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Le 1er RHP en contact avec des habitants de Chatila, Beyrouth.

Photographe(s) : Joël Brun



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Informations techniques

Procédé original Négatif
Format d'origine 24x36
Support d'origine Acétate
Couleur Noir et blanc
Orientation paysage

Propriétés

Référence F 83-471 L304
Date de début 04/10/1983
Date de fin 04/10/1983
Photographe(s) Joël Brun -
Lieu(x) Beyrouth - Liban -
Origine ECPA
Mention obligatoire © Joël Brun/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

Eléments français de la Force multinationale de sécurité à Beyrouth en septembre 1983.

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Description du reportage

La France est présente au Liban depuis 1978 lorsque l'ONU décide de créer la FINUL (Force intérimaire des Nations-Unies au Liban) et le 15 mars 1979 les français quittent le territoire libanais. Après la création de la FMI (Force multinationale d'interposition) par l'ONU, la France renvoie un détachement sous le nom de code Epaulard le 25 mai 1982. Le détachement quitte le pays sous la pression des Etats-Unis. Mais le 17 septembre 1982, des massacres de réfugiés palestiniens se produisent dans les camps de Sabra et Chatila. La FMSB (Force multinationale de sécurité à Beyrouth) est mise en place par le conseil de sécurité de l'ONU. Elle comprend des détachements américains, français, italiens et un détachement symbolique de l'armée britannique. Les détachements français s'appellent DIODON.
Ici, les premiers mois de l'opération DIODON IV.
Ce reportage aborde les thèmes suivants :
-Les activités à bord du porte-avions Foch : appontage et décollage d'étandarts et du super-frelon,
-Les différents postes comme le poste Drakkar (poste du 6e RIP (régiment d'Infanterie de Parachutiste), le poste Geneviève,le poste Pirogue, le poste galère, etc.,
-Les contacts avec la population civile et surtout les enfants par le biais de patrouilles de jour ou de nuit,
-Les scènes de vie quotidienne de la population civile (commerçant, enfants jouant sur des carcasses de chars) et des régiments,
-Les contrôles, par les parachutistes du 6e RPIMa (régiment Parachutiste d'infanterie de marine), de la population civile comme le personnel et les véhicules pénètrant l'ambassade de France,
- Les recherches et les découvertes de munitions non explosées (obus, bombe de 457 Kg originaire des Etats-Unis).

Photos du reportage(399)