Attention : Les plaques photographiques de ce reportage ne se trouvent pas dans les collections actuelles de l'ECPAD. L'accès à ces images n'est donc pas possible. Il se peut que des tirages papier d'époque soient disponibles dans les albums de La Contemporaine (ex-BDIC), située à Nanterre.
Les renseignements ci-dessous sont donc donnés à titre informatif et historique.

D'août 1918 à mars 1920, le "bataillon colonial sibérien", formé de deux compagnies du 16e régiment d'infanterie coloniale stationnées en Chine, de deux compagnies du 9e RIC, et d'une compagnie du 3e régiment de zouaves, prélevées sur les troupes d'Indochine, parcourt la Sibérie de Vladivostok à l'Oural. Ce bataillon vient s'ajouter aux contingents tchèques, britanniques, américains et japonais venus aider les Russes blancs dans leur lutte contre les Bolcheviks. Le contrôle du Transsibérien est l'enjeu principal des combats. Un autre objectif est d'établir une liaison avec l'armée blanche de l'Ouest, à Arkhangelsk, où les Alliés ont également envoyé des troupes.

Le reportage montre le transport des troupes françaises sur l'océan pacifique, le débarquement à Vladivostok, les villes de Kharbin et Achitsé, à la frontière de la Sibérie et de la Mandchourie, puis des vues prises le long du Transsibérien jusqu'à Iskoutsk et Omsk, où réside la mission militaire française.
Plaques manquantes. Des vues d'Omsk et d'Irkoutsk et de Mandchourie sont disponibles sur les reportages suivants SPA 25, 26, 27 et 33. Voir également les films suivants :

- plaque manquante 724 (débarquement de troupes françaises à Vladivostok) : voir film 14.18 A 1232, TC 13:15.
- plaque manquante 735 (cheminée d'usine utilisée par la radio française, à Omsk) : voir film 14.18 A 1231, TC 03:07.