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Le 22 juin 1940, lors de la signature de l'armistice à Rethondes (Oise), les autorités françaises sortent du wagon, sur la droite le reporter allemand Otto Kropf.
Informations techniques
Procédé original | Négatif |
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Format d'origine | 24x36 |
Support d'origine | Nitrate |
Couleur | Noir et blanc |
Orientation | paysage |
La photographie est issue du reportage suivant :
Signature de l'armistice à Rethondes le 22 juin 1940.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
Enfin, deux images présentent le général d’aviation Hugo Sperrle en compagnie d’un officier d’état-major.
Le 22 juin 1940, la signature de l'armistice à Rethondes. Le reporter allemand photographie l'ensemble de la clairière de Rethondes où le wagon a été replacé à l'image de la cérémonie du 11 novembre 1918, la statue de Foch et la plaque commémorative y figurent toujours.
Nettoyage du terrain d’aviation du Bourget (clichés L01 et L02).
Arrivée des autorités françaises à Rethondes (clichés L03 à L09).
Des débris d'instruments de musique et d'uniformes français sur les bords d'une route (clichés L10 à L13).
Les autorités françaises qui ont fait leur apparition à 15h40 sortent enfin du wagon. Elles se composent du général Charles Huntziger (commandait la 2e armée autour de Sedan), le général Jean Bergeret (chef d'état-major de l'aviation), le vice-amiral Maurice Le Luc, l'ambassadeur Léon Noël, représentant des Affaires étrangères.
Après la signature de l'armistice, les autorités françaises et allemandes quittent le wagon. L'ambassadeur Léon Noël, rejoint la tente où les représentants français se rassemblent. Derrière lui, le général Jean Bergeret.
Le général Charles Huntziger qui vient de quitter le wagon de l'armistice, rejoint la tente française.
A l'issue de la cérémonie, les autorités quittent la clairière pour rejoindre leurs véhicules (non visibles sur les images). En tête des représentants français, le général Charles Huntziger puis l'ambassadeur Léon Noël, le vice-amiral Maurice Leluc fumant. A l'arrière-plan, le photographe Otto Kropf (de dos sur les images) immortalise le départ de la délégation française.
Photos du reportage(37)
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Au Bourget, des ouvriers ou des prisonniers français sont contraints de nettoyer les pistes du terrain d'aviation.
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Au Bourget, des ouvriers ou des prisonniers français sont contraints de nettoyer les pistes du terrain d'aviation.
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A Rethondes, non loin du wagon où va être signée l'armistice, des officiers allemands attendent la délégation française.
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A Rethondes, non loin du wagon où va être signée l'armistice, des officiers allemands attendent la délégation française.
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A Rethondes, non loin du wagon où va être signée l'armistice, des officiers allemands attendent la délégation française.
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Le général Charles Huntziger (commandant de la 2e armée) et l'ambassadeur Léon Noël, représentant des Affaires étrangères, rejoignent le wagon pour signer l'armistice.
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Le général Charles Huntziger (commandant de la 2e armée) et l'ambassadeur Léon Noël, représentant des Affaires étrangères, rejoignent le wagon pour signer l'armistice.
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Le général Charles Huntziger (commandant de la 2e armée) et l'ambassadeur Léon Noël, représentant des Affaires étrangères, rejoignent le wagon pour signer l'armistice.
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Le général Charles Huntziger (commandant de la 2e armée) et l'ambassadeur Léon Noël, représentant des Affaires étrangères, rejoignent le wagon pour signer l'armistice.
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Non loin de Compiègne, des tombes de soldats français dont un artilleur.
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Non loin de Compiègne, des tombes de soldats français dont un artilleur.
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Non loin de Compiègne, des tombes de soldats français dont un artilleur.
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Non loin de Compiègne, des tombes de soldats français dont un artilleur.
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Le général (General der Flieger) Hugo Sperrle, commandant de la 3e flotte aérienne allemande (Luftflotte 3) et son officier d'état-major.
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le général (General der Flieger) Hugo Sperrle commandant de la 3e flotte aérienne allemande (Luftflotte 3) et son officier d'état-major.
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Les autorités françaises regagnent le wagon pour signer l'armistice après avoir convenu des conditions avec le gouvernement français installé à Bordeaux.
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Les autorités françaises regagnent le wagon pour signer l'armistice après avoir convenu des conditions avec le gouvernement français installé à Bordeaux.
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A Rethondes, les autorités allemandes et françaises signent l'armistice dans le wagon du 11 novembre 1918.
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A Rethondes, les autorités allemandes et françaises signent l'armistice dans le wagon du 11 novembre 1918.
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A Rethondes, les autorités allemandes et françaises signent l'armistice dans le wagon du 11 novembre 1918.