'édifice tournent à la hâte quelques séquences. Carton final : "Vive l'aviation française ! Méditons les exemples de tout ceux qui ont semé pour les moissons futures des lendemains prospères : c'est pour la France et pour l'Humanité ; vive l'aviation française !"
Notes : En consultation uniquement, pas de commercialisation. Film Pathé.
Voir aussi films FT 267 "La naissance des ailes" et SCA 25 "Quelques dates dans l'histoire de l'aviation. Conquête de l'air." : plans similaires et complémentaires.
Au cours d'une première période qui va jusqu'en 1909, les engins, de bonds en bonds se perfectionnent. On atteint 1908, le premier kilomètre en circuit fermé. C'est l'époque des Ader, Archedeacon, Ferber, Voisin, Farman, Santos-Dumont et Blériot qui clôt celle-ci en effectuant, le 25 juillet 1909, la traversée de la Manche.
A la période des aérodromes succède celle des coupes et des circuits, de 1909 à 1921 (Coupes Michelin, circuit de l'Est) largement interrompue par la guerre.
On bat des records d'alitutde, de vitesse, d'acrobatie. L'essor de l'hydravion se manifeste au meeting de Monaco. C'est l'époque de Pégoud, Védrines, Paulhan, Morane, Nieuport, Garros alors que les constructeurs aéronauti-ques améliorent les techniques des appareils (Voisin, Farman, Blériot).Aviation militaire, apparue en 1912, se développe avec la guerre.
Dans trois domaines, l'aviation progresse considérablement : l'altitude (avec plus de 7 000 m), la vitesse (avec plus de 275 km/h), la charge (plusieurs tonnes).
Des noms apparaissent ou se confirment : Nungesser, Fonck, Madon, Pinsart, Guynemer, Garros.
En 1921, s'ouvre l'ère des meetings avec celui de Buc. L'association des "Vieilles tiges" organise celui du Bourget en 1924. Védrines et Fonval font des exploits. On assiste même à l'essor du vol à voile, aux records de vols hélice-calée (Maneyrol).
Les grandes randonnées mondiales commencent en 1924. Cette année-là, Pelletier d'Oisy et Besin relient Paris à Tokyo. En 1925, Darque et Daumier gagnent la croisière de la Méditerrannée et Dagnaux, Challe et rabatel effectuent Paris-Téhéran.
1926 voit plusieurs records : Paris-Omsk sans escale (Girier), Paris-Bassorah (les frères Arrachart), Paris-Bender-Abbas (Challe), Paris-Djask (Costes-Rignot).
Enfin en 1927 après la tentative malheureuse de Nungesser et Coli sur l'Atlantique Nord, Costes et Le Brix traversent l'Atlantique Sud puis regagnent la France en bouclant le tour du Monde (1927-1928).
Description détaillée :
Bobine 1/7 : 156 mètres ; 5 mn 43 s.
Cartons et résumé : 38 ans après deux français, Costes et Brix franchissent l'Atlantique sud et couvrent à bord d'un appareil volant 60 000 km sur Bréguet-19 et moteur Hispano Suiza de 600 CV.
Les expériences de ces hommes illustres méritent d'être connues : Ferber étudie scientifiquement la sustentation au moyen d'abord de planeurs sans moteur puis avec moteur. Voisin, peu à peu, amène le planeur à sa forme rationnelle avec moteur Antoinette, crée par Levavasseur. Voisin construit l'Henri Farman n°1. C'est sur cette appareil que Farman, le 13 janvier 1908 vole le premier en circuit fermé, puis gagne le prix Deutsch-Archeacon. Delagrange sur Voisin effectue des vols remarquables. Henri Farman emmène des passagers. Welferinger commence les essais du monoplace Gastanbide-Mangin qui deviendra plus tard l'Antoinette. Ferber, le grand précurseur, a mis au point un appareil léger le 25 juillet 1908 et fait une envolée de 800 mètres. Santos-Dumont pose avec sa Demoiselle. En multipliant les expériences, Esnault-Pelterie vole avec un appareil curieux. Mais le vrai père du monoplan, c'est Blériot.
Bobine 2/7 ; 298 mètres ; 10 mn 53 s.
Les essais de Blériot à Issy-les-Moulineaux. En 1909, avec son appareil n°9, Blériot fait sortir l'aviation de la période des aérodromes, en traversant la Manche de Calais à Douvres. Entre-temps, de nombreuses tentatives avaient été faîtes par H. Farman : ce dernier effectue le vol Châlons en Champagne-Reims le 30 octobre 1908 avec avion Voisin. Hubert Latham, tente le 1er la traversée de la Manche le 19 juillet 1909 mais tombe à la mer après 10 km de vol sur son Antoinette. Le 25 juillet1909 Blériot réalise l'exploit, atterrit à Douvres et est accueilli en héros à Paris. Blériot remet son avion au Conservatoire des Arts et Métiers en présence de notabilités anglaises. 1909 : année du meeting de Reims avec des vols fabuleux de Farman, Blériot, Latham.
Bobine 3/7 ; 133 m ; 4 mn 53 s.
Les premiers hydravions voient le jour. Louis Paulhan, sur avion Voisin, concourt pour la coupe Michelin (1909). Départ à Issy les Moulineaux avec les pilotes : Leblanc, Legagneux et Weymann. 1910 : les frères Morane tentent le voyage de Paris au Puy-de-Dôme qui est effectué le 7 mars 1911 par Eugène Renaux sur un Farman-Renault 50 CV (340 km en 5 h 10 mn).
Bobine 4/7 manquante.
Bobine 5/7 ; 213 m ; 7 mn 46 s.
Le regretté Fonval, roi de l'acrobatie, bouclait 962 fois la boucle et battait le record mondial du looping sur Morane-Hispano-Suiza 180 CV, le 25 février 1928 en 1 111 fois la boucle.
Dunlop innove avec la jante base creuse pour des atterrissages mieux maîtrisés.
1921 : meeting de Buc. Thiery sur Bréguet-Renault 450 CV bat le record de vitesse ascensionnelle : il monte à 2 000 mètres en 7 mn.
1922 : la coupe Deutsch de la Meurthe est devenue une épreuve internationale. Casale sur aéronef Blériot démontre ses talents de pilote. L'organisateur de la manifestation est présent.
1923 : Laporte s'élève à 5 595 mètres sur hydravion Schreck-Hispano-Suiza.
Sadi-Lecointre sur Nieuport porte le record de vitesse à 375 km/h et monte à 11 145 mètres (record du monde).
Une association d'anciens pilotes, brevetés avant août 1914, "les Vieilles Tiges", se charge d'organiser le meeting du Bourget. Rabatel remporte la coupe offerte par Léon Bathiat, président de l'association.
Au concours de Tourisme, dont le départ est donné à Orly, Lasne est victorieux sur Nieuport-Hispano-Suiza.
M. Laurent Eynac (SSE à l'Aréonautique), accompagné du colonel de Goys, s'entretient avec constructeurs et pilotes. Départ d'un avion de la compagnie aérienne française.
Le vol à voile prend son essor. Le 31 janvier 1923 Barbot sur Dewoitine bat le record de durée de vol avec 8 heures 36 secondes 55 s. Volant en hélice calée, Thoret augmente encore les durées en vol.
En 1907, le giroplane Bréguet-Richet s'était élevé du sol ; le 28 avril 1923, l'hélico Gemichen-Peugeot s'élève à 3 mètres du sol.
Bobine 6/7 [incomplet] 251 m ; 11 mn 11s.
Le constructeur de l'avion Louis Bréguet et Henry Roget posent devant la caméra : au XIXe siècle, les chemins de fer, au XXe siècle le réseau aérien ! De 6400 passagers embarqués en 1920, le nombre monte à 35 657 en 1927. Destiné à faire valoir les appareils français, un Grand Prix des avions de transport est organisé, rassemblant de nombreux aéronefs. A cette occasion, la gracieuse artiste, Gaby Morlay prend place à bord d'une berline. Les gagnants du Grand Prix sont présentés (M. Drouhin notamment) avec leur appareil, le Jabiru-Farman. Industriel de l'aéronautique, Louis Schreck fait une démonstration de son "hydravion amphibie" : il se rend avec son épouse à une partie de chasse d'où il repart chargé de gibier. Il semble ravi de cette escapade tout comme le pilote Daumier, présent également. L'originalité ne s'arrête pas là ! Il est désormais possible d'embarquer sous l'avion, solidement amarré, son véhicule personnel (ici une 5 CV Peugeot) ...
Bobine 8/8 ; 143 m 5 mn.
1924 : C'est le retour triomphal Tokyo-Paris franchi en sept étapes par Pelletier d'Oisy et Besin.
Dieudonné Costes et Joseph Le Brix arrivent au Bourget à bord d'un Bréguet XIX GR sous les vivas de la foule, qui ne se contient plus. Le vol aura duré 18 h 15 mn sur une distance de 3 400 km. M. Bokanowski, ministre du Commerce et de l'Aéronautique accompagne les "deux aigles" à Rambouillet. M. Doumergue, président de la République, félicite les aviateurs pour leur randonnée autour du monde. La réception à l'Hôtel de Ville de Paris est pour les deux héros l'objet d'une nouvelle manifestation d'enthousiasme et de liesse du peuple de la capitale. Les opérateurs au pied de l'édifice tournent à la hâte quelques séquences. Carton final : "Vive l'aviation française ! Méditons les exemples de tout ceux qui ont semé pour les moissons futures des lendemains prospères : c'est pour la France et pour l'Humanité ; vive l'aviation française !"
Notes : En consultation uniquement, pas de commercialisation. Film Pathé.
Voir aussi films FT 267 "La naissance des ailes" et SCA 25 "Quelques dates dans l'histoire de l'aviation. Conquête de l'air." : plans similaires et complémentaires.
Propriétés
| Lieu(x) | Atlantique - Buc - Calais - Douvres - Hôtel de Ville de Paris - Issy-les-Moulineaux - Bourget (Le) - Manche - Monaco - Omsk - Paris - Téhéran - Tokyo - |
|---|---|
| Personnes représentées | Welferinger - Esnault-Pelterie, Robert - Casale - Laporte - Thoret - Breguet, Louis - Roget, Henry - Morlay, Gaby - Drouhin - Pelletier d'Oisy, Georges - Besin - Santos-Dumont, Alberto - Blériot, Louis - Farman (frères) - Latham, Hubert - Voisin (Film) - Delagrange - Paulhan, Louis - Leblanc, Alfred - Legagneux, Georges - Weymann - Morane - Renaux, Eugène - Bathiat, Léon - Sadi-Lecointe, Joseph. - Archedeacon, Ernest - Deutsch de la Meurthe, Henry - Ferber, Ferdinand - Laurent-Eynac, André - Rabatel - Costes, Dieudonné - Le Brix, Joseph - Bokanowski - Doumergue, Gaston - Schreck, Louis - Fonval - Thiéry |
Informations
| Référence | FT 267 |
|---|---|
| Durée | 01:10:00 |
| Date de réalisation | 01/01/1928 |
| Format d'origine | 35 mm |
| Couleur | Noir et blanc |
| Typologie | Produit monté |