PHOTO
Mes laptots tirant à la corde en face Foulé. [légende d'origine]
Les laptots du capitaine Emile Coquibus tirent une corde depuis le village de Foulé. Un laptot était un matelot indigène, parfois piroguier, porteur ou débardeur, à l'ère de la colonisation française, notamment sur le fleuve Niger ou encore dans d'autres ports africains. Les laptots ont parfois été employés comme auxiliaires militaires ou comme miliciens privés au service des commerçants.
Catégories
Afrique occidentale française |
Période antérieure à 1914 |
Troupes coloniales / Troupes de marine |
Mots clés
Informations techniques
Procédé original | Positif, Stéréoscopique |
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Format d'origine | 6x13 |
Support d'origine | Plaque de verre |
Couleur | Noir et blanc |
Orientation | largeur |
Propriétés
Référence | D180-10-27 |
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Date de début | 11/11/1910 |
Date de fin | 11/11/1910 |
Photographe(s) | Emile Marie Coquibus - |
Lieu(x) | Haut-Sénégal et Niger - |
Origine | Coquibus, Emile |
Mention obligatoire | © ECPAD/fonds Émile Coquibus/Émile Coquibus |
Domaine public | Oui |
La photographie est issue du reportage suivant :
Archives photographiques du capitaine Emile Coquibus de l'infanterie coloniale : Haut-Sénégal et Niger (AOF) en 1910 et 1911.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
Archives photographiques d'Emile Coquibus, lieutenant au 4e régiment de tirailleurs sénégalais, constituées lors de sa campagne dans le Haut-Sénégal et le Niger (AOF) en 1909. Le 25 septembre 1909, le lieutenant Emile Coquibus est nommé au grade de capitaine hors cadre.
Les archives photographiques d'Emile Coquibus sont classées en treize reportages qui suivent la chronologie de sa carrière militaire (D180-1 à D180-13). Les sept carnets manuscrits de ses journaux de bords ne sont actuellement pas numérisés. Cependant, une version informatique de trois d'entre eux est communicable sur demande auprès de la cellule des fonds entrés par voie extraordinaire. Le fonds Coquibus comporte également un appareil photographique d'époque, modèle Stéréocycle Leroy, ainsi qu'une collection de magazines dédiés à la pratique de la photographie amateur parus entre 1903 et 1914 (Photo Pêle-Mêle, Photo-Index et Photo-Magazine) conservés au pôle de de conservation et de valorisation des archives. Un inventaire de ces périodiques, communicable sur demande, a été réalisé par madame Justine Paris en 2011.
Les légendes sont celles du photographe. Elles sont transcrites soit d'après les notes manuscrites portées sur les boîtes de plaques de verre d'origine, soit à partir de son journal de bord. En l'absence d'informations et de certitudes sur l'orthographe des localites, les dates et les légendes entre crochets sont des restitutions.
Les archives photographiques d'Emile Coquibus sont classées en treize reportages qui suivent la chronologie de sa carrière militaire (D180-1 à D180-13). Les sept carnets manuscrits de ses journaux de bords ne sont actuellement pas numérisés. Cependant, une version informatique de trois d'entre eux est communicable sur demande auprès de la cellule des fonds entrés par voie extraordinaire. Le fonds Coquibus comporte également un appareil photographique d'époque, modèle Stéréocycle Leroy, ainsi qu'une collection de magazines dédiés à la pratique de la photographie amateur parus entre 1903 et 1914 (Photo Pêle-Mêle, Photo-Index et Photo-Magazine) conservés au pôle de de conservation et de valorisation des archives. Un inventaire de ces périodiques, communicable sur demande, a été réalisé par madame Justine Paris en 2011.
Les légendes sont celles du photographe. Elles sont transcrites soit d'après les notes manuscrites portées sur les boîtes de plaques de verre d'origine, soit à partir de son journal de bord. En l'absence d'informations et de certitudes sur l'orthographe des localites, les dates et les légendes entre crochets sont des restitutions.
Photos du reportage(86)
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Tiguira femme Bella.
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Groupe des bouchers.
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Vue du poste avec Tiaho et Mahamadou.
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Mes deux tortues avec mon boy Béléri.
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Mes deux tortues avec mon boy Béléri.
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Au marché de Dori.
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Au marché de Dori.
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Mossiké avec deux femmes mossikés et deux gargassas assis.
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Monsieur Claquieu et Fatinata au jardin de Diomga.
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Salifou Bala.
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Capitaine Coquibus et Seidou.
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Deux métis et leur mère Gaodio.
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Salifou et Seidou devant arbres.
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Mon convoi devant roche entre Katchirga et Saïtenga.
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Mon convoi après Goundeye.
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Groupe d'indigènes à Kossogo.
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Vue du village de Foulé.