VIDÉO
L'hôpital maritime de Sidi-Abdallah.
Description non finalisée (document en cours de traitement et d’analyse).
-Monsieur le médecin de 1re classe Ducourneau passe en visite les patients passés en salle de chirurgie. Un personnel prend la tension d'un opéré. Les repas du midi sont distribués aux malades.
Au bureau des entrées, un Tunisien fait admettre sa petite fille à l'hôpital.
- Reportage au centre de physiothérapie de Sidi Yaya. Des femmes et leurs enfants sont installés en salle d'attente avant la vaccination (BCG) sur les petites filles. Au moment de la piqûre, une infirmière tient les fillettes en pleurs. Puis un docteur observe les réactions dermatologiques de certains patients suite au vaccin (cutiréaction, intradermo-réaction).
- La journée des visites et le jeudi. A l'entrée de l'hôpital, deux visiteurs par malade sont autorisés afin d'éviter une foule trop importante. Les visiteurs sont fouillés pour empêcher l'entrée de denrées nocives ou contre-indiquées pour les patients. Entrée des visiteurs, plan sur le bâtiment de la direction.
- Vues sur le registre des entrées et des sorties. Aux pages du 10 et du 24 février, beaucoup de Tunisiens ont été admis. Le nombre de malades civils tunisiens en traitement semble largement supérieur à celui des militaires et des marins français. En vertu des conventions franco-tunisiennes, l'hôpital maritime de Sidi- Abdallah reçoit des malades tunisiens.
Légende de l'opérateur : " Aucun Tunisien n'a été fait sortant contre son gré. Après le 8 février 1958, les Tunisiens ont été admis à l'hôpital dans les mêmes conditions que précédemment".
Note :
Dans le dossier papier de l'ACT 5865, communiqué de la direction du service de santé militaire français en Tunisie.
-Monsieur le médecin de 1re classe Ducourneau passe en visite les patients passés en salle de chirurgie. Un personnel prend la tension d'un opéré. Les repas du midi sont distribués aux malades.
Au bureau des entrées, un Tunisien fait admettre sa petite fille à l'hôpital.
- Reportage au centre de physiothérapie de Sidi Yaya. Des femmes et leurs enfants sont installés en salle d'attente avant la vaccination (BCG) sur les petites filles. Au moment de la piqûre, une infirmière tient les fillettes en pleurs. Puis un docteur observe les réactions dermatologiques de certains patients suite au vaccin (cutiréaction, intradermo-réaction).
- La journée des visites et le jeudi. A l'entrée de l'hôpital, deux visiteurs par malade sont autorisés afin d'éviter une foule trop importante. Les visiteurs sont fouillés pour empêcher l'entrée de denrées nocives ou contre-indiquées pour les patients. Entrée des visiteurs, plan sur le bâtiment de la direction.
- Vues sur le registre des entrées et des sorties. Aux pages du 10 et du 24 février, beaucoup de Tunisiens ont été admis. Le nombre de malades civils tunisiens en traitement semble largement supérieur à celui des militaires et des marins français. En vertu des conventions franco-tunisiennes, l'hôpital maritime de Sidi- Abdallah reçoit des malades tunisiens.
Légende de l'opérateur : " Aucun Tunisien n'a été fait sortant contre son gré. Après le 8 février 1958, les Tunisiens ont été admis à l'hôpital dans les mêmes conditions que précédemment".
Note :
Dans le dossier papier de l'ACT 5865, communiqué de la direction du service de santé militaire français en Tunisie.
Sélectionnez l'extrait de votre choix à l'aide des curseurs du lecteur vidéo
{{from_format}} - {{to_format}}
Durée: {{duration_format}}
Catégories
Marine nationale |
Tunisie (images de 1947 à 1962) |
SCA [service cinématographique des armées] (1946-1961) |
Structure médicale fixe française depuis 1945 |
Population civile et vie civile |
Informations
Référence | ACT 5835 |
---|---|
Durée | 00:06:25 |
Date de réalisation | 27/02/1958 |
Format d'origine | 35 mm |
Couleur | Noir et blanc |
Origine | SCA/Tunisie (service cinématographique des armées en Tunisie) |