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Mars 1918, le début des offensives de Ludendorff

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Découvrez au travers de ces 30 clichés, le début des offensives Ludendorff.


Les derniers instants de répit.

Au début du mois de mars 1918, le front semble encore calme. Les troupes allemandes renforcent leur dispositif dans le plus grand secret. Pendant ce temps, les Alliés observent et attendent le déclenchement de l’offensive qui apparaît comme imminente.

Bombardements sur Paris.

Au même moment, Paris connaît une nouvelle forme de bombardements en plus de ceux menés par les bombardiers Gothas. Les Parisiens assistent à la chute des premiers obus tirés par l’artillerie à longue portée installée dans la forêt de Saint-Gobain dans l’Aisne. Le 29 mars, un obus frappe l’église Saint-Gervais, tuant et blessant une centaine de personnes.

Les troupes américaines au contact.

En Lorraine et dans l’Aisne, les troupes américaines occupent une part du front. Les Sammies de la 42e division américaine défendent le secteur de Baccarat, aux côtés des Français et des Italiens.

L’opération Michael

Le 21 mars 1918, l’opération Michael est déclenchée. Après une préparation d’artillerie, les troupes allemandes s’élancent sur le front allié enfonçant les rangs britanniques. En dix jours, les troupes allemandes s’emparent des principales localités de la Somme, jetant civils et militaires sur les routes. Les renforts britanniques et français affluent de toute part pour contenir l’avancée allemande, qui, le 27 mars, s’empare de Montdidier et s’ouvre une route vers Paris.

Mars 1918 : les annales de la guerre n°55

« La ruée allemande sur le front occidental »
L’état-major allemand a déclenché, le matin du 21 mars 1918, une importante offensive sur le front britannique. Dès le 23 mars, l’aile gauche de l’armée française entre en ligne pour soutenir la 5e armée britannique. Par toutes les voies, les troupes montent vers le front. Dès son arrivée, l’artillerie lourde bombarde les réserves ennemies, tandis que les troupes et les munitions sont dirigées vers l’avant.

« A la soudure franco-britannique » (Oise, 31 mars 1918)
Les réserves anglaises montent à leur tour au front. Les colonnes d’infanterie suivent les convois d’artillerie sur la route de Montdidier près de Moreuil (Somme). Les habitants des régions menacées quittent leur village emportant avec eux tout ce qui peut être transporté. Sur la route du front, les soldats français croisent les nombreux prisonniers allemands capturés lors de la bataille du Plessis-de-Roye (Oise).

« Déclaration du général Pershing au gouvernement allemand »
Le général Pershing, commandant en chef du corps expéditionnaire américain affiche sa volonté de servir aux côtés de l’armée française. Les troupes américaines combattent aux côtés des troupes françaises.

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1918 Mars