VIDÉO
Die Deutsche Wochenschau.
[Des jeunes recrues roumaines s'engagent dans la Waffen-SS].
Dans le village de Siebenbügen, des jeunes hommes quittent leur foyer et leurs parents pour s'engager dans la Waffen-SS. Rassemblés sur la place d'armes, les hommes ne portent pas encore l'uniforme mais sont déjà au garde-à-vous lorsque un officier supérieur roumain et le Gruppenführer Lorenz les passent en revue.
Un défilé est organisé dans la ville, il est composé de soldats d'infanterie allemande et roumaine précédés des volontaires. Le cortège se dirige vers la gare où les hommes montent à bord des trains. La population de Siebenbürgen est venue nombreuse assister au départ de ces hommes.
[Le maréchal de l'air Hermann Goering inspecte des nouvelles versions d'un chasseur allemand et ses chaînes de montage].
Goering est accueilli sur la piste de l'aérodrome par un pilote (Oberleutnant) qui lui présente les nouvelles versions du chasseur allemand Messerschmitt Me-109. Goering interroge les pilotes qui lui présente le cockpit du chasseur.
Il se dirige ensuite vers une chaîne de montage, escorté par des officiers d'état-major de la Lufwaffe et des gardes du corps de la SS mais aussi par des civils vétus de longues vestes en cuir et coiffés d'un feutre. Le maréchal Goering est salué à l'extérieur comme à l'intérieur du bâtiment par les ouvriers qui sont pour la plupart des hommes agés et des jeunes femmes.
Les chaînes de montage des moteurs BMW (moteur du chasseur Me-109) sont tenues par des femmes, le commentaire souligne que Goering tient à les féliciter elles aussi.
Hermann Goering quitte l'usine et l'aérodrome en saluant la foule de son bâton de maréchal, il est assis à la place avant de sa Mercedes cabriolet (immatriculée IA-125521). Ses gardes du corps l'encadrent debouts sur les marches-pieds du cabriolet.
[Des infirmières allemande et des enfants dans un chalet enneigé].
Les infirmières s'occupent des enfants évacués de villes allemandes bombardées. Elles jouent dans la neige, confectionnent des jouets et des poupées pour les fêtes de Noël.
[Les fêtes de Noël au front et en Allemagne].
Le vendredi 24 décembre 1943 est le premier "Noël de jeunes enfants qui pénètrent dans une pièce où sur une table des cadeaux les attendent.
Un train passe devant une petite gare, la porte d'un wagon de marchandises s'ouvre, un sapin de Noël tombe dans la neige près des rails. Le cheminot peut aussi bénéficier d'un sapin pour les fêtes.
Des blessés d'un hopital de la Luftwaffe bénéficient d'un repas pour le 5e Noël de la guerre. Ceux qui ne peuvent se déplacer, reçoivent la visite d'auxiliaires féminine de l'armée de Terre (Nachrichtenhelferien des Heeres) et de infirmières. Leurs bras sont chargés de cadeaux et de gateaux pour les patients.
Cinq auxiliaires féminine de l'armée de Terre atablées vont déguster un repas de fête.
Dans les bunkers du Mur de l'Atlantique, un homme déguisé en Père Noël rend visite à des chasseurs de montagne allemands. Ils dinent à l'intérieur du blockhaus en sa compagnie.
Les fêtes de Noël à bord d'un dragueur de mines de la Kriegsmarine. Un homme admire un bateau dans une bouteille, tandis qu'un père Noël distribue le courrier et des cadeaux aux marins. Les hommes s'échangent des photos de jeunes enfants.
Un quadrimoteur allemand Focke-Wulf FW-200 "Condor" se pose sur un aérodrome, des aviateurs de retour de mission reçoivent à leur descente d'avion une bouteille de Schnaps.
[Le maréchal Rommel inspecte les défenses cotières du Danemark].
Au début du mois de décembre, le Generalfeldmarschall Erwin Rommel est guidé par le général (General der Infanterie) von Hanneken. Les fortifications du mur de l'Atlantique composées de murs antichars de canons lourds sous casemates et de réseaux de barbelés. On reconnait le général (General.Leutnant Gause) et le capitaine (Hauptmann) Lang.
Les généraux et officiers supérieurs allemands assistent à un exercice de combat défensif dans les dunes. Un canon d'assaut (chassis de blindé britannique Matilda et canon allemand antichar) progresse dans le sable.
[Carte du front russe, groupe d'Armées Centre, front de Dniepr].
Des fantassins allemands qui défendent une tranchée surveillent le No Man's Land armés de mitrailleuses MG-42. Soudain, un avion de transport Junkers Ju-52 survole les lignes allemandes. Un officier signale la position allemande à l'aide d'une fusée éclairante. Le Ju-52 passe à nouveau au-dessus des lignes puis larguent le ravitaillement en vivre et munitions. Le sacs sont récupérés par les fantassins.
Un boucher militaire coupe des quartiers de mouton.
Des troupes de réserve allemande montent au front. Selon le commentaire, la boue est apparue plus tradivement cette année. Un chariot tractant un canon de 3,7 cm Pak traverse péniblement un village occupé par l'infanterie. Les routes sont difficilement praticables, un side-car glisse sur une route transformée en rivière de boue, il heurte le caméraman (le choc est coupé au montage). Les voitures de type (Kfz.15) et les semi-chenillés sd.kfz.250/9 (armée d'un canon de 2cm et d'une mitrailleuse) progresse sans problème. Sur l'aile du semi-chenillé, on devine l'insigne de la 24.Panzer.Division.
A un croisement, un fantassin oriente des véhicules dont un tracteur d'artillerie (Sd.kfz.7) et des semi-chenillés Opel "Blitz" Maultier.
[Les combats de rues font rage pour la ville de Nikopol].
Des chasseurs alpins allemands (Gebirgsjäger) rejoignent leur tranchée. Ils portent tous la barbe et sont coiffés de la casquette de montagne (Bergemütze) ornée de l'Edelweiss (symbole des troupes de montagne). Ces hommes sont des vétérans des campagnes de Narvik comme en atteste la médaille commémorative cousue sur la manche gauche de leur uniforme.
Un jeune officier titulaire de la croix de chevalier de la croix de fer vient les encourager avant une attaque.
Perché dans un arbre ou depuis leur tranchée, des observateurs d'artillerie relèvent les coordonnées de tir puis les transmettent par radio aux canons postés à l'arrière.
Un tentative de percée soviétique est repérée puis stoppée grâce à l'action des canons de calibres divers (Nebelwerfer, 8,8 cm, Gebirgsgeschütze) mais aussi le Pak 43 de 8,8 cm.
Profitant de cette préparation d'artillerie, les blindés Panzer III et IV et les chasseurs de chars Jagdpanzer "Elefant" ou "Ferdiand" épaulés par l'infanterie progressent sous la protection de l'artillerie. L'attaque ennemie est brisée (selon le commentaire).
Les carcasses calcinées de quelques blindés soviétiques T-34 permettent au commentateur de souligner l'efficacité des canons allemands. A coté d'un blindé, les corps de l'équipage. (Voir note).
Dans un hopital de campagne, des blessés légers sont soignés.
Le commentaire allemand souligne que le front allemand tient malgré les attaques ennemies. Cet argument est appuyé par les scènes des champs de bataille où l'on croise des cadavres de fantassins soviétiques dans la neige ainsi que des blindés T-70 détruits.
[Carte du sud de l'Italie].
Les combats contre les troupes alliées se concentrent sur les montagnes où les armées allemandes sont retranchées. Une position de DCA installée sur un sommet italien repère des quadrimoteurs américains (B-24). Les canons allemands ouvrent le feu. Le commentaire affirme que les bombardiers alliés larguent leurs bombes sur les villages et la population.
Un avion allié est touché, il tombe, la carcasse d'un bi-moteur (de type P-38 Lightning) est filmée.
De nouvelles positions allemandes sont établies dans les montagnes. Des arbres sont coupés à la scie électrique, des rocs sont dynamités, des barbelés posés par des troupes aéroportées. Les pluis récentes créent de la boue (comme en Russie, selon le commentaire).
Sur un chemin de montagne, des fantassins construisent une route de fortune pour permettre aux ravitaillement d'arriver plus rapidement. Sur ces chemins, seuls les mulets peuvent porter les vivres, le courrier, les munitions et le carburant.
L'artillerie lourde allemande harcèle les troupes alliées qui progressent dans la vallée sous les yeux de parachutistes qui observent l'efficacité des tirs aux jumelles.
Afin de ralentir la progression des armées alliées, des parachutistes allemands dynamitent des ponts de pierre.
[Des hydravions de l'escadrille allemande Küsten-Flieger-Gruppe 406 en poste en Norvège].
Au nord de la Norvège, les hydravions Blohm et Vos Bv-222 effectuent des missions de bombardement et d'escorte.
Un avion survole le port d'attache de l'escadrille, les hommes accueillent l'équipage d'un BV-222 du 2./Kü.Fl.Gr 406 (dont l'emblême représente une baleine et un phare). Les pilote viennent d'effectuer le 1500e mission entre 1939-1943. Le caméraman filme l'emblême du groupe.
Durant la nuit, la neige est tombée, les équipages doivent deblayer la neige tombée sur les avions. Des bombes sont accrochées sous les ailes pour une nouvelle mission d'escorte d'un convoi.
Un hydravion BV-222 décolle, puis rencontre le convoi. Les avions du Küsten-Flieger-Gruppe 406 ne sont pas les seuls, des chasseurs Me-110 et Me-109 escortent également les navires.
Sur les navires, les marins doivent également déblayer le pont que les chutes de neige sont venus recouvrir. Soudain un avion allié est repéré, les armes de bord doivent fonctionner dans le froid norvégien.
Le commentaire affirme que le convoi est arrivé à destination sans subir une seule perte.
"
Note : Ces plans d'une contre-attaque sont certainement tirés d'un autre reportage. En effet, les blindés "Elefant" et l'infanterie progressent sur un terrain sec, le sol n'est pas couvert de neige.
Dans le village de Siebenbügen, des jeunes hommes quittent leur foyer et leurs parents pour s'engager dans la Waffen-SS. Rassemblés sur la place d'armes, les hommes ne portent pas encore l'uniforme mais sont déjà au garde-à-vous lorsque un officier supérieur roumain et le Gruppenführer Lorenz les passent en revue.
Un défilé est organisé dans la ville, il est composé de soldats d'infanterie allemande et roumaine précédés des volontaires. Le cortège se dirige vers la gare où les hommes montent à bord des trains. La population de Siebenbürgen est venue nombreuse assister au départ de ces hommes.
[Le maréchal de l'air Hermann Goering inspecte des nouvelles versions d'un chasseur allemand et ses chaînes de montage].
Goering est accueilli sur la piste de l'aérodrome par un pilote (Oberleutnant) qui lui présente les nouvelles versions du chasseur allemand Messerschmitt Me-109. Goering interroge les pilotes qui lui présente le cockpit du chasseur.
Il se dirige ensuite vers une chaîne de montage, escorté par des officiers d'état-major de la Lufwaffe et des gardes du corps de la SS mais aussi par des civils vétus de longues vestes en cuir et coiffés d'un feutre. Le maréchal Goering est salué à l'extérieur comme à l'intérieur du bâtiment par les ouvriers qui sont pour la plupart des hommes agés et des jeunes femmes.
Les chaînes de montage des moteurs BMW (moteur du chasseur Me-109) sont tenues par des femmes, le commentaire souligne que Goering tient à les féliciter elles aussi.
Hermann Goering quitte l'usine et l'aérodrome en saluant la foule de son bâton de maréchal, il est assis à la place avant de sa Mercedes cabriolet (immatriculée IA-125521). Ses gardes du corps l'encadrent debouts sur les marches-pieds du cabriolet.
[Des infirmières allemande et des enfants dans un chalet enneigé].
Les infirmières s'occupent des enfants évacués de villes allemandes bombardées. Elles jouent dans la neige, confectionnent des jouets et des poupées pour les fêtes de Noël.
[Les fêtes de Noël au front et en Allemagne].
Le vendredi 24 décembre 1943 est le premier "Noël de jeunes enfants qui pénètrent dans une pièce où sur une table des cadeaux les attendent.
Un train passe devant une petite gare, la porte d'un wagon de marchandises s'ouvre, un sapin de Noël tombe dans la neige près des rails. Le cheminot peut aussi bénéficier d'un sapin pour les fêtes.
Des blessés d'un hopital de la Luftwaffe bénéficient d'un repas pour le 5e Noël de la guerre. Ceux qui ne peuvent se déplacer, reçoivent la visite d'auxiliaires féminine de l'armée de Terre (Nachrichtenhelferien des Heeres) et de infirmières. Leurs bras sont chargés de cadeaux et de gateaux pour les patients.
Cinq auxiliaires féminine de l'armée de Terre atablées vont déguster un repas de fête.
Dans les bunkers du Mur de l'Atlantique, un homme déguisé en Père Noël rend visite à des chasseurs de montagne allemands. Ils dinent à l'intérieur du blockhaus en sa compagnie.
Les fêtes de Noël à bord d'un dragueur de mines de la Kriegsmarine. Un homme admire un bateau dans une bouteille, tandis qu'un père Noël distribue le courrier et des cadeaux aux marins. Les hommes s'échangent des photos de jeunes enfants.
Un quadrimoteur allemand Focke-Wulf FW-200 "Condor" se pose sur un aérodrome, des aviateurs de retour de mission reçoivent à leur descente d'avion une bouteille de Schnaps.
[Le maréchal Rommel inspecte les défenses cotières du Danemark].
Au début du mois de décembre, le Generalfeldmarschall Erwin Rommel est guidé par le général (General der Infanterie) von Hanneken. Les fortifications du mur de l'Atlantique composées de murs antichars de canons lourds sous casemates et de réseaux de barbelés. On reconnait le général (General.Leutnant Gause) et le capitaine (Hauptmann) Lang.
Les généraux et officiers supérieurs allemands assistent à un exercice de combat défensif dans les dunes. Un canon d'assaut (chassis de blindé britannique Matilda et canon allemand antichar) progresse dans le sable.
[Carte du front russe, groupe d'Armées Centre, front de Dniepr].
Des fantassins allemands qui défendent une tranchée surveillent le No Man's Land armés de mitrailleuses MG-42. Soudain, un avion de transport Junkers Ju-52 survole les lignes allemandes. Un officier signale la position allemande à l'aide d'une fusée éclairante. Le Ju-52 passe à nouveau au-dessus des lignes puis larguent le ravitaillement en vivre et munitions. Le sacs sont récupérés par les fantassins.
Un boucher militaire coupe des quartiers de mouton.
Des troupes de réserve allemande montent au front. Selon le commentaire, la boue est apparue plus tradivement cette année. Un chariot tractant un canon de 3,7 cm Pak traverse péniblement un village occupé par l'infanterie. Les routes sont difficilement praticables, un side-car glisse sur une route transformée en rivière de boue, il heurte le caméraman (le choc est coupé au montage). Les voitures de type (Kfz.15) et les semi-chenillés sd.kfz.250/9 (armée d'un canon de 2cm et d'une mitrailleuse) progresse sans problème. Sur l'aile du semi-chenillé, on devine l'insigne de la 24.Panzer.Division.
A un croisement, un fantassin oriente des véhicules dont un tracteur d'artillerie (Sd.kfz.7) et des semi-chenillés Opel "Blitz" Maultier.
[Les combats de rues font rage pour la ville de Nikopol].
Des chasseurs alpins allemands (Gebirgsjäger) rejoignent leur tranchée. Ils portent tous la barbe et sont coiffés de la casquette de montagne (Bergemütze) ornée de l'Edelweiss (symbole des troupes de montagne). Ces hommes sont des vétérans des campagnes de Narvik comme en atteste la médaille commémorative cousue sur la manche gauche de leur uniforme.
Un jeune officier titulaire de la croix de chevalier de la croix de fer vient les encourager avant une attaque.
Perché dans un arbre ou depuis leur tranchée, des observateurs d'artillerie relèvent les coordonnées de tir puis les transmettent par radio aux canons postés à l'arrière.
Un tentative de percée soviétique est repérée puis stoppée grâce à l'action des canons de calibres divers (Nebelwerfer, 8,8 cm, Gebirgsgeschütze) mais aussi le Pak 43 de 8,8 cm.
Profitant de cette préparation d'artillerie, les blindés Panzer III et IV et les chasseurs de chars Jagdpanzer "Elefant" ou "Ferdiand" épaulés par l'infanterie progressent sous la protection de l'artillerie. L'attaque ennemie est brisée (selon le commentaire).
Les carcasses calcinées de quelques blindés soviétiques T-34 permettent au commentateur de souligner l'efficacité des canons allemands. A coté d'un blindé, les corps de l'équipage. (Voir note).
Dans un hopital de campagne, des blessés légers sont soignés.
Le commentaire allemand souligne que le front allemand tient malgré les attaques ennemies. Cet argument est appuyé par les scènes des champs de bataille où l'on croise des cadavres de fantassins soviétiques dans la neige ainsi que des blindés T-70 détruits.
[Carte du sud de l'Italie].
Les combats contre les troupes alliées se concentrent sur les montagnes où les armées allemandes sont retranchées. Une position de DCA installée sur un sommet italien repère des quadrimoteurs américains (B-24). Les canons allemands ouvrent le feu. Le commentaire affirme que les bombardiers alliés larguent leurs bombes sur les villages et la population.
Un avion allié est touché, il tombe, la carcasse d'un bi-moteur (de type P-38 Lightning) est filmée.
De nouvelles positions allemandes sont établies dans les montagnes. Des arbres sont coupés à la scie électrique, des rocs sont dynamités, des barbelés posés par des troupes aéroportées. Les pluis récentes créent de la boue (comme en Russie, selon le commentaire).
Sur un chemin de montagne, des fantassins construisent une route de fortune pour permettre aux ravitaillement d'arriver plus rapidement. Sur ces chemins, seuls les mulets peuvent porter les vivres, le courrier, les munitions et le carburant.
L'artillerie lourde allemande harcèle les troupes alliées qui progressent dans la vallée sous les yeux de parachutistes qui observent l'efficacité des tirs aux jumelles.
Afin de ralentir la progression des armées alliées, des parachutistes allemands dynamitent des ponts de pierre.
[Des hydravions de l'escadrille allemande Küsten-Flieger-Gruppe 406 en poste en Norvège].
Au nord de la Norvège, les hydravions Blohm et Vos Bv-222 effectuent des missions de bombardement et d'escorte.
Un avion survole le port d'attache de l'escadrille, les hommes accueillent l'équipage d'un BV-222 du 2./Kü.Fl.Gr 406 (dont l'emblême représente une baleine et un phare). Les pilote viennent d'effectuer le 1500e mission entre 1939-1943. Le caméraman filme l'emblême du groupe.
Durant la nuit, la neige est tombée, les équipages doivent deblayer la neige tombée sur les avions. Des bombes sont accrochées sous les ailes pour une nouvelle mission d'escorte d'un convoi.
Un hydravion BV-222 décolle, puis rencontre le convoi. Les avions du Küsten-Flieger-Gruppe 406 ne sont pas les seuls, des chasseurs Me-110 et Me-109 escortent également les navires.
Sur les navires, les marins doivent également déblayer le pont que les chutes de neige sont venus recouvrir. Soudain un avion allié est repéré, les armes de bord doivent fonctionner dans le froid norvégien.
Le commentaire affirme que le convoi est arrivé à destination sans subir une seule perte.
"
Note : Ces plans d'une contre-attaque sont certainement tirés d'un autre reportage. En effet, les blindés "Elefant" et l'infanterie progressent sur un terrain sec, le sol n'est pas couvert de neige.
Propriétés
Réalisateur | Inconnu - |
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Lieu(x) | Allemagne - Danemark - Italie - Norvège - Roumanie - Siebenbürgen - URSS - |
Personnes représentées | Goering, Hermann - Rommel, Erwin - Gause, Alfred - Lorenz |
Informations
Référence | AA 694 |
---|---|
Durée | 00:18:26 |
Date de réalisation | 08/01/1944 |
Format d'origine | 35 mm |
Couleur | Noir et blanc |
Origine | UFA Universum Film Akten Gesellschaft |