Visitons le Richelieu".

Le cuirassé "Richelieu" est l'un des fleurons de la Marine française. Il a quitté Brest en juin 1940 pour rejoindre Dakar. Il se rend à New York au début de l'année 1943 pour y être équipé, avant de partir dans la Mer du Nord en août. Il participe en mars 1944 aux principales opérations contre les forces japonaises, avant de retourner à Casablanca et de revenir en Extrême-Orient en 1945, d'où il ne repart qu'à la fin des hostilités.
Le document présente les différentes salles du bâtiment : la salle des machines, dans laquelle les techniciens entretiennent et surveillent le matériel, la centrale électrique, la salle de navigation, des radars et de tir. Un exercice permet d'apprécier les systèmes automatiques de pointage des canons de 380 millimètres qui peuvent envoyer une charge de 900 kilos à 40 kilomètres toutes les 50 secondes.

"Service armé".

Les Armées se fournissent en chevaux de 3 ans dans les haras civils. Même avec la motorisation, le cheval a prouvé son utilité dans des endroits où les camions ne passent pas (par exemple dans les Alpes, au cours de la campagne d'Italie).
Il reste aussi un élément du prestige des Armées, dans le Cadre noir et dans la Garde républicaine, par exemple.

"Les enfants d'Icare : l'aéromodélisme à l'école."

Certains instituteurs se sont spécialisés dans l'enseignement pré-aéronautique et enseignent à leurs élèves les matières qui concernent l'aviation. Ils leur apprennent aussi à fabriquer des planeurs en modèle réduit.
Des élèves qui cherchent à se spécialiser dans l'aéromodélisme peuvent suivre des cours pratiques et théoriques dans une école (non nommée) particulière. A l'issue des deux ans de formation, ils peuvent trouver un emploi dans les clubs de vol à voile comme techniciens de maintenance et dans l'armée de l'Air en tant que mécaniciens.
Le dernier reportage est en fait une publicité pour une école civile formant les techniciens de maintenance de l'aéronautique, recrutables pour former les équipages et les techniciens de l'armée de l'Air.