reportage
Le pont aérien Hanoï-Saigon.
Les légendes d'origine du reportage sont en attente de travail documentaire complémentaire-Les éléments sont données à titre d'information sous réserve de vérification ".
Le pont aérien Hanoi Saigon, assurant, l'évacuation des réfugiés du nord Viêtnam, a commencé à fonctionner le 3 août avec 7 appareils. Le 5 moins de 48 h , après, déjà 30 avions assuraient la rotation. Aujourd'hui, ce chiffre est passé à plus de 60. Ce gigantesque organisme, placé sous le commandement du colonel Nitoc, fontionne avec 50 % d'avions militaires et 50 % d'avions civils. Bien avant l'aube, les aérodromes de Bach Mai et Gia Lam à Hanoi et de Tan Son Nhut à Saigon, Nord 2.500 Dakotas, Skymaster, Strato Linere, Birstol commandos, SO Bretagne, ... décollent toutes les 5 minutes, les uns vers le sud, chargés de réfugiés les autres vers le nord remontant chercher un nouveau chargement. Pour la période du 7 au 18/0/8/54, 23.955 personnes ont été évacués du nord.
Dans les deux sens, chaque type d'appareil, suivent en puissances, se voit assigné dans son couloir une altitude. Tout au long des corridors aérien les avions, quelque soit le temp, son guidés par des stations au sol.
Tous les équipages, militaires et civils, volent une moyenne de 9 heures par jour.
1 : Le centre d'accueil des réfugiés, placé sur le parking autos de l'aérogare de Saigon, où ambulance et camions civils et militaires assurent le transport vers les grand centres.
3 : Dans la tour de contrôle, de Tan Son Nhut à Saigon, le capitaine Desnoyere André (Dordogne) du groupe de transport "Bearn" est venu en renfort auprès du personnel civil pour alléger la lourde tâche de ceux qui assurent et les mouvements du trafic commercial norma et les mouvements du "pont".
4 : M. Tournier André, chef de la tour de contrôle de Saigon le maitre incontesté des pistes de l'aérodrome, c'est son micro que partent les autorisation de décollage ou d'atterrissages.
5 : M. Robert de la tour de contrôle de Saigon, assurent avec ses coéquipiers les mouvements des trafics de la base aérienne de Tan Son Nhut.
6 : Les avants-bras en croix devant le Dakota, le starter, après avoir guidé l'avion au parking, lui fait signe de s'arrêter.
7-8 : Toutes les cinqs minutes, un appareil décharge sa cargaison de réfugiés sur le terrain de Saigon.
10 : Le déchargement terminé, les avions militaires vont se ranger au parking de leur groupe.
16 : Le centre d'accueil des réfugiés de l'aéroport de Saigon qui transite chaque jour des milliers de personnes vers le grands centres.
17-18 : M. Jacquet, commandant le port de Tan Son Nhut, qui a la lourde charge d'assurer les départs, les arrivées et le parking du "pont" et du trafic normal. Les mouvements d'Orly sont largement battus et un juste hommage doit être rendu aux personnelss militaires et civils de l'aviation qui depuis le 3 août, ne ménagent pas leurs efforts pour assurer l'évacuaton des réfugiés.
19 : Le parking autos de l'aéroport de Tan Son Nhut.
20 : Chaque jour, les Dakotas volant 9 heures dans le couloir aérien, pilotés par de jeunes équipages qui ne ménagent pas leurs efforts.
Le sergent- chef mécanicien Cazailloon Roger (Châteaudun-Eure et Loire), le sous-lieutenant Loizy Maurice (st Marcel de Chalons-Loire), navigateur, le lieutenant Clairet Albert, pilote de Cannes, le sergent radio Guergui Jean de Toulouse.
21 : Le nord 2.501, le Baby Packet français plus perfectionné que son ainé américain, assure lui aussi le pont aérien, emportant 50 passagers adultes et presqu'autant d'enfants.
22 : Ceux du pont aérien du groupe Anjou, enthousiastes, souriants étudient leur carte avant l'envol à bord de leur Nord 2.501. De gauche à droite : le capitaine Decastile, navigateur (Metz), le sergent-chef Cabaret, mécanicien (Le Mans) , le sergent-chef navigateur Lajarrige (Paris), le sergent-chef Pilote Mayet (Lyon), le segent Morel, radio (Bayonne).
23 : La police du port de Tan Son Nhut elle aussi contribue à l'évacutation des réfugiés : veillant à l'ordre, canalisant véhicules et personnes.M.M Nasale, Poli Jean, Pharamond Henri, Cochois Alexis et Soutote Mohamed.
24 : Dés 5 h du matin , le couloir aérien vibre des grondements des avions du "pont". Pilotes, mécaniciens, navigateurs, radios, chacun à son poste pendant 9 heures sera en liaison constante avec le sol pour conserver le cap, l'altitude, la vitesse et arriver à l'heure aux 3.500 heures de vol, du groupe Anjou.
25 : Dés 5 h du matin, le couloir aérien vibre des grondements des avions du "pont". Pilotes mécaniciens, navigateurs, radios, chacun à son poste pendant 9 heurre sera en laison constante vers le sol pour conserve le cap, l'altitude, la vitesse et arriver à l'heure à destination. L'adjudant navigateur Kling Jacques (St Mandé-Seine) à bord d'un nord 2.501, 14000 heures de vol du groupe Anjou.
27 : Dés 5 h du mation, le couloir aérien vibre de grondements des avions "du pont".Pilotes, mécaniciens, navigateurs, radios, chacun à son poste pendant 9 heures sera en liaison constante avec le sol pour conserver le cap, l'altitude, la vitesse et arriver à l'heure à destination. Le sergent Gossiaux, pilote à bord d'un nord 2.501 (Lavit de Louagne, Tar et Garonne) 900 heures de vol du groupe Anjou.
28 : Dés 5 h du matin, le couloir aérien vibre des grondements des avions du "pont". Pilotes, mécaniciens, navigateurs, radio,
chacun à son poste pedant 9 heures sera en liaison constante avec le sol pour conserver le cap, l'altitude, la vitesse et arriver à l'heure à destination. Ici l'adjudant mécanicien Haensler, à bord du nord 2.501du groupe Anjou.
29 : Dés 5 h du matin, le couloir aérien vibre des grondements des avions du "pont". Pilotes, mécaniciens, navigateurs, radio,
chacun à son poste pendant 9 heures sera en liaison constante avec le sol pour conserver le cap, l'altitude, la vitesse et arriver à l'heure à destination. Ici le capitaine Geise, pilote, chef de bord du nord 2.501 (Grenoble) aux 3.600 heures de vol du groupe Anjou.
30 : Dés 5 h du matin, le couloir aérien vibre des grondements des avions du "pont". Pilotes, mécaniciens, navigateurs, radio,
chacun à son poste pendant 9 heures sera en liaison constante avec le sol pour conserver le cap, l'altitude, la vitesse et arriver à l'heure à destination. Ici l'adjudant mécanicien Pied Serge (Chartres) aux 2.300 heures de vol, du groupe Anjou.
31 : Dés 5 h du matin, le couloir aérien vibre des grondements des avions du "pont". Pilotes, mécaniciens, navigateurs, radio,
chacun à son poste pedant 9 heures sera en liaison constante avec le sol pour conserver le cap, l'altitude, la vitesse et arriver à l'heure à destination. Ici le capitaine navigateur Couty Raymon à bord du nord 2.501 (Paris) aux 1.200 heures de vol, du groupe Anjou.
28 : Dés 5 h du matin, le couloir aérien vibre des grondements des avions du "pont". Pilotes, mécaniciens, navigateurs, radio,
chacun à son poste pedant 9 heures sera en liaison constante avec le sol pour conserver le cap, l'altitude, la vitesse et arriver à l'heure à destination. Ici le sergent-chef radio Moreau Bernard (Lemans) aux 2.800 heures de vol, à bord d'un nord 2.501 du groupe Anjou.
33 : A bord d'un nord 2.501 de l'armée de l'air, les réfugiés avec bagage, et leurs enfants font route vers Saigon.
34 : A bord d'un avion qui les mène vers Saigon, un jeune Viêtnamien songe, peut être à son nouvel avenir, à ses côtés, un vieux commerçant imassible, s'interresse aux cours du riz.
35 : A bord d'un avion volant vers Saigon avec à sa cargaison de réfugiés, le charmant sourire d'une jeune fille dédié peut être à une tendre aventure, l'insouciance des enfants dormant ou souriant et la peine des vieux.
Clichés R51 à R56 : avions américains de la CAT (Civil Air Transport).
Le pont aérien Hanoi Saigon, assurant, l'évacuation des réfugiés du nord Viêtnam, a commencé à fonctionner le 3 août avec 7 appareils. Le 5 moins de 48 h , après, déjà 30 avions assuraient la rotation. Aujourd'hui, ce chiffre est passé à plus de 60. Ce gigantesque organisme, placé sous le commandement du colonel Nitoc, fontionne avec 50 % d'avions militaires et 50 % d'avions civils. Bien avant l'aube, les aérodromes de Bach Mai et Gia Lam à Hanoi et de Tan Son Nhut à Saigon, Nord 2.500 Dakotas, Skymaster, Strato Linere, Birstol commandos, SO Bretagne, ... décollent toutes les 5 minutes, les uns vers le sud, chargés de réfugiés les autres vers le nord remontant chercher un nouveau chargement. Pour la période du 7 au 18/0/8/54, 23.955 personnes ont été évacués du nord.
Dans les deux sens, chaque type d'appareil, suivent en puissances, se voit assigné dans son couloir une altitude. Tout au long des corridors aérien les avions, quelque soit le temp, son guidés par des stations au sol.
Tous les équipages, militaires et civils, volent une moyenne de 9 heures par jour.
1 : Le centre d'accueil des réfugiés, placé sur le parking autos de l'aérogare de Saigon, où ambulance et camions civils et militaires assurent le transport vers les grand centres.
3 : Dans la tour de contrôle, de Tan Son Nhut à Saigon, le capitaine Desnoyere André (Dordogne) du groupe de transport "Bearn" est venu en renfort auprès du personnel civil pour alléger la lourde tâche de ceux qui assurent et les mouvements du trafic commercial norma et les mouvements du "pont".
4 : M. Tournier André, chef de la tour de contrôle de Saigon le maitre incontesté des pistes de l'aérodrome, c'est son micro que partent les autorisation de décollage ou d'atterrissages.
5 : M. Robert de la tour de contrôle de Saigon, assurent avec ses coéquipiers les mouvements des trafics de la base aérienne de Tan Son Nhut.
6 : Les avants-bras en croix devant le Dakota, le starter, après avoir guidé l'avion au parking, lui fait signe de s'arrêter.
7-8 : Toutes les cinqs minutes, un appareil décharge sa cargaison de réfugiés sur le terrain de Saigon.
10 : Le déchargement terminé, les avions militaires vont se ranger au parking de leur groupe.
16 : Le centre d'accueil des réfugiés de l'aéroport de Saigon qui transite chaque jour des milliers de personnes vers le grands centres.
17-18 : M. Jacquet, commandant le port de Tan Son Nhut, qui a la lourde charge d'assurer les départs, les arrivées et le parking du "pont" et du trafic normal. Les mouvements d'Orly sont largement battus et un juste hommage doit être rendu aux personnelss militaires et civils de l'aviation qui depuis le 3 août, ne ménagent pas leurs efforts pour assurer l'évacuaton des réfugiés.
19 : Le parking autos de l'aéroport de Tan Son Nhut.
20 : Chaque jour, les Dakotas volant 9 heures dans le couloir aérien, pilotés par de jeunes équipages qui ne ménagent pas leurs efforts.
Le sergent- chef mécanicien Cazailloon Roger (Châteaudun-Eure et Loire), le sous-lieutenant Loizy Maurice (st Marcel de Chalons-Loire), navigateur, le lieutenant Clairet Albert, pilote de Cannes, le sergent radio Guergui Jean de Toulouse.
21 : Le nord 2.501, le Baby Packet français plus perfectionné que son ainé américain, assure lui aussi le pont aérien, emportant 50 passagers adultes et presqu'autant d'enfants.
22 : Ceux du pont aérien du groupe Anjou, enthousiastes, souriants étudient leur carte avant l'envol à bord de leur Nord 2.501. De gauche à droite : le capitaine Decastile, navigateur (Metz), le sergent-chef Cabaret, mécanicien (Le Mans) , le sergent-chef navigateur Lajarrige (Paris), le sergent-chef Pilote Mayet (Lyon), le segent Morel, radio (Bayonne).
23 : La police du port de Tan Son Nhut elle aussi contribue à l'évacutation des réfugiés : veillant à l'ordre, canalisant véhicules et personnes.M.M Nasale, Poli Jean, Pharamond Henri, Cochois Alexis et Soutote Mohamed.
24 : Dés 5 h du matin , le couloir aérien vibre des grondements des avions du "pont". Pilotes, mécaniciens, navigateurs, radios, chacun à son poste pendant 9 heures sera en liaison constante avec le sol pour conserver le cap, l'altitude, la vitesse et arriver à l'heure aux 3.500 heures de vol, du groupe Anjou.
25 : Dés 5 h du matin, le couloir aérien vibre des grondements des avions du "pont". Pilotes mécaniciens, navigateurs, radios, chacun à son poste pendant 9 heurre sera en laison constante vers le sol pour conserve le cap, l'altitude, la vitesse et arriver à l'heure à destination. L'adjudant navigateur Kling Jacques (St Mandé-Seine) à bord d'un nord 2.501, 14000 heures de vol du groupe Anjou.
27 : Dés 5 h du mation, le couloir aérien vibre de grondements des avions "du pont".Pilotes, mécaniciens, navigateurs, radios, chacun à son poste pendant 9 heures sera en liaison constante avec le sol pour conserver le cap, l'altitude, la vitesse et arriver à l'heure à destination. Le sergent Gossiaux, pilote à bord d'un nord 2.501 (Lavit de Louagne, Tar et Garonne) 900 heures de vol du groupe Anjou.
28 : Dés 5 h du matin, le couloir aérien vibre des grondements des avions du "pont". Pilotes, mécaniciens, navigateurs, radio,
chacun à son poste pedant 9 heures sera en liaison constante avec le sol pour conserver le cap, l'altitude, la vitesse et arriver à l'heure à destination. Ici l'adjudant mécanicien Haensler, à bord du nord 2.501du groupe Anjou.
29 : Dés 5 h du matin, le couloir aérien vibre des grondements des avions du "pont". Pilotes, mécaniciens, navigateurs, radio,
chacun à son poste pendant 9 heures sera en liaison constante avec le sol pour conserver le cap, l'altitude, la vitesse et arriver à l'heure à destination. Ici le capitaine Geise, pilote, chef de bord du nord 2.501 (Grenoble) aux 3.600 heures de vol du groupe Anjou.
30 : Dés 5 h du matin, le couloir aérien vibre des grondements des avions du "pont". Pilotes, mécaniciens, navigateurs, radio,
chacun à son poste pendant 9 heures sera en liaison constante avec le sol pour conserver le cap, l'altitude, la vitesse et arriver à l'heure à destination. Ici l'adjudant mécanicien Pied Serge (Chartres) aux 2.300 heures de vol, du groupe Anjou.
31 : Dés 5 h du matin, le couloir aérien vibre des grondements des avions du "pont". Pilotes, mécaniciens, navigateurs, radio,
chacun à son poste pedant 9 heures sera en liaison constante avec le sol pour conserver le cap, l'altitude, la vitesse et arriver à l'heure à destination. Ici le capitaine navigateur Couty Raymon à bord du nord 2.501 (Paris) aux 1.200 heures de vol, du groupe Anjou.
28 : Dés 5 h du matin, le couloir aérien vibre des grondements des avions du "pont". Pilotes, mécaniciens, navigateurs, radio,
chacun à son poste pedant 9 heures sera en liaison constante avec le sol pour conserver le cap, l'altitude, la vitesse et arriver à l'heure à destination. Ici le sergent-chef radio Moreau Bernard (Lemans) aux 2.800 heures de vol, à bord d'un nord 2.501 du groupe Anjou.
33 : A bord d'un nord 2.501 de l'armée de l'air, les réfugiés avec bagage, et leurs enfants font route vers Saigon.
34 : A bord d'un avion qui les mène vers Saigon, un jeune Viêtnamien songe, peut être à son nouvel avenir, à ses côtés, un vieux commerçant imassible, s'interresse aux cours du riz.
35 : A bord d'un avion volant vers Saigon avec à sa cargaison de réfugiés, le charmant sourire d'une jeune fille dédié peut être à une tendre aventure, l'insouciance des enfants dormant ou souriant et la peine des vieux.
Clichés R51 à R56 : avions américains de la CAT (Civil Air Transport).
Catégories
| Guerre d'Indochine (1945-1956) |
| SCA [service cinématographique des armées] (1946-1961) |
| Population civile et vie civile |
| Réfugié |
| Armée populaire vietnamienne (guerre d'Indochine) |
Mots clés
Informations techniques
| Nombre de clichés | 56 |
|---|---|
| Procédé original | Négatif |
| Support d'origine | Nitrate |
| Couleur | Noir et blanc |
Propriétés
| Référence | SC 54-142 |
|---|---|
| Date de début | 22/08/1954 |
| Date de fin | 22/08/1954 |
| Date de prise de vue | 22/08/1954 |
| Photographe(s) | Fernand Jentile - |
| Date | 22/08/1954 |
| Lieu(x) | Cochinchine - Indochine française - Saigon (Ho Chi Minh Ville) - Tan Son Nhut - |