Le médecin principal Uffolz, directeur du 35e Corps s'entretient avec un aumônier militaire et un capitaine. Au centre de secours d'Offemont (Haut-Rhin), un blessé pénètre dans un abri. Dans la tranchée de Quennevières (Oise), deux brancardiers portent un blessé qui est bientôt chargé sur une brouette porte-brancard puis transbordé dans un véhicule sanitaire qui démarre avec pour destination une ambulance. Ces dernières peuvent être aussi bien aménagées dans un château (château de Vivrières, ambulance de Couvres dans l'Aisne), que dans des granges de villages. Ainsi l'ambulance de Saint-Pierre-Aigle (Aisne) est installée au sein d'une ferme. L'ambulance de Cerisy (Somme), quant à elle, se compose d'un hangar et d'appentis portant l'inscription "Ambulance 12/22". Les rues de ces villages servent de lieux de villégiature aux convalescents.

Note : métrage d'origine inconnu ; métrage conservé 240,7 m.
1+7 cartons en français.
Date supposée : fin 1916.
Film classé dans la Liste complémentaire "Films du service de santé : organisation du service de santé." dans le catalogue " Les films militaires français de la première guerre mondiale ", Françoise Lemaire, 1997.