
VIDÉO
Die Deutsche Wochenschau : 8e semaine.
[Course relais dans Berliner Sportpalast transformé en vélodrome].
Devant un public de permissionnaires (selon le commentaire), les cyclistes s'élancent tractés par des cyclomoteurs.
[Un numéro d'équilibriste dans une salle de spectacle].
Un funambule est sa partenaire font leur numéro d'acrobate devant le public. Le commentaire insiste sur le fait que ces tours d'adresse demandent une préparation de plusieurs années.
L'équilibriste, une canne à la main, monte sur un pylone au-dessus duquel est posé un globe. L'homme tient en équilibre sur sa canne puis ajoute des anneaux qu'il agite au bout de ses deux jambes et au bout de la pipe.
[Des nouveaux locaux pour accueillir les artistes allemands].
A cause des dangers des bombardements alliés et des destructions qu'ils causent, des artistes (illustrateurs) doivent être accueillis loin des grandes villes allemandes. madame Rota von Cassini les hébergent pour qu'ils puissent encore exercer leurs talents.
[A Berlin, Joseph Goebbels inspecte les dégâts engendrés par les récents raids aériens alliés].
Goebbels, guidé lors de sa visite par le général (General der Infanterie) Gustav von Wieterscheim, est fréquemment interpellé par la population. Le ministre de la propagande et le Gauleiter de Berlin inspectent les travaux de réparation d'un pont métallique sous le regard indifférent de pionniers allemands. Une auxiliaire féminine de la Luftwaffe le questionne alors qu'il monte à bord de sa voiture (ici une Volkswagen : Kübelwagen Typ 82, immatriculée IA-1700).
Goebbels s'offre un "bain de foule", la population se bouscule pour venir saluer le ministre alors qu'il se dirige vers un dispensaire. A l'intérieur du bâtiment, les hommes de Goebbels distribuent des cigarettes à des femmes et à des infirmières. Goebbels prononce un discours durant lequel il tente de redonner courage à la population de Berlin.
[25e anniversaire de la création de la Lufthansa].
Crée en février 1919, cette société de transport aérien civil suit l'évolution rapide de l'aéronautique, elle fournit des avions de plus en plus modernes aux pilotes allemands.
A ses débuts, la Lufthansa est équipée de biplans puis d'hydravions de l'ingénieur aéronautique Dornier (Dornier DO-24) et enfin de quadrimoteurs Focke-Wulf FW-200 "Condor".
Le commentaire souligne le développement rapide et le succès rencontré par la société de transport civil. Le reportage retrace les longs trajets transatlantiques entre Berlin et Buenos Aires. Ceux-ci sont rendus possibles grâce aux navires ravitailleurs "Westfalen" et "Schwabenland" qui attendaient les avions au milieu de l'Atlantique. Une fois ravitaillés, les hydravions étaient catapultés.
Entre le 10 et le 14 août 1938, les pilotes allemands Alfred Henke et Rudolf von Moreau, le mécanicien Paul Dierberd et le radio Walter Kober réalisent une double traversée de l'Atlantique Nord (en 44 heures selon le commentaire) à bord du quadrimoteur Focke-Wulf Fw-200 "Condor".
A leur retour, les aviateurs sont accueillis en héros à l'aéroport de Berlin "Tempelhof".
[Le capitaine Walter Nowotny et ses camarades aviateurs rendent visite aux ouvriers d'une usine].
Les pilotes et les officiers de la Luftwaffe visitent différents ateliers d'une usine, le commentaire souligne l'importance du travail mutuel des pilotes et des ouvriers (les hommes d'usine et du front dans le commentaire).
[Cours de ski en Norvège].
L'instructeur, un chasseur alpin allemand (Gebirgsjäger) dirige ses élèves vers le terrain d'exercice afin d'effectuer les premiers gestes élémentaires du skieur.
[Le 27 janvier 1944, une réunion importante a lieu au quartier général d'Adolf Hitler à Rastenbourg].
Tous les commandants et officiers supérieurs en poste à l'Est ainsi que les fronts secondaires se rassemblent selon la demande de Hitler. Les maréchaux Keitel, Schörner, von Manstein et Küchler ainsi que l'amiral Doenitz, Bormann et Hitler sont présents pour cette réunion à la " tanière du loup " (Wolfsschanze).
[Les funérailles du général allemand Schulz].
Mort au combat (27/11/43) dans le secteur de Krivoï-Rog (Russie), le général (Generalmajor) Adelbert Schulz, commandant de la 7e division blindée allemande (7. Panzerdivision) est enterré avec les honneurs lors d'une cérémonie officielle. Le cercueil est installé sur un Panzer III, le blindé avance sur la neige précédé du porte-coussin sur lequel on reconnaît la croix de chevalier de la croix fer du défunt. Le maréchal (Generalfeldmarschall) Erich von Manstein dépose une gerbe sur la tombe du général, sur celle-ci on peut lire le nom du "Panzer.Regiment.Rotherbura".
[Le retour de permissionnaires de la division "Grossdeutschland"].
Un train chargé de permissionnaires roule vers l'Est. Le train marque une pause, des rations sont distribuées tandis que certains profitent pour se raser. Au terminus, les portes des wagons s'ouvrent, les hommes en descendent et suivent les indications marquées à la craie sur une baraque : "Urlauber Grossdeutschland, hier melden, gegenüber Haus 29".
Après avoir présenté leurs papiers d'identité et titres de permission, ils embarquent dans des camions sur lequel on reconnaît l'insigne de la division (un casque d'acier blanc).
Ici, commence la dernière étape de leur permission. Arrivés dans un village, les grenadiers descendent des camions et perçoivent des munitions pour leur fusil Mauser 98 k. Les hommes rejoignent leur compagnie, déjeunent en discutant de leur permission. Deux parachutistes se présentent leurs souvenirs, l'un présente des photos d'un nouveau né, son camarade lui présente une poupée.
[Des canons d'assaut Sturmgeschütz III et des grenadiers allemands en première ligne].
Les équipages des blindés et l'infanterie patientent avant l'assaut. Soudain, un transmetteur reçoit un appel qui fixe l'heure de la contre-attaque. Un briefing rassemble les chefs de chars et les officiers d'infanterie.
L'attaque est lancée, les grenadiers et les blindés lourds Panzer VI "Tigre" progressent dans la neige. Le caméraman juché sur la tourelle d'un blindé préfère filmer à travers l'épiscope du "Tigre" à l'approche du champ de bataille. Le commentateur nous informe que le correspondant de guerre (Kriegsberichter) Gustav Weiß trouve la mort durant ces combats.
Le soleil se lève lorsque des pionniers allemands découvrent un champ de mines.
A l'issue de cette contre-attaque, le commentateur souligne qu'un village ennemi est capturé. Le caméraman filme les carcasses de blindés et des canons soviétiques.
[Une mission de bombardement de nuit sur Londres est effectuée par les avions de la Luftwaffe].
En fin de journée, des bombardiers Junkers Ju-88 décollent puis se rassemblent pour la mission. Le caméraman installé au poste d'un mitrailleur dorsal filme les bombardiers Junkers Ju-88 et Dorniers Do-17 en formation. La nuit est tombée et les avions survolent les côtes anglaises. La DCA britannique entre en action, les explosions des obus anglais éclairent l'équipage d'un bombardier qui reste concentré à l'approche de l'objectif. Les bombes sont larguées et explosent au sol. Le commentateur affirme que ces premiers raids nocturnes sont la réponse aux attaques inhumaines anglo-américaines.
Défauts Images d'archives:(Rayures films,Taches et poussieres photographiées,Poils photographiés, Instabilités image, Grain film) .Contenu différent sur les deux pistes sonores Left et Right,Conforme au Support d'origine. Deuxième bobine au TC IN: 00:14:01:02Son plus faible sur certains passages sur la deuxième bobine.
Devant un public de permissionnaires (selon le commentaire), les cyclistes s'élancent tractés par des cyclomoteurs.
[Un numéro d'équilibriste dans une salle de spectacle].
Un funambule est sa partenaire font leur numéro d'acrobate devant le public. Le commentaire insiste sur le fait que ces tours d'adresse demandent une préparation de plusieurs années.
L'équilibriste, une canne à la main, monte sur un pylone au-dessus duquel est posé un globe. L'homme tient en équilibre sur sa canne puis ajoute des anneaux qu'il agite au bout de ses deux jambes et au bout de la pipe.
[Des nouveaux locaux pour accueillir les artistes allemands].
A cause des dangers des bombardements alliés et des destructions qu'ils causent, des artistes (illustrateurs) doivent être accueillis loin des grandes villes allemandes. madame Rota von Cassini les hébergent pour qu'ils puissent encore exercer leurs talents.
[A Berlin, Joseph Goebbels inspecte les dégâts engendrés par les récents raids aériens alliés].
Goebbels, guidé lors de sa visite par le général (General der Infanterie) Gustav von Wieterscheim, est fréquemment interpellé par la population. Le ministre de la propagande et le Gauleiter de Berlin inspectent les travaux de réparation d'un pont métallique sous le regard indifférent de pionniers allemands. Une auxiliaire féminine de la Luftwaffe le questionne alors qu'il monte à bord de sa voiture (ici une Volkswagen : Kübelwagen Typ 82, immatriculée IA-1700).
Goebbels s'offre un "bain de foule", la population se bouscule pour venir saluer le ministre alors qu'il se dirige vers un dispensaire. A l'intérieur du bâtiment, les hommes de Goebbels distribuent des cigarettes à des femmes et à des infirmières. Goebbels prononce un discours durant lequel il tente de redonner courage à la population de Berlin.
[25e anniversaire de la création de la Lufthansa].
Crée en février 1919, cette société de transport aérien civil suit l'évolution rapide de l'aéronautique, elle fournit des avions de plus en plus modernes aux pilotes allemands.
A ses débuts, la Lufthansa est équipée de biplans puis d'hydravions de l'ingénieur aéronautique Dornier (Dornier DO-24) et enfin de quadrimoteurs Focke-Wulf FW-200 "Condor".
Le commentaire souligne le développement rapide et le succès rencontré par la société de transport civil. Le reportage retrace les longs trajets transatlantiques entre Berlin et Buenos Aires. Ceux-ci sont rendus possibles grâce aux navires ravitailleurs "Westfalen" et "Schwabenland" qui attendaient les avions au milieu de l'Atlantique. Une fois ravitaillés, les hydravions étaient catapultés.
Entre le 10 et le 14 août 1938, les pilotes allemands Alfred Henke et Rudolf von Moreau, le mécanicien Paul Dierberd et le radio Walter Kober réalisent une double traversée de l'Atlantique Nord (en 44 heures selon le commentaire) à bord du quadrimoteur Focke-Wulf Fw-200 "Condor".
A leur retour, les aviateurs sont accueillis en héros à l'aéroport de Berlin "Tempelhof".
[Le capitaine Walter Nowotny et ses camarades aviateurs rendent visite aux ouvriers d'une usine].
Les pilotes et les officiers de la Luftwaffe visitent différents ateliers d'une usine, le commentaire souligne l'importance du travail mutuel des pilotes et des ouvriers (les hommes d'usine et du front dans le commentaire).
[Cours de ski en Norvège].
L'instructeur, un chasseur alpin allemand (Gebirgsjäger) dirige ses élèves vers le terrain d'exercice afin d'effectuer les premiers gestes élémentaires du skieur.
[Le 27 janvier 1944, une réunion importante a lieu au quartier général d'Adolf Hitler à Rastenbourg].
Tous les commandants et officiers supérieurs en poste à l'Est ainsi que les fronts secondaires se rassemblent selon la demande de Hitler. Les maréchaux Keitel, Schörner, von Manstein et Küchler ainsi que l'amiral Doenitz, Bormann et Hitler sont présents pour cette réunion à la " tanière du loup " (Wolfsschanze).
[Les funérailles du général allemand Schulz].
Mort au combat (27/11/43) dans le secteur de Krivoï-Rog (Russie), le général (Generalmajor) Adelbert Schulz, commandant de la 7e division blindée allemande (7. Panzerdivision) est enterré avec les honneurs lors d'une cérémonie officielle. Le cercueil est installé sur un Panzer III, le blindé avance sur la neige précédé du porte-coussin sur lequel on reconnaît la croix de chevalier de la croix fer du défunt. Le maréchal (Generalfeldmarschall) Erich von Manstein dépose une gerbe sur la tombe du général, sur celle-ci on peut lire le nom du "Panzer.Regiment.Rotherbura".
[Le retour de permissionnaires de la division "Grossdeutschland"].
Un train chargé de permissionnaires roule vers l'Est. Le train marque une pause, des rations sont distribuées tandis que certains profitent pour se raser. Au terminus, les portes des wagons s'ouvrent, les hommes en descendent et suivent les indications marquées à la craie sur une baraque : "Urlauber Grossdeutschland, hier melden, gegenüber Haus 29".
Après avoir présenté leurs papiers d'identité et titres de permission, ils embarquent dans des camions sur lequel on reconnaît l'insigne de la division (un casque d'acier blanc).
Ici, commence la dernière étape de leur permission. Arrivés dans un village, les grenadiers descendent des camions et perçoivent des munitions pour leur fusil Mauser 98 k. Les hommes rejoignent leur compagnie, déjeunent en discutant de leur permission. Deux parachutistes se présentent leurs souvenirs, l'un présente des photos d'un nouveau né, son camarade lui présente une poupée.
[Des canons d'assaut Sturmgeschütz III et des grenadiers allemands en première ligne].
Les équipages des blindés et l'infanterie patientent avant l'assaut. Soudain, un transmetteur reçoit un appel qui fixe l'heure de la contre-attaque. Un briefing rassemble les chefs de chars et les officiers d'infanterie.
L'attaque est lancée, les grenadiers et les blindés lourds Panzer VI "Tigre" progressent dans la neige. Le caméraman juché sur la tourelle d'un blindé préfère filmer à travers l'épiscope du "Tigre" à l'approche du champ de bataille. Le commentateur nous informe que le correspondant de guerre (Kriegsberichter) Gustav Weiß trouve la mort durant ces combats.
Le soleil se lève lorsque des pionniers allemands découvrent un champ de mines.
A l'issue de cette contre-attaque, le commentateur souligne qu'un village ennemi est capturé. Le caméraman filme les carcasses de blindés et des canons soviétiques.
[Une mission de bombardement de nuit sur Londres est effectuée par les avions de la Luftwaffe].
En fin de journée, des bombardiers Junkers Ju-88 décollent puis se rassemblent pour la mission. Le caméraman installé au poste d'un mitrailleur dorsal filme les bombardiers Junkers Ju-88 et Dorniers Do-17 en formation. La nuit est tombée et les avions survolent les côtes anglaises. La DCA britannique entre en action, les explosions des obus anglais éclairent l'équipage d'un bombardier qui reste concentré à l'approche de l'objectif. Les bombes sont larguées et explosent au sol. Le commentateur affirme que ces premiers raids nocturnes sont la réponse aux attaques inhumaines anglo-américaines.
Défauts Images d'archives:(Rayures films,Taches et poussieres photographiées,Poils photographiés, Instabilités image, Grain film) .Contenu différent sur les deux pistes sonores Left et Right,Conforme au Support d'origine. Deuxième bobine au TC IN: 00:14:01:02Son plus faible sur certains passages sur la deuxième bobine.
Catégories
| Allemagne |
| AA (Actualités filmées : Die Deutsche Wochenschau) |
Mots clés
Art du spectacle
Artiste
Art
Aviation civile
Avion bombardier Allemagne 39-45
Avion civil
Avion de transport Allemagne 39-45
Blindé Allemagne
Bombardement
Briefing
Caméraman
Camion Allemagne 39-45
Dornier Do-24
Focke-Wulf Fw-200 "Condor
Foule
Fusil Allemagne 39-45
Junkers Ju-52
Junkers Ju-88
Manger
Maréchal Allemagne
Propriétés
| Réalisateur | Inconnu - |
|---|---|
| Lieu(x) | Allemagne - Atlantique - Berlin - Grande-Bretagne - Norvège - Rastenburg - Tempelhof - URSS - |
| Personnes représentées | Goebbels, Joseph - Nowotny, Walter - Küchler, Georg von - Dönitz, Karl - Hitler, Adolf - Keitel, Wilhelm - Bormann, Martin - Manstein, Erich von Levinski von - Schörner, Ferdinand - Dierberg, Paul - Moreau, Rudolf von - Henke, Alfred - Kober, Walter |
Informations
| Référence | AA 701 |
|---|---|
| Durée | 00:17:12 |
| Date de réalisation | 09/02/1944 |
| Format d'origine | 35 mm |
| Couleur | Noir et blanc |
| Origine | UFA Universum Film Akten Gesellschaft |