VIDÉO
Le Service de Santé en France.
L’activité du service de santé sur le front français : le personnel, l’évacuation des blessés, l’ambulance, les soins, l’hommage aux blessés.
« Le personnel du service sanitaire monte en ligne ». Des infirmiers d’hôpitaux ou d’ambulance, portant capote, casque Adrian, et brassard avec la croix, marchent dans les rues d’un village. Ils partent pour les premières lignes du front. Certains d’entre eux tirent des charrettes. Ils sont accompagnés de soldats qui ne font pas partie du service de santé. Ensuite, des chevaux tirent des ambulances non motorisées. Un soldat à cheval passe à côté d’un médecin officier et d’un aumônier en soutane. Un médecin général inspecteur marche face à la caméra. Derrière lui, plusieurs infirmiers d’ambulance ou d’hôpitaux se tiennent alignés. Il remet une médaille à un médecin-officier. D’autres médecins gradés assistent également à la cérémonie.
« Les brancardiers évacuent les blessés de la tranchée ». Des blessés marchent dans les tranchées jusqu’au poste du service de santé. Certains ont des bandages visibles, d’autres marchent à l’aide de béquilles. Un officier les accueille, aidé par deux autres infirmiers. Des brancardiers ou infirmiers acheminent un blessé allongé sur une civière.
« Départ pour l’ambulance. » Des blessés bandés aux yeux, victimes du gaz moutarde ou hypérite, marchent dans les rues d’un village (1). Certains sont soutenus par des infirmiers d’ambulance. Des infirmiers hissent un blessé allongé dans un brancard dans une ambulance.
Un panorama présente « un hôpital au front », fait de plusieurs baraquements. Des soldats tirent un blessé d’une ambulance. Ils ne portent pas le brassard du service de santé, mais un officier a des pattes de collet portant l’insigne de la section des infirmiers. Le blessé, portant un brassard noir du deuil, est conscient. Des soldats et des médecins passent devant deux ambulances motorisées garées. Puis, des soldats sont regroupés à l’intérieur de l’hôpital. Des draps sont posés sur un lit au premier plan.
Les soins sont dispensés aux blessés, comme l’attestent les pansements et les opérations chirugicales. Tout d’abord, « un pansement » : un patient, la tête entourée d’un bandage, se repose sur un lit. Au-dessus de son lit, une croix de guerre est suspendue. Puis deux photographies, incluses au montage, montrent trois officiers se tenant debout devant une tente ouverte au-dessus de laquelle est suspendue un panneau comportant l’indication « Ambulance chirurgicale automobile no 7 » ; et des médecins en blouse blanche, secondés par des infirmières, opèrant un blessé, anesthésié à l’aide d’un masque d’Ombredanne.
Les soldats blessés ont droit à la considération : c’est la « récompense d’un brave ». Un blessé grave est allongé sur son lit d’hôpital, un bandage autour de la tête, son visage fortement défiguré et un pansement autour du bras. Sur son oreiller est accrochée une croix de guerre. Une médaille de guerre est accrochée au-dessus d’un soldat dont la tête et les deux bras sont recouverts de bandage.
Notes :
1+6 cartons en français.
Film classé dans la « Liste complémentaire : films du service de santé » dans le catalogue « Les films militaires français de la première guerre mondiale », Françoise Lemaire, 1997.
Le film comprend plusieurs images communes à celles du film « L'ambulance automobile chirurgicale n° 7, 1915 - 1918. », référence 14.18 A 1470.
(1) Compte rendu de tournage no 1832 de Fernand Baye, les 17-18/10/1918, à Vouziers (Marne). Le plan des soldats gazés bandés aux yeux est aussi monté dans le film « Les Annales de la guerre n° 83 » (référence 14.18 A 83), dans le film réf. 14.18 A 357. Reportage photographique SPA 64 O de Louis Well.
« Le personnel du service sanitaire monte en ligne ». Des infirmiers d’hôpitaux ou d’ambulance, portant capote, casque Adrian, et brassard avec la croix, marchent dans les rues d’un village. Ils partent pour les premières lignes du front. Certains d’entre eux tirent des charrettes. Ils sont accompagnés de soldats qui ne font pas partie du service de santé. Ensuite, des chevaux tirent des ambulances non motorisées. Un soldat à cheval passe à côté d’un médecin officier et d’un aumônier en soutane. Un médecin général inspecteur marche face à la caméra. Derrière lui, plusieurs infirmiers d’ambulance ou d’hôpitaux se tiennent alignés. Il remet une médaille à un médecin-officier. D’autres médecins gradés assistent également à la cérémonie.
« Les brancardiers évacuent les blessés de la tranchée ». Des blessés marchent dans les tranchées jusqu’au poste du service de santé. Certains ont des bandages visibles, d’autres marchent à l’aide de béquilles. Un officier les accueille, aidé par deux autres infirmiers. Des brancardiers ou infirmiers acheminent un blessé allongé sur une civière.
« Départ pour l’ambulance. » Des blessés bandés aux yeux, victimes du gaz moutarde ou hypérite, marchent dans les rues d’un village (1). Certains sont soutenus par des infirmiers d’ambulance. Des infirmiers hissent un blessé allongé dans un brancard dans une ambulance.
Un panorama présente « un hôpital au front », fait de plusieurs baraquements. Des soldats tirent un blessé d’une ambulance. Ils ne portent pas le brassard du service de santé, mais un officier a des pattes de collet portant l’insigne de la section des infirmiers. Le blessé, portant un brassard noir du deuil, est conscient. Des soldats et des médecins passent devant deux ambulances motorisées garées. Puis, des soldats sont regroupés à l’intérieur de l’hôpital. Des draps sont posés sur un lit au premier plan.
Les soins sont dispensés aux blessés, comme l’attestent les pansements et les opérations chirugicales. Tout d’abord, « un pansement » : un patient, la tête entourée d’un bandage, se repose sur un lit. Au-dessus de son lit, une croix de guerre est suspendue. Puis deux photographies, incluses au montage, montrent trois officiers se tenant debout devant une tente ouverte au-dessus de laquelle est suspendue un panneau comportant l’indication « Ambulance chirurgicale automobile no 7 » ; et des médecins en blouse blanche, secondés par des infirmières, opèrant un blessé, anesthésié à l’aide d’un masque d’Ombredanne.
Les soldats blessés ont droit à la considération : c’est la « récompense d’un brave ». Un blessé grave est allongé sur son lit d’hôpital, un bandage autour de la tête, son visage fortement défiguré et un pansement autour du bras. Sur son oreiller est accrochée une croix de guerre. Une médaille de guerre est accrochée au-dessus d’un soldat dont la tête et les deux bras sont recouverts de bandage.
Notes :
1+6 cartons en français.
Film classé dans la « Liste complémentaire : films du service de santé » dans le catalogue « Les films militaires français de la première guerre mondiale », Françoise Lemaire, 1997.
Le film comprend plusieurs images communes à celles du film « L'ambulance automobile chirurgicale n° 7, 1915 - 1918. », référence 14.18 A 1470.
(1) Compte rendu de tournage no 1832 de Fernand Baye, les 17-18/10/1918, à Vouziers (Marne). Le plan des soldats gazés bandés aux yeux est aussi monté dans le film « Les Annales de la guerre n° 83 » (référence 14.18 A 83), dans le film réf. 14.18 A 357. Reportage photographique SPA 64 O de Louis Well.
Catégories
Informations
| Référence | 14.18 A 886 |
|---|---|
| Durée | 00:06:17 |
| Date de début | 01/01/1917 |
| Date de fin | 31/12/1918 |
| Format d'origine | 35 mm |
| Couleur | Noir et blanc |
| Typologie | Produit monté |
| Origine | SSA (service de santé des armées) |