VIDÉO
MISAB détachement du Gabon.
Description non finalisée (document en cours de traitement et d’analyse).
[Accueil du détachement gabonais à l'état-major MISAB (mission interafricaine de surveillance des accords de Bangui) sud].
Un officier français fait un briefing sur la future zone de responsabilité du détachement gabonais, le 1er arrondissement.
[Reconnaissance sur le terrain des limites de la zone de responsabilité].
Le détachement gabonais reconnaît les limites de sa zone de responsabilité par rapport à la carte d'état-major. Le chef de détachement insiste sur les points dangereux. Il fait remarquer à ses cadres la nationalité des zones de responsabilités limitrophes.
[Le chef du détachement gabonais remercie le capitaine, commandant la 4e compagnie pour la bonne collaboration].
[Une patrouille franco-gabonaise dans les rues du 1er arrondissement de Bangui].
La patrouille a de bons contacts avec la population locale. Ils s'arrêtent pour parler avec différents commerçants.
[Interview du général Nilic sur la mission de la MISAB].
La mission de la MISAB est difficile et compliquée, mais elle est faisable si tous les interlocuteurs sont animés d'un désir de paix. Il n'entrevoit pas de difficultés majeures, si ce ne sont celles posées à toute mission de cet acabit. La population accueille avec enthousiasme la MISAB, car elle a compris que la MISAB travaillait à son profit. Grâce aux troupes françaises, la MISAB a pris en compte l'environnement et peut mener à bien sa mission.
[Conférence de presse du général NKilic].
La relève des forces françaises par la MISAB est terminée. La transition s'est faite dans de bonnes conditions dûes à la bonne entente entre les troupes françaises et africaines.
[Interview du capitaine, commandant la 4e compagnie].
Deux jours ont été consacrés à l'installation et à la reconnaissance sur le terrain. La reconnaissance du terrain a été prise en compte par les chefs de section et de groupe.Le terrain est parfaitement connu. Il n'y a pas eu de passation de consignes, puisque la mission des troupes françaises n'est pas la même que celle de la MISAB.
[Le Poste de commandement gabonais].
Un cadre de l'armée gabonaise instruit un subordonné sur la mission de la journée.
[L'état-major de la MISAB].
L'état-major de la MISAB s'est installé dans l'ancien ministère des Transports centrafricain. La MISAB est prête à intervenir, avec ses personnels et ses véhicules. L'ensemble du personnel s'est rassemblé dans la cour pour la photographie traditionnelle.
[Accueil du détachement gabonais à l'état-major MISAB (mission interafricaine de surveillance des accords de Bangui) sud].
Un officier français fait un briefing sur la future zone de responsabilité du détachement gabonais, le 1er arrondissement.
[Reconnaissance sur le terrain des limites de la zone de responsabilité].
Le détachement gabonais reconnaît les limites de sa zone de responsabilité par rapport à la carte d'état-major. Le chef de détachement insiste sur les points dangereux. Il fait remarquer à ses cadres la nationalité des zones de responsabilités limitrophes.
[Le chef du détachement gabonais remercie le capitaine, commandant la 4e compagnie pour la bonne collaboration].
[Une patrouille franco-gabonaise dans les rues du 1er arrondissement de Bangui].
La patrouille a de bons contacts avec la population locale. Ils s'arrêtent pour parler avec différents commerçants.
[Interview du général Nilic sur la mission de la MISAB].
La mission de la MISAB est difficile et compliquée, mais elle est faisable si tous les interlocuteurs sont animés d'un désir de paix. Il n'entrevoit pas de difficultés majeures, si ce ne sont celles posées à toute mission de cet acabit. La population accueille avec enthousiasme la MISAB, car elle a compris que la MISAB travaillait à son profit. Grâce aux troupes françaises, la MISAB a pris en compte l'environnement et peut mener à bien sa mission.
[Conférence de presse du général NKilic].
La relève des forces françaises par la MISAB est terminée. La transition s'est faite dans de bonnes conditions dûes à la bonne entente entre les troupes françaises et africaines.
[Interview du capitaine, commandant la 4e compagnie].
Deux jours ont été consacrés à l'installation et à la reconnaissance sur le terrain. La reconnaissance du terrain a été prise en compte par les chefs de section et de groupe.Le terrain est parfaitement connu. Il n'y a pas eu de passation de consignes, puisque la mission des troupes françaises n'est pas la même que celle de la MISAB.
[Le Poste de commandement gabonais].
Un cadre de l'armée gabonaise instruit un subordonné sur la mission de la journée.
[L'état-major de la MISAB].
L'état-major de la MISAB s'est installé dans l'ancien ministère des Transports centrafricain. La MISAB est prête à intervenir, avec ses personnels et ses véhicules. L'ensemble du personnel s'est rassemblé dans la cour pour la photographie traditionnelle.
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Catégories
Centrafrique [République centrafricaine (RCA)] (Almandin 1996-1997) |
ECPA [établissement cinématographique et photographique des armées] (1969-2001) |
Propriétés
Lieu(x) | Bangui - République centrafricaine - |
---|---|
Personnes représentées | Niang, Talla - Nkilic |
Informations
Référence | R 97113 V |
---|---|
Durée | 00:23:20 |
Date de réalisation | 01/01/1997 |
Format d'origine | Betacam SP |
Couleur | Couleur |
Origine | ECPA |