Mis au point pour et dans les milieux professionnels, le travail à la chaîne apparaît comme une méthode synchronisée des tâches utiles à la fabrication des objets. Les caractéristiques de cette organisation du travail sont présentées à travers divers exemples.

Le travail est découpé en plusieurs tâches, effectuées par des machines adaptées, comme dans cette fabrique de chaussures.
Le montage des réveils montre que la spécialisation constitue un élément important.
Le travail à la chaîne n'interdit pas de fabriquer des objets différents, à condition que les machines soient spécialisées, comme le prouve la confection des vêtements.
La chaîne de fabrication de seaux mécaniques est montrée comme étant plus spectaculaire.
La mise en bouteille rend indispensable l'équilibre des tâches dans le temps, tandis que les opératrices surveillent avec attention l'ouvrage et changent régulièrement de postes afin d'éviter la monotonie.
Le contrôle des matières premières s'effectue invariablement.
Ce ne sont pas seulement les objets qui sont acheminés sur tapis d'un opérateur à l'autre, il arrive que les équipes de spécialistes se déplacent à proximité des objets trop volumineux et difficiles à bouger, tels ces remorques ateliers.
Enfin, les "machines transfert" constituent une étape dans l'amélioration du travail à la chaîne en effectuant une série d'opérations en une fois.
Film réalisé sous le patronage du ministère du l'Education nationale, direction de l'enseignement technique, avec le concours des firmes suivsantes : les grands magasins du Printemps, la compagnie Singer, les établissements Japy Frères, la société Cinzano, la manufacture de chaussures Roc à Autun, la faïencerie de Gien, les laboratoires du docteur Debat.
Directeur de production : G. Lasquellec.