Le général Imbot prend la parole lors d'un toas au PC du 6e RIP, Beyrouth.

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Le général Imbot prend la parole lors d'un toas au PC du 6e RIP, Beyrouth.

Photographe(s) : Joël Brun

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Lors de sa visite au Liban, le chef d'état-major de l'armée de Terre, le général Imbot, prend la parole au PC (Poste de commandement) du 6e RIP (régiment d'infanterie parachutiste) commandé par le colonel Urwald, lors d'un pot organisé à l'occasion de sa venue. Le général Cann, chef de troupes françaises de Beyrouth, est également présent parmi le reste de l'état-major.
Les officiers tiennent un coup de champagne.

Catégories

ECPA [établissement cinématographique et photographique des armées] (1969-2001)

État-major de l'armée de Terre (EMAT)

Liban (1978-1989)

ONU

Troupe aéroportée (TAP) / Parachutiste

Personnalités militaires

Mots clés

Colonel Discours FMSB Général ONU Réception Visite CEMAT

Informations techniques

Procédé original	Négatif
Format d'origine	24x36
Support d'origine	Acétate
Couleur	Couleur
Orientation	paysage

Propriétés

Référence	F 83-497 LC120
Date de début	29/10/1983
Date de fin	31/10/1983
Photographe(s)	Joël Brun -
Lieu(x)	Beyrouth - Liban -
Personnes représentées	Urwald, Paul - Cann - Imbot, René
Origine	ECPA
Mention obligatoire	© Joël Brun/ECPAD/Défense

La photographie est issue du reportage suivant :

Inspection du général d'armée René Imbot, CEMAT (chef d'état-major de l'armée de Terre), à la FMSB et au contingent français de la FINUL.

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Description du reportage

La France est présente au Liban depuis 1978 lorsque l'ONU décide de créer la FINUL (Force intérimaire des Nations-Unies au Liban) et le 15 mars 1979 les français quittent le territoire libanais. Après la création de la FMI (Force multinationale d'interposition) par l'ONU, la France renvoie un détachement sous le nom de code Epaulard le 25 mai 1982. Le détachement quitte le pays sous la pression des Etats-Unis. Mais le 17 septembre 1982, des massacres de réfugiés palestiniens se produisent dans les camps de Sabra et Chatila. La FMSB (Force multinationale de sécurité à Beyrouth) est mise en place par le conseil de sécurité de l'ONU. Elle comprend des détachements américains, français, italiens et un détachement symbolique de l'armée britannique. Les détachements français s'appellent DIODON.
En 1983, le poste français Drakkar est la cible d'un attentat au camion-piégé qui tue 58 parachutistes français. Un deuxième attentat dans la même journée fait 250 victimes parmi les soldats de l'armée américaine.
Toutefois, la présence des troupes de l'ONU au Liban n'est pas remise en question et le chef d'état-major de l'armée de terre, le général Imbot, visite les troupes sur le terrain afin de montrer le soutien du ministère de la Défense et du gouvernement français.

Ce reportage aborde les thèmes suivants :
-La levée des corps des victimes de Drakkar,
-Les différentes visites du général Imbot : la visite du 3e RPIMa (régiment de parachutistes d'infanterie de marine) au poste de commandement Frégate, la visite des différentes compagnies comme celles d'appui et de génie, la visite des différents postes comme le poste Canoë, le poste Galère, le poste Escorteur, etc., ; visite du 1er RHP (régiment de hussards parachutistes); di 17e RGP (régiment du génie parachutiste); du 6e RIP (régiment d'infanterie parachutiste); et du 7e RPCS (régiment Parachutiste de Commandement et de Soutien)
-La visite des différents régiments au sud du pays sous le drapeau de l'ONU dirigés par le colonel Roue: le 420e DSL (Détachement de soutien logistique) du lieutenant-colonel de Metz, établi à Naqoura et notamment les compagnies du génie et celle d'appui; et le 9e RCP (régiment de Chasseurs Parachutistes) à Jouaya dont fait partie le capitaine Ferrand. Le général Imbot est reçu par le commandant de la FINUL, le général irlandais Callaghan.
- Des vues sur la côte méditérranéenne de Naqoura.