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Alger, 14 mars 1920, "Boniment" avant la course qu'il a gagné. [légende d'origine]

Photographe(s) : Inconnu



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Informations techniques

Procédé original Tirage
Format d'origine 5x7
Support d'origine Papier contrecollé sur carton
Couleur Monochrome
Orientation portrait

Propriétés

Référence D0140-001-001-0048
Date de début 14/03/1920
Date de fin 14/03/1920
Photographe(s) Inconnu -
Lieu(x) Alger -
Origine Mesple, Henri André
Mention obligatoire © ECPAD/fonds André Mesple/auteur inconnu

La photographie est issue du reportage suivant :

Portraits du général Henri André Mesple (1863-1935) durant sa carrière de cavalerie de 1879 à 1934.

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Description du reportage

Cette notice documentaire décrit des photographies des promotions du lycée de la Flèche en 1879 à Saint-Cyr en 1907 ainsi que des portraits réalisés tout au long de la carrière du général André Mesple (1863-1935).

Reçu à Saint-Cyr en 1883, André Mesple épouse la fille d'Hector Malot, Lucie, le 5 octobre 1892 à Fontenay-sous-Bois. De 1892 à 1897, il est lieutenant instructeur à Saint-Cyr, puis capitaine au 4e régiment de cuirassiers à Cambrai de 1897 à 1899. Il entre à l'école de guerre en 1900, tout d'abord à l'état-major du général Burnez, à Melun (1901-1903), puis à celui du ministre de la guerre Adolphe Messimy (1904-1906). De 1906 à 1908, il commande à Saint-Cyr le premier escadron de France, pour devenir ensuite professeur du cours de cavalerie à l'école supérieure de guerre. En 1913, il est promu colonel du 8e régiment de cuirassiers à Tours. Après la bataille d'Artois (Neuville-Saint-Vaast) en mai 1915, il est nommé au commandement d'une brigade de spahis. Placé à la tête de la 53e division, il la quitte en 1917 pour prendre le commandement de la 6e division de cavalerie. En mars 1919, nommé divisionnaire, il prend le commandement de la cavalerie d'Algérie qu'il quittera en 1921 pour la 8e division d'infanterie au Mans. Enfin, il est placé à la tête de la 1re division de cavalerie de Paris, l'un des commandements les plus enviés de la cavalerie française. Commandeur de la légion d'honneur, titulaire de la croix de guerre, avec trois citations à l'ordre de l'armée, et de la croix de guerre belge, il prend sa retraite en 1925 et se retire à Versailles où il décède en 1935.

Photos du reportage(51)