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Le Mont-Sans-Nom (Marne).
[légende d'origine]
Objet de violents combats le 17 avril 1917, lors du déclenchement de l'offensive Nivelle, le Mont-sans-Nom est repris par les Français et devient une position de seconde ligne. Il est fortifié et aménagé avec un tunnel d'une longueur totale de plus de 500 m, qui le traverse du nord au sud. Il est repris par l'ennemi en juillet 1918 pendant la seconde bataille de la Marne, puis reconquis.
Catégories
| Front occidental |
| Armée de terre |
| SPCG [service photographique et cinématographique de la guerre] (1918-1919) |
| Fortification de campagne française 1re guerre mondiale |
Informations techniques
| Procédé original | Négatif |
|---|---|
| Format d'origine | 9x12 |
| Support d'origine | Plaque de verre |
| Couleur | Noir et blanc |
| Orientation | paysage |
Propriétés
| Référence | SPA 17 DS 488 |
|---|---|
| Date de début | 06/10/1918 |
| Date de fin | 06/10/1918 |
| Photographe(s) | Léon Desserteaux - |
| Lieu(x) | Champagne-Ardenne - Marne - Mont sans Nom - |
| Origine | SPCG (service photographique et cinématographique de guerre) |
| Mention obligatoire | © Léon Desserteaux/ECPAD/Défense |
La photographie est issue du reportage suivant :
Dans la Marne pendant l'offensive française de Champagne de septembre 1918. Dans l''Aisne et en Belgique après la bataille des Flandres.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
Le reportage se poursuit ensuite à Laon (Aisne) et en Belgique après la bataille des Flandres.
A Laon, un entonnoir de mine est creusé sur une route. Des enfants jouent sur une guérite allemande. Une vue générale montre la ville et diverses rues ainsi que l'hôtel de ville. Une statue a été enlevée par les Allemands et seul le socle demeure visible.
En Belgique, près de Dixmude, le débordement de l'Yser a provoqué des inondations. A Bruges, des clichés montrent la grand'place et le beffroi. A Zofhem (ou Zophem ?), le général Degoutte, chef d'état-major du groupement d'armée des Flandes, est photographié avec ses officiers d'ordonnance et son état-major.
A Seclin (Nord) récemment libérée, des maisons et une usine sont détruites ou incendiées et l'église est en ruine. La ville est occupée par l'ennemi pendant 4 ans, du 5 septembre 1914 au 16 octobre 1918. Dans la nuit du 16 au 17 octobre, sous la pression de la 5e armée britannique, les Allemands se retirent après avoir dynamité l'église, les maisons et les usines (5 filatures, 2 distilleries, 2 sucreries, 7 brasseries, 2 malteries et 4 tanneries) dont ils ont déménagé les machines et le matériel (1).
Note : (1) D'après le livre "Seclin 14-18", édité par la société historique de Seclin.
SPA 17 DS 528REP = SPA 7 MG 339
Photos du reportage(44)
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Près de Dixmude (Belgique). Inondations de l'Yser.
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Bruges. Belgique. La Grand' place.
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Bruges. Belgique. Le beffroi.
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Seclin (Nord). Maison détruite.
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Laon (Aisne). Enfant juché sur une guérite allemande.
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Laon (Aisne). La rue Saint-Martin.
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Seclin (Nord). Usine détruite.
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Laon (Aisne). L'Hôtel de Ville.
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Saint-Souplet (Marne). Convois de chevaux.
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Seclin (Nord). Usine détruite.
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Saint-Martin-L'Heureux (Marne). Cavaliers conduisant leurs chevaux à l'abreuvoir.
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Laon (Aisne). Socle d'une statue enlevée par les Allemands.
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Laon (Aisne). Vue générale.
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Seclin (Nord). Maison détruite.
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Seclin (Nord). Maison incendiée.
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Zofhern, Belgique. Groupe du 3e bureau.
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Seclin (Nord). L'église.
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Seclin (Nord). Maison détruite.
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Seclin (Nord).
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Seclin (Nord). Maison détruite.