Ce documentaire rappelle, à partir d'images d'archives (peintures, photographies, images animées), l'histoire de la cavalerie, de la bataille de Bouvines à la Guerre Froide : son rôle et l'évolution du matériel employé.

Descriptif détaillé des images :
Du Moyen-Age au XIXe siècle, grâce à ses atouts, la cavalerie montée joue un rôle important (bataille de Bouvines, guerres napoléoniennes). Ses faiblesses conduisent à des défaites (Crécy en 1346, 1870 face à la Prusse).
Durant la Première Guerre Mondiale, face à l'inutilité des charges des cavaliers, le général Estienne défend l'idée des véhicules blindés. Il fonde, avec les commandants Bossut et Vatel [orthographe incertaine], le centre d'instruction du trou d'enfer à Marly. Les FT 17, construits après le char britannique B 56, permettent à la cavalerie de l'emporter durant les offensives, (Berry-au-Bac, Chemin des Dames).
Dans l'entre-deux-guerres, plusieurs modèles de blindés sont construits : Somua S35, chars B et B1 bis, Renault R35 et H39, AMD Laffly. Ils ne résistent pas à l'invasion nazie, dont témoignent les journaux. Seuls les Cadets de Saumur bloquent les Allemands sur la Loire.
Les blindés, après les débarquements alliés, jouent un rôle essentiel dans la libération de la France : M4 Sherman, M10 et automitrailleuse M8.
Une nouvelle génération de blindés est utilisée en Indochine et en Algérie : M5 Stuart, Chaffee, crabe, alligator.
Durant la Guerre Froide, la France développe l'AML et l'AMX 13, auquel on préfère le M47 Patton. Avec l'essor de l'arme nucléaire, le rôle d'appui des blindés modernes, Léopard2, AMX 10RC, AMX 30 se renforce.
Le char Leclerc, à l'essai, annonce la nouvelle génération de blindés.
Versement du centre de documentation du musée des engins blindés (CDEB) de Saumur en 2011.
1 cassette.