reportage
Mise en batterie de missiles sol-air Hawk et d'un drone de reconnaissance aérienne CL 289 en service dans l'artillerie.
Ce reportage, effectué à l'occasion d'un tournage sur les métiers de l'armée de Terre, est ici consacré aux matériels lourds en service dans certains régiments d'Artillerie.
Il présente et illustre en particulier l'installation d'une batterie de défense antiaérienne de missiles sol-air Hawk, ainsi que du système PIVER (drone de reconnaissance aérienne CL 289).
Planche 01 :
Ph. 02 et 03 : Portraits de groupe de parachutistes du 35e RAP de Tarbes.
Ph. 04 : Equipe technique de tournage de l'ECPA. Le réalisateur Cédric Boisset et le brigadier-chef Debras, caméraman.
Ph. 05 à 15 : Equipe technique et de tournage vidéo ECPA lors d'un tournage sur un simulateur de char Leclerc.
Ph. 16 à 19 : Le simulateur de char Leclerc.
Ph. 21 et 22 : Cédric Boisset, réalisateur, donne les consignes à Franck Debras, caméraman ECPA pour le tournage sur la batterie de missiles Hawk.
Ph. 23 et 24 : Deux affûts de missiles Hawk avant leur mise en batterie.
Ph. 25 à 30 : Les radars d'acquisition des cibles : l'un à impulsions renseignant sur la situation à haute altitude, l'autre, à émission continue, renseignant sur la situation à basse et très basse altitude, dans un rayon de 70 km. Sur la droite, en fond, le radar de direction à basse altitude CWAR.
Ph. 31 et 32 : Un des radars de la batterie.
Ph. 33 et 34 : Le centre de coordination des informations, équipé d'un système d'identification ami-ennemi (IFF). Lorsqu'un objectif a été assigné, le radar de poursuite du peloton (ou illuminateur Doppler à onde continue de 110 km de portée) l'éclaire afin de permettre le calcul des paramètres de tir, et notamment la distance. En cas de brouillage, cette information est fournie par un radar de distance à impulsions, portant à 75 km.
Ph. 35 et 36 : Un des radars de la batterie.
Planche 02 :
Ph. 02 à 12 : Les différents radars de la batterie Hawk et le centre de coordination des informations.
Ph. 13 à 21 : Personnels du régiment d'Artillerie au cœur de la batterie Hawk, dans le centre de contrôle et de coordination des informations. L'identification est obtenue par interrogation électromagnétique automatique ou manuelle (système IFF), et par comparaison entre les paramètres de vol indiqués par les radars et les règles de coordination AIR-ASA que les appareils amis doivent respecter.
La batterie dispose de tous les moyens nécessaires à la conduite des opérations. Elle possède en outre 18 missiles prêts au tir et 18 en conteneurs. L'officier de tir, assisté de quatre opérateurs, dispose d'informations présentées sur des écrans ou des panneaux de situation. Un calculateur facilite l'évaluation de la menace et fournit une aide à la décision pour l'équipe de tir.
Ph. 22 à 36 : Mise en place des missiles sol-air d'une batterie Hawk à l'aide d'un petit engin de transport chenillé vers un affût.
Planche 03 :
Ph. 02 à 23 : Mise en place des missiles sol-air d'une batterie Hawk à l'aide d'un petit engin de transport chenillé vers un affût, sous le regard de l'équipe de tournage de l'ECPA.
Ph. 24 à 27 : Trois missiles sol-air Hawk en position de tir sur un affût.
Ph. 29 à 36 : Deux militaires en configuration opérationnelle de tir sur système Manpads (système d'armes sol-air à courte portée Mistral). L'arme est servie par un chef de pièce et un pointeur tireur, et comprend la munition Mistral dans son tube de transport et de lancement, le trépied et les équipements de mise en oeuvre.
Planche 04 :
Ph. 02 à 16 : Drone de reconnaissance aérienne CL 289 (système PIVER) sur sa rampe de lancement (shelter R23 sur camion TRM 10 000) en situation de tir. Le drone est composé de deux parties: le missile embarquant les caméras et le booster qui sert à élever la vitesse du drone à 750 km/h en deux secondes après son lancement du camion-largueur. Le booster est éjecté et la durée de la mission de reconnaissance n'excède pas 30 minutes et 400 km.
Le drone embarque deux caméras : une caméra noir et blanc et une caméra infra-rouge (capacité de reconnaissance = 100 km du site). A 300 mètres d'altitude, une bande de 1,8 km est photographiée.
Ph. 17 à 23 : Portraits d'un artilleur en train d'effectuer une visée.
Ph. 24 à 36 : Interprétation photographique sur table de vision lumineuse des clichés ramenés par le drone après une mission de reconnaissance aérienne.
Planche 05 :
Ph. 01 à 08 : Reconditionnement du drone de reconnaissance CL 289. Après son retour de mission, les films noir et blanc et infra-rouges sont retirés du missile, les ailerons sont démontés ainsi que le parachute et les coussinets. Puis, à l'aide d'un palan, le drone est mis sur un camion TRM-10000 aménagé pour aller faire les vérifications des paramètres mécaniques et électriques dans le shelter.
5 Planches
Il présente et illustre en particulier l'installation d'une batterie de défense antiaérienne de missiles sol-air Hawk, ainsi que du système PIVER (drone de reconnaissance aérienne CL 289).
Planche 01 :
Ph. 02 et 03 : Portraits de groupe de parachutistes du 35e RAP de Tarbes.
Ph. 04 : Equipe technique de tournage de l'ECPA. Le réalisateur Cédric Boisset et le brigadier-chef Debras, caméraman.
Ph. 05 à 15 : Equipe technique et de tournage vidéo ECPA lors d'un tournage sur un simulateur de char Leclerc.
Ph. 16 à 19 : Le simulateur de char Leclerc.
Ph. 21 et 22 : Cédric Boisset, réalisateur, donne les consignes à Franck Debras, caméraman ECPA pour le tournage sur la batterie de missiles Hawk.
Ph. 23 et 24 : Deux affûts de missiles Hawk avant leur mise en batterie.
Ph. 25 à 30 : Les radars d'acquisition des cibles : l'un à impulsions renseignant sur la situation à haute altitude, l'autre, à émission continue, renseignant sur la situation à basse et très basse altitude, dans un rayon de 70 km. Sur la droite, en fond, le radar de direction à basse altitude CWAR.
Ph. 31 et 32 : Un des radars de la batterie.
Ph. 33 et 34 : Le centre de coordination des informations, équipé d'un système d'identification ami-ennemi (IFF). Lorsqu'un objectif a été assigné, le radar de poursuite du peloton (ou illuminateur Doppler à onde continue de 110 km de portée) l'éclaire afin de permettre le calcul des paramètres de tir, et notamment la distance. En cas de brouillage, cette information est fournie par un radar de distance à impulsions, portant à 75 km.
Ph. 35 et 36 : Un des radars de la batterie.
Planche 02 :
Ph. 02 à 12 : Les différents radars de la batterie Hawk et le centre de coordination des informations.
Ph. 13 à 21 : Personnels du régiment d'Artillerie au cœur de la batterie Hawk, dans le centre de contrôle et de coordination des informations. L'identification est obtenue par interrogation électromagnétique automatique ou manuelle (système IFF), et par comparaison entre les paramètres de vol indiqués par les radars et les règles de coordination AIR-ASA que les appareils amis doivent respecter.
La batterie dispose de tous les moyens nécessaires à la conduite des opérations. Elle possède en outre 18 missiles prêts au tir et 18 en conteneurs. L'officier de tir, assisté de quatre opérateurs, dispose d'informations présentées sur des écrans ou des panneaux de situation. Un calculateur facilite l'évaluation de la menace et fournit une aide à la décision pour l'équipe de tir.
Ph. 22 à 36 : Mise en place des missiles sol-air d'une batterie Hawk à l'aide d'un petit engin de transport chenillé vers un affût.
Planche 03 :
Ph. 02 à 23 : Mise en place des missiles sol-air d'une batterie Hawk à l'aide d'un petit engin de transport chenillé vers un affût, sous le regard de l'équipe de tournage de l'ECPA.
Ph. 24 à 27 : Trois missiles sol-air Hawk en position de tir sur un affût.
Ph. 29 à 36 : Deux militaires en configuration opérationnelle de tir sur système Manpads (système d'armes sol-air à courte portée Mistral). L'arme est servie par un chef de pièce et un pointeur tireur, et comprend la munition Mistral dans son tube de transport et de lancement, le trépied et les équipements de mise en oeuvre.
Planche 04 :
Ph. 02 à 16 : Drone de reconnaissance aérienne CL 289 (système PIVER) sur sa rampe de lancement (shelter R23 sur camion TRM 10 000) en situation de tir. Le drone est composé de deux parties: le missile embarquant les caméras et le booster qui sert à élever la vitesse du drone à 750 km/h en deux secondes après son lancement du camion-largueur. Le booster est éjecté et la durée de la mission de reconnaissance n'excède pas 30 minutes et 400 km.
Le drone embarque deux caméras : une caméra noir et blanc et une caméra infra-rouge (capacité de reconnaissance = 100 km du site). A 300 mètres d'altitude, une bande de 1,8 km est photographiée.
Ph. 17 à 23 : Portraits d'un artilleur en train d'effectuer une visée.
Ph. 24 à 36 : Interprétation photographique sur table de vision lumineuse des clichés ramenés par le drone après une mission de reconnaissance aérienne.
Planche 05 :
Ph. 01 à 08 : Reconditionnement du drone de reconnaissance CL 289. Après son retour de mission, les films noir et blanc et infra-rouges sont retirés du missile, les ailerons sont démontés ainsi que le parachute et les coussinets. Puis, à l'aide d'un palan, le drone est mis sur un camion TRM-10000 aménagé pour aller faire les vérifications des paramètres mécaniques et électriques dans le shelter.
5 Planches
Catégories
1990-2000 |
ECPA [établissement cinématographique et photographique des armées] (1969-2001) |
Mots clés
Informations techniques
Nombre de clichés | 13 |
---|
Propriétés
Référence | 01 2000 234 |
---|---|
Date de début | 05/06/2000 |
Date de fin | 09/06/2000 |
Date de prise de vue | 07/06/2000 |
Photographe(s) | Alban Battestini - |
Date | 07/06/2000 |
Lieu(x) | Loiret - Orléans - |
Personnes représentées | Debras, Franck |