VIDÉO
Les Annales de la guerre n°57.
Sur le front franco-britannique".
La bataille fait rage. L'infanterie progresse difficilement en terrain bouleversé, continuellement menacée par les obus ennemis. Pendant ce temps les trains chargés de troupes et de matériels se dirigent vers les Flandres. Une colonne hippomobile traverse un village et à son passage, une jeune femme tend une cigarette aux conducteurs. Des fantassins français et britanniques montent dans des camions pour être convoyés vers le front. L'infanterie et l'artillerie de campagne américaines prennent place parmi les divisions françaises (Méru, Oise, 7-8 avril 1918). Dans la Somme, l'artillerie composée d'obusiers de 220 mm pilonne de façon régulière et ininterrompue les lignes allemandes, tandis qu'un canon de 155 mm GPF (Grande Portée Filloux), tiré par palan en terrain boueux, avance difficilement (Doman-sur-la-Luce, Somme, 7 avril 1918) (1).
"Les escadrilles françaises arrêtent les appareils ennemis devant les lignes alliées".
Une escadrille de modèle britannique Sopwith 1 ½ Strutter s'apprête à décoller. Le moteur d'un Bréguet 14 est mis en marche, décolle, bientôt imité par deux autres appareils (Esquennoy, Oise, 12 avril 1918). Les autos-camions et les mitrailleuses collaborent avec l'aviation. (Les pièces de 75 mm de DCA et les mitrailleuses Hotchkiss font partie de l'arsenal anti-aérien).Un avion allemand Pfalz D III, abattu mais toujours intact, est exposé sur la place de Clermont (Oise, 6 avril 1918). Les aviateurs ennemis faits prisonniers sont conduits à la gare et embarqués dans des wagons sous la garde de gendarmes.
"Un village incendié par le bombardement allemand".
De la fumée blanche s'échappe des habitations du village.
"Le village de Monchel âprement disputé" (Ayencourt-le-Monchal, Somme, 10 avril 1918).
Les ruines d'Ayencourt-le-Monchal témoignent des durs combats dans ce village de la Somme. Les avants-postes français bivouaquent à l'entrée du village. Tandis qu'un groupe de fantassins est à l'affût, embusqué au milieu d'un bois, un soldat aménage un abri en branchage pour se camoufler. Un peu plus loin, une route est jonchée de cadavres allemands suite aux derniers combats. A la fin de la journée, les hommes retournent vers l'arrière.
Notes : Documents officiels de la Section Cinématographique de l'Armée Française.
1+14 cartons en français.
Comptes rendus des opérateurs n°1274, 1277, 1278, 1280, 1285.
(1) Voir rush de l'évolution du 155 GPF tracté par le Latil sur la référence 14.18 A 293.
35mm n&b muet
Le document numérisé ici ne montre pas de cartons.
La bataille fait rage. L'infanterie progresse difficilement en terrain bouleversé, continuellement menacée par les obus ennemis. Pendant ce temps les trains chargés de troupes et de matériels se dirigent vers les Flandres. Une colonne hippomobile traverse un village et à son passage, une jeune femme tend une cigarette aux conducteurs. Des fantassins français et britanniques montent dans des camions pour être convoyés vers le front. L'infanterie et l'artillerie de campagne américaines prennent place parmi les divisions françaises (Méru, Oise, 7-8 avril 1918). Dans la Somme, l'artillerie composée d'obusiers de 220 mm pilonne de façon régulière et ininterrompue les lignes allemandes, tandis qu'un canon de 155 mm GPF (Grande Portée Filloux), tiré par palan en terrain boueux, avance difficilement (Doman-sur-la-Luce, Somme, 7 avril 1918) (1).
"Les escadrilles françaises arrêtent les appareils ennemis devant les lignes alliées".
Une escadrille de modèle britannique Sopwith 1 ½ Strutter s'apprête à décoller. Le moteur d'un Bréguet 14 est mis en marche, décolle, bientôt imité par deux autres appareils (Esquennoy, Oise, 12 avril 1918). Les autos-camions et les mitrailleuses collaborent avec l'aviation. (Les pièces de 75 mm de DCA et les mitrailleuses Hotchkiss font partie de l'arsenal anti-aérien).Un avion allemand Pfalz D III, abattu mais toujours intact, est exposé sur la place de Clermont (Oise, 6 avril 1918). Les aviateurs ennemis faits prisonniers sont conduits à la gare et embarqués dans des wagons sous la garde de gendarmes.
"Un village incendié par le bombardement allemand".
De la fumée blanche s'échappe des habitations du village.
"Le village de Monchel âprement disputé" (Ayencourt-le-Monchal, Somme, 10 avril 1918).
Les ruines d'Ayencourt-le-Monchal témoignent des durs combats dans ce village de la Somme. Les avants-postes français bivouaquent à l'entrée du village. Tandis qu'un groupe de fantassins est à l'affût, embusqué au milieu d'un bois, un soldat aménage un abri en branchage pour se camoufler. Un peu plus loin, une route est jonchée de cadavres allemands suite aux derniers combats. A la fin de la journée, les hommes retournent vers l'arrière.
Notes : Documents officiels de la Section Cinématographique de l'Armée Française.
1+14 cartons en français.
Comptes rendus des opérateurs n°1274, 1277, 1278, 1280, 1285.
(1) Voir rush de l'évolution du 155 GPF tracté par le Latil sur la référence 14.18 A 293.
35mm n&b muet
Le document numérisé ici ne montre pas de cartons.
Catégories
Mots clés
155 mm GPF M-1917
220 mm Schneider L17S
Armée de Terre Etats-Unis
Armée de Terre Grande-Bretagne
Artillerie
Artillerie Etats-Unis
Assaut
Avion de combat Allemagne 14-18
Avion militaire Grande-Bretagne
Boue
Bréguet Br-14
Cadavre
Camion France 14-18
Camouflage
Canon automoteur France
Canon France 14-18
Convoi
DCA
Décollage
Femme
Propriétés
| Réalisateur | SCA-SPCA - |
|---|---|
| Lieu(x) | Ayencourt-le-Monchal - Clermont - Domart-sur-la-Luce - Esquennoy - Montdidier - Oise - Ribécourt-Dreslincourt - Somme - |
Informations
| Référence | 14.18 B 57 |
|---|---|
| Durée | 00:08:04 |
| Date de réalisation | 15/04/1918 |
| Format d'origine | 35 mm |
| Couleur | Noir et blanc |
| Typologie | Rushes |
| Origine | SCA/SPCA Section cinématographique de l'armée |