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Exposition coloniale Paris. [légende d'origine]
Catégories
Entre-deux-guerres (1919-1939) |
Exposition coloniale internationale |
Population civile et vie civile |
Expositions internationales et coloniales |
Mots clés
Informations techniques
Procédé original | Stéréocospique |
---|---|
Support d'origine | Plaque de verre |
Couleur | Noir et blanc |
Propriétés
Référence | D170-7-4 |
---|---|
Date de début | 01/05/1931 |
Date de fin | 30/11/1931 |
Photographe(s) | Gérard, Marie-Georges - |
Lieu(x) | Paris - Paris-Ile-de-France - |
Origine | Gérard, Marie-Georges |
Mention obligatoire | © Marie-Georges Gérard/ECPAD/Défense |
La photographie est issue du reportage suivant :
La ville de Verdun en 1918.
Voir la notice du reportageDescription du reportage
La ville de Verdun en 1918.
En 1983, le mari de Mme Lavigne découvre dans une déchetterie à Perthes (Haute-Marne) des plaques de verre datant du début du XXe siècle, la plupart rangées dans leurs boîtes d'origine et en bon état général. A partir des légendes, parfois écrites à la main sur les plaques, et de recherches personnelles, Mme Lavigne identifie le photographe, au nom de Marie-Georges Gérard, clerc de notaire, né en 1870 dans la Meuse. Après une instruction militaire au sein de différents bataillons d'infanterie de forteresse, en 1910, le lieutenant Gérard est classé au 5e régiment d'artillerie à pied à Verdun. Pendant toute la durée de la Première Guerre mondiale, il est affecté à l'Etat-major particulier de l'artillerie, en qualité de cadre des ouvriers militaires de la caserne de Reffye au sein de l'atelier de construction de Tarbes (Hautes-Pyrénées). Nommé au grade de capitaine de territoriale en 1918, il est démobilisé en février 1919. Eloigné du front en raison de son affectation, Marie-Georges Gérard retourne dans la Meuse à la fin du conflit pour reconnaître les lieux qui lui sont familiers. Ses photographies datées de 1918-1919 illustrent en quelque sorte les prémices du tourisme des lieux de guerre qui commence à se développer dès 1917.
Le fonds est classé en dix reportages thématiques et chronologiques (D170-1 à D170-10) qui rassemblent les photographies les plus intéressantes. Les autres négatifs sont également conservés et consultables sur rendez-vous. Pour toute demande, s'adresser au bureau des fonds privés.
Les légendes suivantes sont indicatives et doivent faire l'objet d'un enrichissement documentaire:
D170-1-1 [l'Evêché et le Vieux Moulin]
D170-1-2 [Perret ?] et Basinet [aumonier]
D170-1-3 Verdun, rue St-Pierre
D170-1-4 Verdun, rue St-Pierre
D170-1-5 Verdun, maison Billet, rue de la Digue
D170-1-6 Gare de Verdun 1918
D170-1-7 Verdun [panneau " Headquarters 816th Pioneer Infantry"]
D170-1-8 Verdun, de la maison rue D'Anthouard
D170-1-9 Verdun [monument 1870]
D170-1-10 Verdun, Citadelle, Perret [?]
D170-1-11 Verdun 1918 [rue Mazel ? - avec automobile américaine]
D170-1-12 Verdun
D170-1-13 Verdun 1918 [quai République ?]
D170-1-14 Verdun, évêché cour
D170-1-15 [cathédrale de Verdun]
D170-1-16 [Verdun ?]
D170-1-17 Verdun, notre salle à manger
D170-1-18 [ville détruite - Verdun ?]
D170-1-19 [ville détruite - Verdun ?]
D170-1-20 [ville détruite - Verdun ?]
D170-1-21 [ville détruite - Verdun ?]
D170-1-22 [ville détruite - Verdun ?]
D170-1-23 [ville détruite - Verdun ?]
En 1983, le mari de Mme Lavigne découvre dans une déchetterie à Perthes (Haute-Marne) des plaques de verre datant du début du XXe siècle, la plupart rangées dans leurs boîtes d'origine et en bon état général. A partir des légendes, parfois écrites à la main sur les plaques, et de recherches personnelles, Mme Lavigne identifie le photographe, au nom de Marie-Georges Gérard, clerc de notaire, né en 1870 dans la Meuse. Après une instruction militaire au sein de différents bataillons d'infanterie de forteresse, en 1910, le lieutenant Gérard est classé au 5e régiment d'artillerie à pied à Verdun. Pendant toute la durée de la Première Guerre mondiale, il est affecté à l'Etat-major particulier de l'artillerie, en qualité de cadre des ouvriers militaires de la caserne de Reffye au sein de l'atelier de construction de Tarbes (Hautes-Pyrénées). Nommé au grade de capitaine de territoriale en 1918, il est démobilisé en février 1919. Eloigné du front en raison de son affectation, Marie-Georges Gérard retourne dans la Meuse à la fin du conflit pour reconnaître les lieux qui lui sont familiers. Ses photographies datées de 1918-1919 illustrent en quelque sorte les prémices du tourisme des lieux de guerre qui commence à se développer dès 1917.
Le fonds est classé en dix reportages thématiques et chronologiques (D170-1 à D170-10) qui rassemblent les photographies les plus intéressantes. Les autres négatifs sont également conservés et consultables sur rendez-vous. Pour toute demande, s'adresser au bureau des fonds privés.
Les légendes suivantes sont indicatives et doivent faire l'objet d'un enrichissement documentaire:
D170-1-1 [l'Evêché et le Vieux Moulin]
D170-1-2 [Perret ?] et Basinet [aumonier]
D170-1-3 Verdun, rue St-Pierre
D170-1-4 Verdun, rue St-Pierre
D170-1-5 Verdun, maison Billet, rue de la Digue
D170-1-6 Gare de Verdun 1918
D170-1-7 Verdun [panneau " Headquarters 816th Pioneer Infantry"]
D170-1-8 Verdun, de la maison rue D'Anthouard
D170-1-9 Verdun [monument 1870]
D170-1-10 Verdun, Citadelle, Perret [?]
D170-1-11 Verdun 1918 [rue Mazel ? - avec automobile américaine]
D170-1-12 Verdun
D170-1-13 Verdun 1918 [quai République ?]
D170-1-14 Verdun, évêché cour
D170-1-15 [cathédrale de Verdun]
D170-1-16 [Verdun ?]
D170-1-17 Verdun, notre salle à manger
D170-1-18 [ville détruite - Verdun ?]
D170-1-19 [ville détruite - Verdun ?]
D170-1-20 [ville détruite - Verdun ?]
D170-1-21 [ville détruite - Verdun ?]
D170-1-22 [ville détruite - Verdun ?]
D170-1-23 [ville détruite - Verdun ?]